Congrégation de la Mission

Et le découpage électoral est organisé sur des bases géographiques et non plus paroissiales par le décret du 22 décembre 1790 sur la constitution des assemblées primaires et des assemblées administratives. Dans la loi du 13 février 1790, les congrégations à vœux solennels ne sont plus tolérées  et aussi dans la Constitution de 1791 : « La loi ne reconnaît plus ni vœux religieux, ni aucun autre engagement qui seraient contraire aux droits naturels de la Constitution. » La Constitution de 1791 organise

entre administration servante et administration gouvernante. La servante concerne le 19ème. L'administration servante renvoi à l'époque napoléonnienne, quand il arrive au pouvoir après la crise, il met en place l'administration française avec pour mission d'apporter la cohésion de la nation. Pour se faire il utilise l'administration qui doit donc être soumise au pouvoir politique. Le pouvoir utilise alors l'administration pour réaliser ses buts politiques. Les chambres vont aussi essayer de contrôler

février et 18 mars 1880 établissent la liberté de l'enseignement supérieur, conférant à l'État l'attribution exclusive des grades universitaires. Ne pouvant imposer la laïcisation totale des personnels enseignants, Jules Ferry oblige néanmoins les congrégations religieuses à se faire enregistrer dans les trois mois pour obtenir l'autorisation d'enseigner, sous peine de dissolution. C’est bientôt le cas pour trois cent d’entre-elles ! Il complète enfin son action par la loi du 28 mars 1882 relative à l'obligation

visés, ainsi que par certains juristes et sociologues. Pour dénoncer des activités éventuellement néfastes de certains groupes, l'expression dérive sectaire est devenue récemment la formule officielle de certaines structures gouvernementales comme la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (MIVILUDES). Enfin, le mot « sectaire » est passé dans le langage courant et désigne une personne fermée à toute discussion, prompte à rejeter autrui, à le mépriser et à le

satisfaction d’une vaine curiosité. Les constatations que nous venons de faire portent avec elles leur enseignement. Le clergé, les clercs, c’est une fraction de la société qui se tient pour spécialement élue et mise à part, et qui pense avoir reçu la mission divine de gouverner le reste des humains ; l’esprit clérical, c’est la prétention de cette minorité à dominer la majorité au nom d’une religion. Les laïques, c’est le peuple, c’est la masse non mise à part, c’est tout le monde, les clercs exceptés

enfants et enseignants confondus. À la suite de la révocation de l'édit de Nantes (octobre 1685) par Louis XIV, les enfants de parents protestants sont envoyés dans des écoles catholiques; les adultes, eux, sont interdits d'enseignement. Ce sont les congrégations qui nomment les enseignants, qui les inspectent et définissent les programmes. Le clergé romain garde ainsi la haute main sur l'éducation et sur l'enseignement. Dans cette situation, l'école n'a pas pour fonction première d'instruire, mais de

pontificales, les dirigeants du mouvement répondirent par un Non possumus manifestant le refus de se soumettre à l’autorité suprême. Pie XI condamna alors le mouvement par une mise à l’index des ouvrages de Maurras et du quotidien par décret de la Congrégation du Saint-Office le 26 décembre 1926.Mais qu’est ce qui est réellement condamné par la décision pontificale ? C’est d’abord le paganisme de Maurras, c'est-à-dire le « politique d’abord » : le fait que le mouvement considère comme absolu l’intérêt

cadre institutionnel ainsi qui les lois qui en découlent afin de pouvoir apprendre aux usagers à suivre les règle. L'établissement se trouve dans une maison de maître du 18ème. Le domaine abritait à l'origine un centre d'apprentissage puis une congrégation religieuse à vocation de charité auprès des plus démunis. Il est ouvert depuis le 1989 et tient son origine d'un autre C.H.R.S œuvrant depuis 1963. Les premières lois, du début du 20ème siècle interviennent essentiellement dans le cadre d'intervention

les deux premiers fonds éthiques ont été lancés à l’intention des investisseurs religieux chrétiens. La société financière Meeschaert et l’association Éthique et Investissement (initiée par un groupe de religieuses économes générales de leur congrégation) lancent ainsi en 1983 le fonds Nouvelle Stratégie 50, qui exclut notamment les secteurs du tabac, de l’armement, de l’alcool, de la pornographie et des jeux d’argent. La société de gestion, très orientée vers une clientèle chrétienne, retiendra

de tutelle – lui permettant de veiller au correct exercice de leurs compétences par ces autorités. Reste que l’autorité de tutelle ne détient que les pouvoirs dont elle a été expressément investie par les lois et règlements (CE, 17 janvier 1913, Congrégation des sœurs de Saint-Régis). Ces textes pourront ainsi permettre au préfet de suspendre, retirer, approuver, autoriser une telle décision et même, le cas échéant, d’user de son pouvoir de substitution d’action (en cas d’inaction des autorités administratives