Congrégation de la Mission

activités de prédication : dès 1942 il fonda à cet effet l'École de Galaad, où sont formés les missionnaires qui seront envoyés dans le monde entier. Il réorganisa les congrégations dans ce même but : des « écoles du ministère théocratique » y entraînaient les prédicateurs, qui commencèrent à cette époque à se voir assigner des missions précises[b 3]. Les résultats furent impressionnants : entre 1942 et 1968 le nombre de Témoins fut multiplié par dix. Les principes d'excommunication furent également

des enfants. 1933 Loi GUIZOT et DURUY ce sont des lois très importants car elles vont permettre l’alphabétisation de tous les français. Les lois GUIZOT ET DURUY ont pour missions les écoles. Autres Loi : 1880  Droit de grève. 1884  Loi Laquet Loi sur les divorces. On continue l’extension des colonisations à travers des missions humanitaire  afin d’exporté leurs modèles. Le 02 décembre 1887  Démission de Jules Grevi repris par Sadi Carnot qui va s’entourer d’homme tel que le général Boulanger

est celui de l’essor déterminant des écoles épiscopales : en 1179, Latran III sanctionne cette évolution en imposant à chaque évêque d’en tenir une dans sa cathédrale. Il en découle une amélioration du niveau culturel des élites. c) La mission d’assistance Aux pauvres, aux malades, aux lépreux – même si les monastères (puis les ordres mendiants au XIIIe s.) les supplanteront toujours dans cette tâche. 3) Un clergé paroissial bien peu repris en main 1a) Une vie spirituelle indigente Le Décret

fondée sur les bases d’une meilleure formation générale. Dans ce contexte général, la situation globale était mûre pour qu’advienne l’Ecole telle qu’imaginée par les républicains. 2) Eglise et morale L’Eglise mise de côté avec la mise à l’écart des congrégations enseignantes, laisse vacante la dimension moralisatrice, estimée si importante, fondamentale. Le ministère Ferry est républicain, mais le sentiment chrétien ne lui est pas totalement étranger, pas plus que l’idée d’un enseignement moral, qui viendrait

depuis longtemps même à l’origine des premières communautés chrétiennes. Il est certain que cette problématique a pris une nouvelle ampleur depuis le concile Vatican II. L’Eglise catholique s’y est engagée, considérant que cela fait partie de sa mission évangélisatrice. Il est donc important de déterminer quels en sont les fondements théologiques car c’est une condition pour un dialogue fructueux. Comment l’Eglise juge- t-elle les religions du point de vue théologique ? Quelle valeur leur donne

primordiaux, tels que le logement par exemple. Historique : 1881-1882 : Loi de Jules Ferry qui rend l’enseignement primaire obligatoire et gratuit sous la troisième république. 1901 : La loi en droit des associations, cette loi oblige les congrégations à se dissoudre pour devenir associative et ne pas dépendre d’une autorisation royale. 1905 : La séparation des églises et de l'État (Loi de 1905). La neutralité de l'État, et donc des agents publics (interdiction de tout port de signes religieux

activités de prédication : dès 1942 il fonda à cet effet l'École de Galaad, où sont formés les missionnaires qui seront envoyés dans le monde entier. Il réorganisa les congrégations dans ce même but : des « écoles du ministère théocratique » y entraînaient les prédicateurs, qui commencèrent à cette époque à se voir assigner des missions précises. Les résultats furent impressionnants : entre 1942 et 1968 le nombre de Témoins fut multiplié par dix. Les principes d'excommunication furent également codifiés

création d’une Ligue pour la séparation des églises et de l’état. → Les républicains au pouvoir en 1880 sont pour la plupart imprégnés de positivisme, c-a-d convaincus que le progrès des sociétés repose sur la diffusion de la science et que leur mission historique est d’assurer la pénétration de celle-ci dans la société. Dans cette perspective il s’agit tout à la fois de combattre l’influence de l’Église (source de superstition et d’obscurantisme) sur la société et de la remplacer par un enseignement

prises par l’empereur = la propagation de l’écrit administratif est de mise. Le palais envoie des missi dominici aux contes par le biais de capitulaires.  L’administration des âmes compte tout autant : les écoles monastiques et épiscopales ont pour mission de fournir des moines et des clercs avec des compétences, chargés d’encadrer la société et veiller à leur salut : il s’agit donc de former les futurs évêques et abbés : étude des saintes écritures et de la liturgie. L’école de Charlemagne est prévue

donc du même système. Dans cet extrait, Guizot mentionne la place de l'instruction secondaire au début de la monarchie de Juillet : « nos anciennes lois sur les rapports de l’État et de l'Église, sur les interdictions ou les entraves imposées aux congrégations religieuses, étaient invoquées comme le rempart des conquêtes libérales » l.30-32. En effet, d'après la législation héritée des anciens régimes, il n'y avait que l’université qui pouvait enseigner et faire passer des examens. Les institutions privées