Confessions d'un homme dangereux

SPLEEN: sentiment mélancolique de nostalgie poétique INTRO Dans le poème de Baudelaire, au lecteur tiré du recueil des fleurs du mal PLAN: Dans un premier temps nous parlerons d’un recueil sous le signe de Satan Ensuite nous évoquerons le projet des fleurs du mal et pour finir nous commenterons l’importance de la modernité et la violence de l’œuvre. I- un recueil placé sous le signe de Satan Baudelaire est sujet à une mélancolie profonde, écrire lui permet donc d’exprimer ce mal-être

LIT/SO : 1e Voyage (août-octobre 1492): Après une confession générale, c'est le grand départ, avant le lever du soleil, le 3 août 1492.D'emblée, Colomb a su trouver le meilleur itinéraire pour gagner l'ouest : averti sans doute par un voyage qu'il a fait jadis sur les côtes du golfe de Guinée, il gagne des latitudes assez basses pour bénéficier des grands vents réguliers qui portent à l'ouest, les alizés ; après une relâche aux Canaries pendant près d'un mois, ces vents sont rencontrés le 8 septembre

Littérature : 140 textes théoriques et critiques Le roman : Lgtps considéré comme 1 genre inférieur voir immoral et dangereux => aujourd’hui gde notoriété publique + 1 place dominante en littérature = est valorisé / des prix ou des adaptations cinématographique. Il doit d’abord son succès au mépris qui l’a frappé. (citation de baudelaire). Le roman échappe à toutes codifications + se renouvelle sans cesse. Relation particulière fiction/réalité => permet au lecteur de satisfaire son goût pour

l’individu commence avec la société industrielle, masse et anonyme, qui origine donc un contraste entre l'individu et la société en général. Les Romantiques se sentent dégagés et perdus, et alors en contestation. Il ne s’agit pas d’un esprit bourgeois quand même, mais plutôt d’un esprit aristocrate renouveau, qui hérite de l'énergie de la Révolution, et d'une conscience d'élitisme. La mélancolie attachée au Romantisme provient du décalage entre l'individu aristocrate, élitiste, etc. et la masse. Cela

audio visuel Pretty Woman Pretty Woman est un film américain réalisé par Garry Marshall et sorti en 1990. Synopsis : Alors qu'il est sur le point de conclure une très importante transaction financière, Edward Lewis, un richissime homme d'affaires, recherche le chemin de son hôtel. Une jeune prostituée de Beverly Hills, Vivian Ward, se propose de le lui montrer. Edward décide d'inviter Vivian à passer la semaine avec lui, dans sa luxueuse chambre d'hôtel, pour bénéficier de ses «services»

Nemours n’est évoquée qu’au moyen d’un euphémisme « Je vous demande mille pardons et si j’ai des sentiments qui vous déplaisent, du moins je ne vous déplairai jamais par mes actions ». Cette évocation pudique de pensées adultères correspond aux bienséances requises au XVIIème siècle. L’aveu de la Princesse de Clèves est exceptionnel comme le montre le champ lexical de l’héroïsme : « force », « périls », « nulle marque de faiblesse », « je ne craindrai pas », « dangereux », « me conserver digne », « digne

Montaigne montre bien que son entreprise peut paraître étonnante. Livre III, 2, «Du repentir» => «chaque homme porte en lui la forme entière de l’humaine condition». «Si le monde de plaint de quoi je parle trop ,moi, je me plains de quoi il ne pense seulement pas à moi». Jean-Jacques Rousseau => Les Confession , Ebauche des Confessions, manuscrit de Neuchâtel (1764). => préambule de Neuchâtel. 1er a dire qu’il a apprécié la fessé.Accorder

ZABRANIECKI Marie 1°2Dissertation FrançaisLa princesse de Clèves« Les passions peuvent me conduire mais elles ne sauraient m’aveugler » Déclare Madame de Clève.Dans quelles mesures cette phrase éclaire-t-elle votre lecture du roman ? Au XVII eme siècle, les écrivains poursuivent volontiers une réflexion sur les passions humaines, notamment les moralistes et les auteurs qui se rattachent à ce courant. Ils observent précisément les mœurs de leur époque tout en conduisant une analyse des

1827. L'intrigue de ce roman a été inspirée à Stendhal par un fait divers dont le dénouement eut pour cadre les assises de l'Isère, son département d'origine. En 1827, Berthet, fils d'un artisan et jeune séminariste a été jugé et condamné à mort pour avoir assassiné en pleine messe son ancienne maîtresse , l'épouse d'un notable qui l'avait engagé comme précepteur de ses enfants. Le roman est divisé en deux parties : la première partie retrace le parcours de Julien Sorel en province à Verrières puis

L'Ingénu sert de porte-parole à la critique sociale, politique et surtout religieuse du siècle de Louis 14. Alors que l'abbé de Kerkabon et sa sœur lamentent la mort de leur frère et de sa femme partis au Canada, arrive par bateau anglais un jeune homme Huron, L'ingénu. Les Kerkabon l'invite à dîner, et s'aperçoives qu'il s'agit de leur neveux. Ils le convertissent alors au catholicisme et l'a baptisent, mais il tombe amoureux de la sœur de l'abbé, Mlle de St-Yves, qu'il ne peut épouser parce qu'elle