Conseil national du patronat français

«étrange défaite» (Marc Bloch) et remplacement de la République démocratique par la dictature pétainiste en 1940 gvt Daladier: sursaut moral des Français, signe annonciateur de l’idéologie de Vichy, «origine républicaine de Vichy» (Gérard Noiriel) ? pb: La France est-elle unie et prête à affronter une guerre générale, vingt ans après l’armistice de 1918 ? Une France toujours pas sortie de la crise des années 1930 une crise économique pas vraiment terminée les tensions sociales Une France

CAGOULE Le fascisme français qui a voulu assassiner Blum puis renverser le Front populaire (L’Oréal, SCHUELLER, Bettencourt et consorts). Un article d’histoire de mon ami Jacques Serieys, mais tellement en rapport avec l’affaire Woerth-Bettencourt…et tellement d'actualité!!!! que je le publie: [pic] 1) Le contexte La crise économique de 1929 1933 secoue toutes les sociétés européennes. Plutôt que de partager une partie de ses richesses, dans tous les pays le grand patronat finance des organisations

retraite complémentaires (ARRCO) des non-cadres, 1966 : Arrêté du 31 mars attribuant une représentativité, sur le plan national et interprofessionnel, à cinq syndicats de salariés : CFDT, CGT, CGT-FO, CFTC et CGC, 1967 : Ordonnances supprimant l'élection des conseils d'administration des organismes de Sécurité sociale, 1968 : négociations tripartites gouvernement/syndicats/patronat à la suite du mouvement de grève massif, « constat de Grenelle », 1970 : Accord interprofessionnel sur la formation

syndicats français et norvégiens en matière d'organisation ? 21 2.2. Rôle du délégué syndical 21  Rôle du délégué syndical en France 21  Rôle du délégué syndical en Norvège 22  Quelles sont les grandes différences entre les rôles des délégués Français et Norvégien? 23 2.3. Relations avec le patronat en France 23  Relations avec le patronat en France 23  Relations avec le patronat en Norvège 24  Peut-on dire qu'il existe des différences de relations entre les syndicats et le patronat en France

communauté. -Les métiers réglés : est assujetti à la municipalité et non au Roi. Cependant ces catégories de métiers sont amovibles, la tripartition n’était pas aussi nette. Ces trois types de catégories sont répartis inégalement sur le territoire français : -les métiers libres sont surtout dans les campagnes et dans certaines villes en Provence. -les métiers réglés sont surtout dans les villes du midi et du centre (Lyon : pour des raisons politique car période où l’autorité du Roi n’est pas

métiers et bourses du travail qui va donner la CGT en 1895 avec double structure verticale (par métiers) et horizontale (géographique). De 1895 à 1914 : problème d’organisation politique et relations entre syndicats et parti. 2 partis socialiste français= opposé à l’Etat et révolutionnaire (guesdistes) et l’autres pour les réformes sociales et relations électorales (anarcho-syndicalistes) Fusion en 1905 qui devient SFIO jusqu’en 1972 et devient parti socialiste La CGT essaye de se mettre au même

difficultés de l’existence aussi et font que mutualités et résistances ne satisfont plus aux exigences ouvrières. On va passer à la Chambre syndicale et, progressivement, à d’autres stades : fédéralisme professionnel et interprofessionnel, confédéralisme national et international. Parallèlement à ces propres rythmes, il y a formation d’une conscience politique. Remarques La Mutuelle est sélective à cause des cotisations. Ce sont, sans doute, les ouvriers de métiers qui y adhèrent, car ils disposent relativement

populaire est une coalition politique, au crépuscule de la troisième république, de trois partis politiques: le Parti Communiste Français, la Section Française de l'Iinternationale Ouvirière et le Parti Radical Socialiste. Il prend naissance quelques temps avant les élections législatives du 4 mai 1936 qu'il remporte. Léon Blum, de la SFIO devient alors président du conseil. Cette coalition prend définitivement fin le 30 novembre 1938, lorsque les radicaux, alors au pouvoir, répriment une manifestation

assez diversifiés (notamment concernant François Mitterrand et d’autres figures politiques) dont par exemple : -Le discours communiste, Paris, Presses de la F.N.S.P., 1977, 204 p. -En collaboration avec BRUGIDOU (Mathieu), Le discours syndical français, contemporain (CFDT, CGT, FO en 1996-98), Paris, EDF – Division Recherche et Développement, 2000, 150 p. Leurs derniers travaux en commun sont : « Histoire des syndicats, 1906-2006 », Seuil, 2006 « Faut-il aider les syndicats ? », Le Débat

SFIO accuse le PR d'avoir rompu l'union des gauches pour s'allier à la droite dans des gouvernements d'union nationale. -PC/PR: opposition résolue, apparemment irrémédiable. Le PC accuse le PR d'être un parti bourgeois, chauvin, colonialiste, conservateur, ouvrant la voie au "fascisme". Le PR accuse le PC d'être un parti insurrectionnel, inféodé à l'URSS, foulant au pied les valeurs nationales. La crainte commune du fascisme ne semble pas pouvoir constituer un élément de rapprochement. B- La constitution