Confédération mondiale du travail

Schwyz, et Unterwald se regroupent pour créer le noyau de la Confédération Suisse. (Jour devenu fête nationale aujourd’hui). - l476 : Batailles de Morat et Grandson. Les troupes confédérées, dirigées par les Bernois, défont l’armée de Charles le Téméraire, alors Duc de Bourgogne. - 1515 : Bataille de Marignan : Alors qu’elles tentent de conquérir une partie de l’Italie, les troupes suisses sont battues par François Premier. La confédération devient alors neutre, et procure des mercenaires à la France

Angleterre au début du siècle et voit le développement de ces dernières en Suisse par des enseignants, des médecins et des fonctionnaires. L'apparition des coopératives fondées par et pour des ouvriers n'a lieu que peu de temps avant la première guerre mondiale. Un des exemples les plus spectaculaires : l'Algemeine Baugenossenschaft (ABZ), fondée en 1916 par 15 ouvriers sans ressources, représente aujourd'hui la plus importante coopérative d'habitants en Suisse. La stratégie adoptée pour lancer la société

Solidarność poursuit clandestinement ses activités, soutenue, à l'intérieur du pays, par les intellectuels, l'Église et l'ensemble des adversaires du régime et, à l'extérieur, par les syndicats de la Confédération internationale des syndicats libres (C.I.S.L.) et de la Confédération mondiale du travail (C.M.T.), auxquelles elle est affiliée en 1986. De nouveau légalisée en avril 1989, Solidarność (qui compte alors 1,5 million de membres) remporte les élections de juin obtenant la quasi-totalité des

prolétariat dont elle exploite le travail. La révolution socialiste doit amener à la dictature du prolétariat qui permet l’expropriation des moyens de production et l’instauration d’une société sans classe. L’anarchisme partage le même idéal révolutionnaire mais refuse toute forme d’autorité que ce soit celle de l’Etat bourgeois ou de la dictature du prolétariat. Marxistes et anarchistes, devant la nécessité d’unir le mouvement ouvrier pour une révolution mondiale, fondent la première Internationale

Explication de texte : la journée des 8 Heures de Travail Le nombre d'heures de travail durant la journée est une ancienne revendication, ainsi des février 1848 la journée des 12h de travail fut établi lors des révolutions qui mirent fin à la monarchie de Juillet. Cependant la fin du XIX et le début du XX amenèrent avec l'industrialisation des revendications ouvrières toujours plus nombreuses. Ce texte est un texte de loi, il fut voté le 23 avril 1919 par le Sénat et la chambre des députés. Ainsi

français et allemand, puissants moteurs des mouvements sociaux dans les deux pays. Une évidence s’impose : hormis le recul tant du nombre d’adhérents que des activités de grève, tout semble les opposer. Différences : Allemagne = 3 syndicats : confédération allemande des syndicats DGB (Deutscher Gewerkschaftsbund), subdivisée en huit syndicats de branche, qui compte un peu moins de 7 millions d’adhérents, le syndicat des fonctionnaires DBB avec 1,2 million d’adhérents et, assez marginalement, le petit

compréhension des logiques sociales qui amènent au militantisme contemporain a ainsi constitué et constitue encore l’une des questions centrales de la sociologie de l’action collective. La société française a en effet subit depuis la fin de la seconde guerre mondiale d’importante évolution structurelle, sociale, économique et idéologique qui l’ont transformé durablement. Ces transformations ont eu un impact sur les revendications et les modalités d’engagement militant des individus. De nouvelles formes d’engagement

invalidité, réduction du temps de travail des femmes et loi sur le repos hebdomadaire obligatoire. En 1890, il lève l’interdiction du SPD et le mouvement social-démocrate renaît. L’Allemagne se caractérise rapidement par la proximité entre le parti social-démocrate et le mouvement syndical, contrairement à la situation française par exemple. En 1892, le mouvement syndical allemand gagne en organisation avec l’unification des "syndicats libres" au sein de la Confédération nationale des syndicats, sous

et aussi l’amabilité d’avoir pris la peine de répondre à nos diverses questions. Nous remercions également l’ambassade suisse en Belgique, qui nous a fournis des documents et toute personne ayant participé de prés ou de loin { l’élaboration de ce travail… Ainsi que tous ceux qui prennent la peine de le lire en espérant qu’il mérite toute leur attention ! Sommaire Remerciements......................................................................................................................

Norvège Quelles origines, quel fonctionnement, quels enjeux ? Mathilde Bénéteau Vlad Andrei Istrate Classe de 1iere ES Année Scolaire 2008/2009 Remerciements Aux professeurs qui nous ont encadrés dans ce travail pour leurs disponibilité et leur soutien. A Madame Ann-Kristin Hansen qui nous a si gentiment reçus et donné de son temps pour répondre à nos questions. A Madame Isabelle Monceyron qui a répondu à nos questions avec sincérité et disponibilité