Conscience Malheureuse

personnage principal: Jane Eyre : protagoniste et personnage principal du roman, auquel elle donne son titre. Orpheline dès son plus jeune âge, elle vit une enfance malheureuse et presque sans amour. À dix-huit ans elle devient gouvernante au château de Thornfield. Tombée amoureuse de son riche propriétaire, Edward Rochester, sa forte conscience morale l'empêche de devenir sa maîtresse et elle ne revient vers lui que lorsque son épouse aliénée meurt et après être entrée en possession d'un héritage. autres

met Adolphe à l’épreuve en lui parlant de sa mort qu’elle annonce proche. Elle lui demande protection « elle appuya sa tête sur mon épaule »l.30, lui dit qu’il a été « bon pour elle » l.26. Cette tonalité tragique (« je ne serais pas longtemps malheureuse, vous n’aurez pas longtemps à me plaindre » l.34-35) qui se lie à la fin de ce passage montre la gravité de la scène. Alors qu’Adolphe parle du passé constamment, Ellénore est tournée vers un futur proche « ne parlons plus de l’avenir » l.25. A

possibilités du genre tragique. Ainsi en 1671 défend-il dans la préface de Bérénice « l’invention (qui) consiste à faire quelque chose de rien ». La pièce, en effet, met en scène les amours malheureuses de trois grands personnages : Bérénice, Titus et Antiochus entre lesquels va se jouer le cruel drame intérieur de la conscience et du cœur. A l’acte V la tension dramatique est à son comble, tous les personnages menacent de se suicider, c’est alors que Bérénice prend l’initiative de l’action et s’attache à

techniques et politiques. Ensuite dans une deuxième partie nous étudierons les sagesses antiques qui permettent de réaliser un état de bonheur qui dépend de nous. Enfin dans une troisième partie nous tenterons de tisser des liens entre l’état de conscience heureux et l’action sociale qui permettrait de bâtir une société offrant à tous la possibilité du bonheur. II - Le bonheur dépend des circonstances. A - Le bonheur collectif ne semble jamais avoir été atteint. Le sentiment de bien-être

un être nécessairement insatisfait ? Nos désirs n’excluent alors-t-il pas le bonheur ? - Au contraire, ne peut-on pas avoir une vie heureuse avec des moments d’insatisfaction, de peines ? -Dans ce cadre, notre bonheur ne dépend-il pas plus de la conscience de notre vie, davantage que de conditions objectives de la vie ? Plus généralement, être heureux est-ce se sentir heureux, ou cela dépend-il de conditions de vie objectives ? I- le bonheur repose sur la satisfaction de tous ses désirs (Calliclès)

création de son esprit, il soustrait sa propre croyance au doute. Ensuite, face à une vie malheureuse et dure, l’homme se donne le moyen d’y échapper, en se consolant avec l’idée d’une vie après la mort et d’une justice divine. Pour expliquer la popularité des religions Nietzche va s’appuyer sur un facteur sociologique. En effet toutes religions se développe à l’aide d’un fondateur qui va faire prendre conscience à une catégorie de gens ce qu’ils ont en commun. Ce fondateur apparaît comme « l’allumette

faits dès notre naissance. La déclaration universelle des droits de l’Homme de 1948 reconnaît de manière officielle dans son article premier : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité. » Cependant ce ne fut pas toujours le cas, l’apartheid aux Etats-Unis n’est qu’une simple représentation des innombrables inégalités entre les hommes jusqu’à la déclaration

L’inconscient a une place vitale chez l’homme.Il s’apparaît fort probable l'inconscient est un forme pour l'être de se donner bonne conscience selon Sartre.Nonobstant,l’idée de proposer que pour l’homme il existe lui et le néant semble absurde.La psychologie est essentielle pour l’homme.Une mauvaise expérience ou bien un sentiment caché cause par méfait une réalité très malheureuse pour l’homme,qui lui est un être très sensible. Pour en finir,l’homme ne peut se définir comme étant un être comme tous les

multiple » et aujourd’hui on peut parler de la citoyenneté transnationale. Les citoyens de l’Union Européenne possèdent de plus en plus de droites et responsabilités pour l’union comme entiere pres de celles pour leur état et on peut affirmer que la conscience civique n’est plus encore relaite d’un certian territoire et la représentation de la citoyenneté comme statu peut être en relation avec une région, organisation, entité supranationale, etc. Les semnification du concept de citoyen sont très différentes :

valeurs auxquelles les adultes restent attachés et seraient à la recherche d'une nouvelle morale, recherche douloureuse et tâtonnante. Vraiment, je ne pense pas que les jeunes soient tourmentés dans leur ensemble par de tels problèmes. Les cas de conscience, les scrupules métaphysiques et les hautes spéculations ne semblent pas les attirer. On a dit aussi qu'ils étaient malheureux en raison des angoisses du temps présent et des menaces de guerre. Croire une telle chose ferait faire injure au courage