Congrégation pour les évêques

Principale propagateur Fonde des congrégations Définit une doctrine Donne une dimension universelle Christianisme gagne différentes régions Réaction de Rome persécutions Le Monothéisme amène le refus des rites romains, ce qui est perçus comme une rébellion. Constantin (Empereur) Édit de Milan (313) Liberté de culte - Idée principale : Au lieu de lutter contre le christianisme, travaillons avec lui L’Église se structure - Pape Archevêques Évêques Prêtres Construction d’Églises

beaucoup de Châteaux Forts, dans le Pays, ainsi que plusieurs Edifices religieux. Cet exemple fut suivi par la Noblesse et le Clergé, particulièrement par Roger de Montgomery, comte d'Arundel ; par l'Archevêque d'York, l'Evêque de Durham et GUNDULPH Evêque de Rochester, savant Architecte. (32) Surveillants Ils apportèrent avec eux les Charges et Règlements des Loges, conservés depuis l'Époque Romaine, et cela décida aussi le Roi à perfectionner la Constitution des Loges Anglaises selon le modèle

économique et sociale du monde féodal 1. L'existence de clivages éco et sociaux La 10e et 11e s sont marqués par un essor démographique important → on va organiser la société en ordres. Théorisation due à Adalbéron de Laon et Gérard de Cambret (2 évêques du nord de la France), ils vont théoriser la division tripartite de la Sé. Ordre = ordo qui signifie un genre de vie alors que le terme de classe se rapporte plus à un rattachement social et a une connotation marxiste et communiste. 2. Division

rajouter à cela, que les Franciscains ne sont pas les seuls à voir d’un mauvais œil la prolifération de ces « ordres mendiants ». Le Pape Grégoire X fit adopter, par le concile de Lyon de 1274, une interdiction de fonder de nouveaux ordres et que les congrégations non-autorisées doivent cesser leurs activités. 4) Une connaissance théologique Dans le texte, on peut remarquer une connaissance assez poussée de la théologie. Zaccaria sait de quoi il parle, il semble bien connaître son sujet. On retrouve

institutionnel des villes (échevinages et consulat, villes épiscopales, villes royales..). Celui-ci est particulièrement différentié dans le Saint-Empire. En 1521, la matricule impériale distingue 390 entités politiques d’importance très variée : 50 princes-évêques, 83 prélats, 24 princes, 145 comtes et seigneurs divers, 85 villes libres d’Empire. Les villes libres sont dotées de l’immédiateté d’Empire, c’est-à-dire qu’elles ne dépendent que de l’empereur et non d’une principauté territoriale. Les villes médiates

« dictature cl éricale » de la congrégation, qu’il assimile aux jésuites. La congrégation : il existait une confrérie, société secrète réactionnaire, dont le véritable nom était l’ordre des chevaliers de la foi mais que l’on appelait communément la congrégation. Cette institution toute puissance en province distribue les places, fait et brise les carrières. Elle gouverne les femmes par l’éducation et la confession. Quant aux hommes, ils sont obligés de financer la congrégation, qui va jusqu'à afficher

noblesse de province (petits seigneurs souvent appauvris et parlementaires des villes) accusait l'aristocratie de cour d'accaparer les avantages. Il en était de même au sein de l'Église, où à un haut clergé (archevêques, évêques en particulier) s'opposait un bas clergé (congrégations séculières, curés, vicaires, religieux), issu du tiers état et souvent misérable. Le tiers état était constitué d'une immense majorité de paysans, mais comprenait également des artisans et des bourgeois (roturiers).

par des congrégations. Les gouvernements républicains avaient conservé le concordat napoléonien de 1801, qui prévoyait que les évêques et les curés étaient payés par l'État. De son côté, en 1892, le pape Léon XIII avait demandé aux catholiques français d'accepter la République. Cependant, les tensions sont devenues de plus en plus vives entre catholiques et républicains, surtout du fait de l'affaire Dreyfus. Quand, en 1901, est instaurée la liberté d'association, les congrégations en sont exclues

clergé va refuser de suivre le mouvement. Il faut noter la césure entre le haut-clergé et le bas-clergé. Les évêques qui sont les supérieurs des curés vont adresser des critiques à ces derniers ; les curés vont répondre que dans « cette assemblée politique, nous sommes vos égaux et par conséquent, nous sommes indépendants ». Quantitativement, sur 300 députés du clergé, il y a 210 curés et 90 évêques ; l’affaiblissement du clergé est très important.  Par conséquent, il y a maintenant 810 députés dans

des origines jusque 970, en le présentant comme le continuateur du peuple franc. L’œuvre contient de nombreuses informations sur les relations entre la Germanie et régions situées au-delà de l’Elbe. Chronique de Thietmar au début du XIe siècle : évêque de Mersebourg (1009-1018) qui rédige une chronique couvrant l’histoire de la Germanie de 876 à 1018. Quatre livres d’histoire de Richer entre 991 et 998 : moine à Saint-Rémi de Reims qui continue les annales d’Hincmar. Sa chronique couvre la période