Confrontation Maitre Valet

et son esprit chevaleresque trouvera à s’employer à la fin de la scène en se portant au secours d’un homme attaqué par trois autres . Il serait intéressant d’analyser comment Molière montre-t-il la complexité du personnage de DJ lors de cette confrontation. Nous montrerons que la scène se révèle comme un affrontement manichéen entre DJ , le diable tentateur et le pauvre figure de la pureté . Cette scène très courte révèle une fois de plus le désir de domination qui anime le personnage ; la scène

R : Dans Notes et Contre-notes, Ionesco compare les pièces de théâtres à un match. D’après lui, « Sans conflit, il n'y a pas de théâtre ». Qu’apportent les scènes d’affrontement ? Le théâtre n’est-il qu’un lieu de confrontation ?   I- Une pièce de théâtre, un lieu de confrontation Eugène Ionesco : « Il faut aller au théâtre comme on va à un match de football, de boxe, de tennis ».             A- Le théâtre, lieu d’oppositions • Au théâtre, souvent deux camps sont opposés et le spectateur assiste

mondes possibles”. Le chapitre XIX se situe à Surinam, c’est-à dire à l’époque en Guyane hollandaise. Candide et son valet Cacambo ont finalement quitté l’Eldorado, région mythique où tout est parfait, pour retrouver le monde réel, car Candide est à la recherche de sa fiancée. Mais en faisant cela, ils retrouvent aussi les horreurs de la réalité, avec ici la confrontation avec l’esclavage, tel qu’il se pratique au XVIII ème siècle, de la part de pays qui se disent civilisés. De quelle manière

régulièrement par l’intermédiaire de deux protagonistes ou bien deux groupes de personnes (comme dans Tartuffe, les « pro-Tartuffe » et les « anti-Tartuffe »), deux idées. C’est le cas dans chaque texte du corpus. Chez Marivaux, l’opposition entre maître et esclaves, chez Anouilh, entre passivité et résistance, chez Molière, entre La Flèche le voleur et Harpagon le protecteur fou de ses biens et enfin chez Sartre, on retrouve l’opposition entre le communiste idéaliste, Hugo, et le dirigeant du part

            Extraits  du  corpus     N°1  :  La  Farce  de  Maître  Pathelin,  auteur  anonyme   Présentation   La   Farce   de   Maître   Pathelin   (voir   le   Clin   d’œil   N°1)   a   été   composée   en   France   à   la   fin   du   Moyen   âge,   vers   1456-­‐1460   et   la   Commedia   dell’arte   est   née   en   Italie   pratiquement   à   la   même   époque.  

Beaumarchais : « La plus badine des intrigues. Un grand seigneur espagnol, amoureux d’une jeune fille qu’il veut séduire, et les efforts que cette fiancée, celui qu’elle doit épouser et la femme du seigneur, réunissent pour faire échouer dans son dessein un maître absolu, que son rang, sa fortune […], rendent tout-puissant pour l’accomplir ». L'originalité et l'intérêt de la pièce sont ailleurs, dans la critique des abus de l'époque. L'intrigue masque les messages sociaux dans un mouvement de débauche, de

mais transforme le simple séducteur en marginal libertin, pourfendeurs des valeurs traditionnelles.  Bref résumé de l'action Pourchassés par les frères d'Elvire que Don Juan a séduite, épousée et abandonnée, Don Juan, en habit de campagne, et son valet Sganarelle, en habit de médecin, se sont égarés dans une forêt tandis qu'ils débattaient sur le thème de la médecine et de la croyance. Avisant un pauvre homme sous les arbres, Don Juan charge Sganarelle de l'appeler et de lui demander leur chemin

originale de Tirso de Molina. Elle et en scène le personnage de dom juan, libertin d’esprit et de mœurs prônant la liberté absolue et défiant Dieu. Acte 1 scène 1 : A : le portrait du maitre par son valet 1) L’impie 2) Le débauché 3) Don juan héros tragique ? B : Le portrait du valet par lui-même 1) Le valet bouffon (insérer rapport Dj/SG) 2) Les éléments de comédie. Acte 1 scène 2 A : Doctrine de don juan en amour 1) Critique de la fidélité (plaisir du désir/fièvre amoureuse)

de confiance si je n’avais eu pour moi l’exemple d’un de nos plus illustres auteurs, qui, ayant accommodé le sujet de cette agréable comédie dans son Illustre Bassa aux galanteries du Marquis Français, n’a pas dédaigné d’y employer la fourbe d’un valet qui abuse de la simplicité de l’autre[3]. Quatre textes — les deux versions de Calderón, le roman des Scudéry et l’adaptation théâtrale de d’Ouville — constituent donc les sources — possibles et réelles, et plus ou moins reconnues par l’auteur

pour son autre garde grièvement blessé, Bernajoux. CHAPITRE 7 Valets et laquais des mousquetaires : Le valet de d’Artagnan s’appelle Planchet, valet courageux et intelligent. Le valet d’Athos s’appelle Grimaud, valet vigilant et quasi muet Le valet de Porthos s’appelle mousquetons, valet bon vivant et gourmant. Le valet d’Aramis s’appelle Bazin, le valet le moins franc de tous. Il ne souhaite qu’une seule chose, que son maître entre en religion. Habitations des mousquetaires : Athos habite