Condorcet Et Sieyes

grégorienne met fin à la clérogamie. De l'Ancien régime à la Révolution Sous la Révolution, suite au discours de l'abbé Sieyès du 20-21 juillet 1789, distinguant entre citoyens « actifs » et « passifs », les femmes furent classées, comme les enfants, les étrangers et tous ceux ne pouvant s'acquitter d'un cens électoral, dans cette seconde catégorie. Malgré l'appel de Condorcet, elles furent ainsi officiellement exclues du droit de vote par l'Assemblée nationale le 22 décembre 1789, exclusion maintenue

roi (despotisme ministériel). Entorse à la séparation des pouvoirs : l'AC veille à l'application de la loi en exerçant une tutelle sur l'exécutif (ingérence). 1791 : souveraineté nationale conçue avec un corollaire impératif : la représentation. *Sieyes : souveraineté nationale ne peut se déployer que par la représentation, la Nation ne veut que par ses représentants. Principe du mandat impératif rejeté, les députés sont élus. 1789-1791 : époque tributrice de l'impact des Lumières => nombreux

judiciaire) dont le principe provient de Montesquieu dans « l’esprit des lois » * La souveraineté de la Nation. Cette idée est influencée par Rousseau dans « le contrat social » mais c’est une souveraineté populaire qui subit l’influence de l’Abbé Sieyes dans « qu’est ce que le Tiers-état ? » de janvier 1789. * 5-6/10/1789 : retour forcé du roi et de la famille royale (qui étaient à Versailles) à Paris. Ce retour forcé est effectué par une expédition armée des parisiennes qui les conduisent au

représentation le Tiers Etat se voit accorder le droit de doubler leur nombre de députés pour les Etats Généraux mais toujours UNE seule voix : toujours pas équitable. 1789 : - Janvier : parution de « Qu’est-ce que le Tiers Etat ? » Sieyès Revendications de Sieyès adoptés par les représentants du TE dans toute la FR. Début des cahiers de doléances. - Mars : élections des députés aux Etats Généraux (qui donneront ces cahiers). - Début Mai : début des Etats Généraux. Les députés du TE se

par plusieurs vecteur: D'abort le livre: L'encyclopedit de Diderot et d'alemberd = 1750'= tiré a 20 000 exemplaire (+++ pr l'époque) Somme de savoir ++ pr l'époque, article interssent, sur pouvoir, religion, division des pouvoir. Voltaire, JJR, Condorcet = porteur d'une reflexion. Livres erotiques = 18e est friand de litterature érotique = caché dans des cabinait = Marquit de Sade = Justine. Jean Baptiste Broyer; Thérèse philosophe Saint Jusque = Organt → Salon Litteraire Mme Geoffrin

dans les salons de Mme Roland les autres chez Mme de Condorcet pour discuter et échanger leurs points de vue. Beaucoup de désaccords existent entres eux. Vergniaud souhaite une union de tous les Républicains en revanche Roland a horreur de la Montagne. L'un d'eux est athée alors qu'un autre est un catholique avoué. Leur grandes figures seront Vergniaud, Guadet, Gensonné, Barbaroux, Buzot, Gorsas, Isnard, Louvet, Rabaut St Etienne, Roland ou Condorcet . Depuis le 10 août 1792 le pouvoir de la Commune

l'introduction du terme de « nation » durant la période révolutionnaire conduira à la consécration de la souveraineté nationale dans la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789. Selon ce principe, développé en grande partie par l'abbé Sieyes, le pouvoir suprême est attribué à un être collectif, distinct des individus formant le peuple. L'histoire constitutionnelle française met cependant en évidence une volonté de conciliation des deux principes. C'est ainsi que le titre I de la Constitution

nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément". Celle-ci, lorsqu'elle est détenue par une seule personne, donne lieu à un régime despotique. L'application française de la souveraineté nationale est souvent attribuée à l'abbé Sieyès. Elle fait coexister un régime représentatif avec des procédures de démocratie directe. Cet abbé a même dit un jour que « si les citoyens dictaient leur volonté ce ne serait plus un état répressif, ce serait un état démocratique. » De manière historique

de la Bruyère - Chesterton - Chirac - Choderlos de Laclos - Chojecki - Marcus Cicéron - Quintus Cicéron - Cim - Cladel - Clarétie - Clemenceau - C.N.R. - Cohen - Colet - Colin Muset - Collins - Collodi - Combes - Conan - Conan Doyle - Condillac - Condorcet - Confucius - Conrad - Constant - Cooper - Coppée - Coppens - Coquelin - Corbière - Corneille - Cornuz - Coster - Couailhac - Coué - Coubertin - Courteline - Couté - Crauzas - Crébillon - Crémazie - Crevel - Croisset - Cros - Cuisin - Cyrano de Bergerac

Jacobins d'en délibérer également, Brissot et Condorcet commencèrent une campagne contre Louis XVI, Sieyès n'était pas favorable à une république, les clubs en Province hésitait et Barnave désormais favorable à la royauté enleva à l'Assemblée les décrets des 15 et 16 juillet qui, innocentant le roi, le rétablissaient dans ses droits sous réserve qu'il accepta la Constitution. Une scission s'opéra au club des Jacobins d'où les modérés (Lameth, Sieyès, Barnave ...) se retirèrent pour fonder au couvent