Connecteur logique

• l’utilisation d’antithèse : l’amour et la crainte, la bonté et la sévérité, l’égoïsme et le dénouement • un présent de vérité générale qui lui donne un aspect irréfutable au argument et au exemple qu’il expose • l’usage des connecteurs logiques architecture fortement son discours et lui apporte plus de clarté dans son discours • la modalité impérative de par l’utilisation de verbe d’injonction accentue fortement sa position • la modélisation de ses propos traduit par des

figures d’exagérations (hyperboles). Didactique : délivrer (donner) un enseignement, imposer un avis ou une opinion. Peut s’appuyer sur un raisonnement logique (définitions précises, exemples illustratifs) ou sur une voix d’autorité qui impose une opinion. Procédés : tournures de l’ordre et du logique, articulations logiques (connecteurs logique : mais, de plus, ainsi que…) Lyrique : exprimer ses sentiments (plaintes, regrets, joie…) pour émouvoir le lecteur. Procédés : marques de subjectivité (énonciation

informatif (vise exclusivement à donner des renseignements sans les expliquer) - Efface les marques de l’énonciation - Recourt aux éléments qui assurent la cohérence de l’énoncé : reproduit le système questions/ réponses, utilise des connecteurs logiques, cplts circonstanciels de cause et conséquence. IV. Discours argumentatif - Vise l’adhésion du destinataire. Il cherche à convaincre ou persuader. - Discours argumentatif peut être direct ou indirect - Direct : Insiste

position / opinion (défendue) Thèse réfutée Thèse défendue, soutenue. = remise en cause, = ou niée, = ou opposé (bof…). Antithèse = l’opinion opposée à celle énoncée par la thèse. 4 alinéas. Le 3ième alinéa n’est pas amorcé par un connecteur, il a un statut différent, on y voit un peu l’avis d’Hugo. Il explique. « - » mettent en scène les arguments ainsi qu’une apparence d’un dialogue. Le dernier paragraphe : théorie de l’exemple. Pourquoi est-il plus long ? C’est le seul qui contient

l’esclavagisme. Le côté argumentatif apparait immédiatement. 2. Une argumentation logique. Jaucourt, grâce à sa formation scientifique, a une logique déductive (Procédé de pensée par lequel on conclut de propositions prises pour acquises) le texte est structuré : * Paragraphe régulier. * Style concis (condensé) : chaque paragraphe développe une idée. * Présence de beaucoup de connecteurs logiques : succession d’arguments. * Présentation sous forme de démonstration scientifique :

idée : §1 introduction §2 l'autorité par la violence §3 la transition §4 l'autorité par le consentement -on retrouve une gradation de l'autorité la plus provisoire à la plus durable : autorité paternel→d'un tyran→du peuple Cette logique est soulignée par l'anaphore du mot puissance qui se retrouve à chaque thèse Le point de départ = un postulat -commence par la thèse du §1 «  Aucun homme n'a reçut de la nature... » -il montre ensuite que sa thèse est irréfutable :

paragraphes que vous avez construits). - Développement : Faites un paragraphe par idée. Il ne faut pas faire un simple catalogue des procédés relevés : faites des transitions. Justifiez chaque idée par une citation précise. N’oubliez pas les connecteurs logiques ! ● Langue : - Vos réponses doivent être rédigées : bannissez les abréviations, flèches et veillez à adopter un niveau de langage correct. - Ne désignez pas les textes par les formulations « texte A », « texte B », mais par leur titre et leur

libérer le Huron. Le jésuite se lance dans une argumentation que Voltaire s’est amusé à parodier. Cette argumentation est apparemment structurée et crédible grâce à des connecteurs logiques : « Premièrement » l.25, « Secondement » l.29, « Troisièmement » l.33, « Quatrièmement » l.36. Seulement il n’y a aucune progression logique, et cette argumentation devient une argumentation mensongère, fallacieuse. Il essaye clairement, au début, de la convaincre, parle raisonnement. Premièrement, il la reprend

L'ARGUMENTATION PHILOSOPHIQUE. I. Les différentes fonctions logiques des étapes argumentatives d'un texte. De façon générale, un texte de philosophie tend à établir une thèse et à prendre position face à un problème philosophique. 1. Formulation d'un problème. Un problème est une question dont la réponse ne va pas de soi. C'est une question à laquelle on ne peut pas répondre par une simple observation et qui exige une réflexion afin de choisir entre plusieurs réponses possibles

parties précédentes. Exemples à appliquer dans le cours.   D.Rédiger la dissertation   Une dissertation adopte la même articulation et la même mise en page qu’un commentaire. Attention de ne pas oublier les connecteurs logiques afin de montrer la cohérence, la logique de votre réflexion.   L’introduction Elle se rédige en un seul paragraphe et respecte les étapes suivantes : on amène le sujet par une réflexion sur un genre littéraire, un auteur, une époque en lien avec ce