Conservateurs et réformistes européens

utilise une tactique spéciale, il s’entoure de toutes les familles idéologiques de son camp. C’est pour cela qu’il n’est ni phalangiste, ni carliste, ni fasciste, ni libéral, ni démocrate-chrétien, il se définit d’ailleurs comme un militaire conservateur. C’est-à-dire, qu’il est garant de « l’ordre établi » La dictature de Franco fait naître ses opposants, parmi eux, il y a l’ETA (Euskadi Ta Askatasuna) dont les membres de ce groupe sont les habitants du Pays Basque; le FRAP (Frente Revolucionario

flamande, Kurdistan, nation juive, nation arabe, etc.) 4. La structure étatique est affectée par une érosion de ses compétences : - dévolutions par le haut : transfert de compétences à des unités supra- étatiques (Union européenne, OSCE, OTAN, FMI, Banque mondiale, OMC, ONU, etc.) - dévolutions vers le bas : transfert de compétences à des entités sub-étatiques internes à l’Etat (régionalisation, provincialisation, départementalisation, etc. 5. L’évolution

droit communautaire Les institutions de l’Union européenne Le système exécutif : Le Conseil européen A la suite de la Conférence de Paris 10/12/1974 par l’Acte unique européen. Volonté de créer une enceinte informelle de discussion entre chefs d’Etats ou de gvt. L’ensb est constitutionnalisé par le Traité de Maastricht ou TUE (=traité sur l’Union européenne (1992). Entrée en vigueur du Traité de Lisbonne le 1er/12/2009, Le Conseil de européen deviens une institution officielle à part entière

confédéraux auraient pourtant préféré voir ralentir. Le premier est le succès de la journée de mardi, qui a surpris plus d’un syndicaliste. «Après une telle mobilisation, impossible de ne pas appeler à une nouvelle action», confiait ainsi un dirigeant réformiste dans le cortège parisien. Le second : l’étirement du débat au Sénat. D’abord programmé pour mercredi, le vote de la Haute Assemblée sur le texte devait marquer, pour la CFDT, l’entrée «dans un nouveau contexte». Traduction : on ne s’oppose pas à

ont inclus (depuis 1917) dans leur programme le refus de toute déclaration de guerre sans consultation populaire. Le cas du PSOE –alors que le Parti ne renonce pas à l’arme des urnes- illustre la difficulté de certaines composantes du socialisme européen à stabiliser son centre de gravité dans le réalisme démocratique puisqu’à côté d’objectifs déjà atteints ailleurs (abolition de la monarchie, séparation Église-État, voire fermeture des monastères) il affiche des intentions maximalistes telles que

l’enferme à Sainte-Hélène. 3.5 La 2ème Restauration (1815-1830) Sur les plan international, le congrès de Vienne (Novembre 1814 – Juin 1815) a permis un nouvel équilibre européen. Le 26 septembre 1815, la Russie, l’Autriche, la Prusse forme la Sainte-Alliance. La France s’y joindra en 1818 ainsi que d’autre pays européens. Les Cents jours ont permis d’afficher la fragilité de la monarchie en France. Le nouveau système devra donc permettre une réaction efficace. Le 8 juillet 1815, Louis 18 revient

l’économie : les paysans, commerçants, artisans et plus tard les bourgeois… Aristote avait distingué les deux premières catégories et appelait la dernière les « laboureurs ». Des études du langage ont montré que toutes les sociétés d’origine indo européenne fonctionnaient sur ce schéma tripartite. On ne peut pas modifier la volonté de Dieu, donc on suit ses instructions. Les choses ont changé avec la dissipation de l’ignorance. -La justice conforme à l’adage, « à chacun selon ses mérites ». Ce sont

droit de propriété individuel, laquelle est limitée par les droits seigneuriaux. On demande l’égalité juridique en droit, pas de privilège de juridiction. Une contestation de la politique en elle-même. Deux tendances. -tendance modérée, plutôt réformiste, qui ne demande pas l’abolition de la monarchie, mais des réforme importantes, rationalisation du régime monarchique et fin de l’arbitraire. -tendance radicale, fondamentalement révolutionnaire, représenté par Rousseau. Idée du contrat social,

Russie, en Allemagne et en France, des limites progressistes de l’idéologie du Progrès… Tentative de troisième voie, qui s’incarna en France, dans l’éphémère cercle Proudhon, lieu de dialogue entre monarchistes nationalistes et syndicalistes anti-réformistes, où des hommes de bonne volonté, attachés par-delà leurs origines aux mêmes valeurs de noblesse de cœur, d’honneur, de combat et d’amour de la Patrie, tentèrent à l’aube de la guerre de 14, une improbable union sacrée anti-bourgeoise. Une union

modérée, mais dont l’aile gauche est proche des marxistes, a été fondé au lendemain du conflit par le prêtre sicilien Don Sturzo -le parti socialiste constitue la principale force politique du pays. Celle-ci est cependant divisée entre un minorité réformiste et une majorité « maximaliste » qui prône l’action directe et la conquête du pouvoir par la force, mais dont les violence sont surtout verbales Les divisions de la gauche et la rivalité des dirigeants modérés empêchent la constitution d’un gouvernement