Conjonction de coordination

du texte se présente dès lors comme une démonstration (une justification) de cette thèse. La démonstration débute à l'intérieur de la première phrase par la proposition introduite par la conjonction de subordination "puisque", qui est complétée par la seconde phrase qui débute par la conjonction de coordination "or": "puisque" introduit une raison (les sens donnent au mieux des exemples, c'est-à-dire des vérités particulières) ; "or" introduit la considération d'un fait qui apporte un complément

Ni la mort, ni le cimetière ne bouleversent leur vie : aucun terme n’évoque la moindre sensibilité. 3/ Les questions du narrateur • Par deux fois, le texte comporte des questions (vers 4,11). • Leur formulation insistante (conjonction de coordination « Et », répétition familière du sujet « le père », « il », « le père ») suggère m’impatience du narrateur, ou son indignation devant une acceptation aussi passive de la situation. • C’est une façon de souligner qu’il faudrait rompre

pas être une action mais simplement se réduirait à un état passif. L'amour dépendrait de la personne aimée comme si l'amour humain n'avait pas d'essence. Janke remet en question cette vision commune de l'amour avec l'utilisation de la conjonction de coordination "Or" qui marque ici un renversement dans son argumentation. Le philosophe, définit ainsi sa vision de l'amour en affirmant qu'il est possible d'aimer "d'amour pur ce qui ne mérite pas d'être aimé". En effet selon lui aimer c'est attribuer

elle, et vibre avec elle, en éprouvant des sentiments très violents « Et il se regarde lui-même, les mains posées sur les genoux. Et il pleure et il rit, et il n'a point envie de s'en aller. » Les répétitions des verbes et de la conjonction de coordination « et » rythment ses paroles et leur donnent de la force. Bilan et transition : Cette scène nous définit donc avec précision le rôle d’un acteur, en nous montrant son grand pouvoir. Mais, en allant plus loin, on peut y voir plus généralement

phrase en "l'allocution présidentielle a été retranscrite". La prononciation de la terminaison au féminin vous permettra de savoir qu’il faut un ‘t’ à la fin.   10. "or" ou "hors" ?   Pour cela, la règle est de savoir que "or" est une conjonction de coordination et "hors" est une préposition signifiant "à l'extérieur de". Ainsi, quand on peut remplacer "hors" par "en-dehors de", c'est qu'on a bien écrit.   Exemple : "Il est hors du jardin", "Or, à ce moment-là, il jouait".   11. L’accord du

enlevée) et victime (il est amoureux) La cruauté semble être le seul pvr de Néron sur Junie. Paradoxe: ''j'aimais jusqu'à ses pleurs que je faisais couler'' vers 23. Comme il sent qu'elle ne l'aimera jamais, il jouit de ses larmes. La conjonction de coordination ''mais'' vers 28 marque le retour à la réalité. Il finit par s'adresser à son confident qui n'est pas un personnage tragique. En effet, chez Racine le confident donne tjr de mauvais conseils. Conclusion: Chez Racine, la première

pas cette capacité. Ni la mort, ni le cimetière ne bouleversent leur vie : aucun terme n’évoque la moindre sensibilité. 3/ Les questions du narrateur Par deux fois, le texte comporte des questions (vers 4,11). Leur formulation insistante (conjonction de coordination « Et », répétition familière du sujet « le père », « il », « le père ») suggère m’impatience du narrateur, ou son indignation devant une acceptation aussi passive de la situation. C’est une façon de souligner qu’il faudrait rompre, comme

a) Quelle réaction de la mère cette phrase traduit-elle ? b) Nommez deux procédés d’écriture utilisés pour souligner cette réaction. 1 point 3. « Alors … » (ligne 17) : 1 point a) Remplacez l’adverbe « alors » de la ligne 17 par une conjonction de coordination de même sens. b) Quel rapport logique ces deux mots expriment-ils ? c) Quel aspect de la personnalité de Jojo apparaît ici ? 4. Précisez au moins deux reproches exprimés par la mère contre son fils des lignes 20 à 25. 1 point 5. « Seigneur

mort, ni le cimetière ne bouleversent leur vie : aucun terme n’évoque la moindre sensibilité.   3/ Les questions du narrateur
 ·        Par deux fois, le texte comporte des questions (vers 4,11). ·        Leur formulation insistante (conjonction de coordination « Et », répétition familière du sujet « le père », « il », « le père ») suggère m’impatience du narrateur, ou son indignation devant une acceptation aussi passive de la situation. ·        C’est une façon de souligner qu’il faudrait rompre

la réponse de l'élève après que le professeur lui ait demandé de conjuguer le verbe être au présent. Ce jeu de mot fait référence à l'expression "être ou ne pas être. Telle est la question." de Shakespeare. Or ici la conjonction de coordination "ou" a été ramplacée par la conjonction de subordination "où". Donc on s'interroge plus sur le lieu où l'on est ou l'on n'est pas. En dehors du fait de se moquer du professeur, l'élève donne un autre sens à l'expression shakespearienne. J'ai choisi dans