Congrégation pour les évêques

de donner une place imminente au catholicisme va tomber et l'église va devenir la bête noir de la constituante, elle va supprimer les ressources financière de l'église et supprime la dîme, elle s'attaque au capital immobilier et c'est TALLEYRAND (évêque révolutionnaire) propose la remise à l’État des biens du clergés, il appartient à l’État de prendre en charge les services publics et donc de prendre les bâtiments (éducation...) la logique de cette repose sur trois fondements ; La propriété

qu’en militant pour une révision de la loi de 1905. D’autre part, en novembre 2003, lors de l’assemblée des évêques français à Lourdes, l’idée de demander, à l’occasion du centenaire, une révision de la loi de 1905 était écartée. Jean Marie Lustiger, cardinal et archevêque de Paris, déclarait : “Nous ne souhaitons pas une révision ni un toilettage de la loi de 1905.” Claude Dagens, évêque d’Angoulême, précisait : “La plupart des catholiques ont intériorisé la séparation des Églises et de l’État.”

instruction ou éducation ? La constitution du 3 septembre 1791, elle proclame le principe de l’instruction publique commune à tous les citoyens, gratuite à l’égard des partis d’enseignement, indispensable pour tous les hommes. En 1792, on interdit les congrégations religieuses. Entre 1792 et 1795, toutes les questions que le XIXème siècle va chercher à établir sont posées : gratuite, laïque ? liberté publique ? rapport entre les degrés d’études ? différents enseignements entre les établissements ? La question

sa fondation jusqu'au concile de Constance, en 1005, l'ordre de Saint-Benoît avait fondé quinze mille soixante-dix abbayes dans le monde alors connu, donné à l'Église vingt-quatre papes, deux cents cardinaux, quatre cents archevêques, sept mille évêques. Mais cette influence prodigieuse avait été la cause de nombreux abus, même au sein du clergé régulier; la règle de Saint-Benoît était fort relâchée dès le Xe siècle, les invasions périodiques des Normands avaient détruit des monastères, dispersé

catholiques Lutte contre le protestantisme. La France n’adopte pas les canons du concile de Trente. Les réformes sont misent en place sous Louis XIV. Spiritualité vive (Pascal) Humanisme dévot, importance des congrégations Education : jésuite (collège de Clermont) Pieux laïques : congrégation du saint sacrement 1643 : protestantisme toléré (1598 : édit de Nantes) 600 000 protestants ceintures le Massif Central par le sud Guerre de 30 ans (1635) volonté d’unification des Habsbourg de Vienne : répression

sillonisme de telle manière : « Le Sillon a pour but de réaliser en France la république démocratique. Ce n’est donc pas un mouvement catholique, en ce sens que ce n’est pas une œuvre dont le but particulier est de se mettre à la disposition des évêques et des curés pour les aider dans leur ministère propre. Le Sillon est donc un mouvement laïque, ce qui n’empêche pas qu’il soit aussi un mouvement profondément religieux.» Ce mouvement démocrate-chrétien n’a jamais exercé en France comme parti politique

«Gagner les âmes consacrées à Dieu». Pouvait-on prévoir avec plus de précision le drame des années postérieures à 1960 durant lesquelles, par centaines, par milliers et dizaines de milliers, des prêtres, des religieux, des religieuses, et même des évêques et des cardinaux, - pour ne rien dire ici des papes eux-mêmes -, trahirent la cause de Dieu et de son unique et véritable Église. Ou bien en la quittant avec scandale ; ou en s'y incrustant aux plus hauts postes d'où ils continuèrent à ruiner la

clergé avait engagé une importante campagne anti-dreyfusarde, ce qui a eu pour conséquence de radicaliser le mouvement anticlérical en France. Avant 1906 déjà la loi de 1901 sur les associations portait la marque évidente d'une hostilité envers les congrégations qui sont alors contrôlées. L'application de cette loi est tout d'abord marquée par un affrontement. L'année 1906, première année d'application de la loi, est effectivement marquée par des manifestations populaires s'opposant aux inventaires,

Séculier. Charles Borromée, Évêque de Milan de 1564 à 1584. Il refuse toute autre charge et reste Évêque. Il rétablie la discipline. Réforme les ordres religieux ; Il réunit souvent des Conciles provinciaux. Il encourage les confréries. Il considère que les revenus de l’évêché doivent servir à soigner les pauvres et les malades. Il lutte vigoureusement contre le protestantisme. Il interdit les jeux, les danses, détruit les vestiges païens. Les congrégations : Prêtres vivant en communauté

composé des archevêques, évêques entourés d’officiers (official, vicaires, etc.), des chapitres de chanoines, du clergé paroissial (curés, vicaires) et des chapelains, et le clergé régulier. Il faut aussi distinguer la charge à remplir, l’office, et le revenu lié à cette charge, le bénéfice. Les deux sont souvent dissociés, dans ce cas le bénéficier laisse l’office à un vicaire. Le vicaire d’un prêtre est souvent mal payé (avec la « portion congrue »), le vicaire d’un évêque est souvent un simple prêtre