Conseil national du patronat français

Générale du Patronat Français en 1936, qui comptera, elle, vingt sept fédérations. L'évolution de cette terminologie est due à l'entrée du secteur tertiaire dans ce mouvement. Sous le gouvernement de Vichy, la dissolution des confédérations a eu le plus grand effet sur la réorganisation interne de l'action collective. L'enjeu de cette réorganisation est d'apaiser les tensions entre les grands patrons et les PME. C'est ainsi que la CGPF devient le CNPF (Conseil National du Patronat Français) en 1946

d’Allarde = donne le droit aux hommes libres de travailler Loi chapelier = interdit les coalitions (alliance, association) de métiers et de grèves (cette loi a pour finalité de protéger la république et garder l’égalité) 1806 : création des conseils des prud’hommes 1831 : révolte des canuts (personnes dans la misère) lyonnais (1er gros mouvement de grève)   1841 : 1ère loi sociale en France limitation de la durée du travail pour les enfants. Interdiction de travail pour les moins de 8

vis-à-vis du PCF, et du gouvernement car le PCF possède des ministres au gouvernement. Les syndicats contrôlés par le PCF sont fortement encouragés à soutenir la production nationale. C'est l'époque où Maurice Thorez, le chef du PCF, déclare : « la grève, c'est l'arme des trusts. » En septembre 1945, lors du premier comité confédéral national (CCN) depuis la Libération, les ex-unitaires obtiennent la majorité au Bureau Confédéral et désignent Benoît Frachon second secrétaire général. Certains ex-confédérés

La galaxie des syndicats français -La Confédération générale du Travail (CGT) Créée en 1895, la CGT est la première organisation syndicale de France. Proche du Parti communiste bien qu'autonome, adepte d'une ligne contestataire, la Centrale revendique un peu moins de 700.000 adhérents. En 2013, elle a obtenu 30% des voix exprimées aux élections professionnelles (moins de 50% des salariés inscrits votent). Son secrétaire général est Thierry Lepaon. -Confédération française démocratique du travail

la CGT-FO, la CGC, la CFTC, la CFDT. Par la suite, diverses scissions de ces confédérations créeront de nouveaux syndicats (CGC,CFDT) au cours du siècle. Le patronat ne sera représenté que bien plus tard en 1998 par le MEDEF (Mouvement des entreprises de France) succédant au CNPF (Conseil national du patronat français). B- La création d’un syndicat Pour défendre ses droits chaque employé peut créer un syndicat dans sa propre entreprise. Seulement deux conditions sont nécessaires:

échec. 3.1. ) Les partenaires de l’entreprise : Toute entreprise est de manière permanente en relation avec différents partenaires économiques, financiers et institutionnels : - ses fournisseurs de matières, d’équipements, de services (conseils, assurances,) ou d’information (banques de données, etc.) - ses sous-traitants si l’entreprise confie une partie de la production a d’autres entreprises ou a l’inverse ses donneurs d’ordre si l’entreprise est elle-même sous-traitante. -

Troisième République [modifier]  1791 : Loi Le Chapelier sur l’interdiction des associations ouvrières et des coalitions.  1804 : L’article 1781 du Code civil consacre l’infériorité légale de l’ouvrier face à l’employeur.  1806 : Création des conseils de prud’hommes.  1814 : Loi sur le repos dominical.  1840 : Villermé publie son Tableau de l’état physique et moral des ouvriers employés dans les filatures de coton, de laine et de soie.  1841 : Création de l’inspection du travail des enfants

Jean-Pierre Chevènement étant alors ministre de l'Education nationale et Roland Carraz secrétaire d’État à l'enseignement technique et technologique. Le concept de baccalauréat professionnel a émergé assez naturellement dans le contexte de la fin des années 1970 et du début des années 1980. Il y a eu tout d’abord l’accord passé, en février 1979, entre le ministre de l'Éducation nationale, Christian Beullac et la Fédération de l’Éducation Nationale et son secrétaire général André Henry. Cet accord permettait

LE SYNDICALISME FRANÇAIS ET ARRÊT DE LA COURS DE CASSATION. Partie 1 : le syndicalisme français : * Question 1 : La représentativité syndicale est la capacité, pour des organisations syndicales de salariés, de parler au nom de ces derniers. La reconnaissance de cette capacité permet en particulier aux organisations de négocier et de signer, avec l'employeur ou les représentants du patronat, des accords s'appliquant à l'ensemble des salariés d'une entreprise, d'une branche d'activité au niveau

syndicats enseignants : SNES (Syndicat National des Enseignements de Second degré) : plus a gauche, syndicat majoritaire UNSA (Union Nationale des Syndicats Autonomes) : centre gauche, réformiste Syndicats patronaux MEDEF (Mouvement des Entreprises DE France) FO : Force ouvrière ou FO est une confédération syndicale française, créée en 1947. Elle compte 500 000 adhérents. CGT : La Confédération générale du travail (ou CGT) est un syndicat de salariés français créé le 23 septembre 1895 à Limoges.