Conservateurs et réformistes européens

Influencé par la Commune de Paris, Bourdon et Marx. Constitution de la CGT en 1885 → le mouvement ouvrier se construit n'arrive pas à se structurer car divergences idéologiques: guesdistes (tendances marxistes) possibilistes (socialistes réformistes) socialistes indépendants comme Jaurès. En 1902, le Parti Socialiste Français se forme et apporte son soutien au gouvernement radical-socialiste. Union du PSF et des radicaux en 1905 pour former la SFIO. Beaucoup plus discplinée que les radicaux

régime 1- La permanence du bipartisme Un phénomène remarquable de l'historie anglaise est qu'il n'y a eu au cours de son hsitoire que deux partis à jouer simultanément un rôle décisif bien qu'ils n'est pas toujours été les mêmes. Certes, les conservateurs sont les héritiers des tories, de même les libéraux des whigs. Toutefois, le parti libéral sera progressivement dépassé par le labour qui se substituera à lui en tant que 2ème parti. Cette éviction n'a été possible que par la création du parti

LA MONARCHIE, ACTEUR CENTRAL DU SYSTÈME POLITIQUE Réussir la transition démocratique au Maroc L’ALTERNANCE politique est une réalité au Maroc. Après plus de trente ans de régime conservateur caractérisé par de fréquentes et féroces répressions contre les forces progressistes, le gouvernement de coalition que préside M. Abderrahman Youssoufi, chef de l’Union socialiste des forces populaires (USFP), marque une importante rupture. Même si sa marge de manoeuvre paraît étroite (plusieurs ministères

DOMINATION DU MONDE EUROPEEN SECTION 1: LA DOMINATION EUROPEENNE AU DEBUT DU XXEME SIECLE  Le XIX siècle est le siècle de l'Europe qui incarne la civilisation. L'Europe diffuse partout un message de civilisation universaliste et qu'elle souhaite donc étendre au monde entier. L'hégémonie européenne est aussi bien politique que militaire, économique, politique et sociale ; malgré la montée de certaines puissances comme les USA ou le Japon.  § 1. PORTEE ET LIMITE DE LA DOMINATION EUROPEENNE A. Puissance

centralisatrices du gouvernement d'Ottawa sont le plus souvent perçus comme ayant contribué au développement d'un État interventionniste de providence, non seulement retardataire et modeste, mais de plus relativement peu progressiste, jugé à l'aune européenne. Dans cette perspective, l'idée de progrès demeure l'apanage d'un État central fort. Quelques auteurs, toutefois, évaluent moins sévèrement l'impact des structures fédérales sur l'évolution de l'État interventionniste de providence canadien ainsi

4 et 5, avec ce qui correspond probablement au XXVIIIe congrès du PCUS tenu au début de l’année 1986. Dans ce discours mentionné par l’auteur, Gorbatchev expose sa vision de la nouvelle politique à adopter. Imprégné de l’idée de « maison commune européenne » déjà mise en avant en 1985 lors du traité de Genève, Gorbatchev manifeste selon l’auteur le désir de vouloir mettre fin à l’ancienne politique soviétique, basée sur une propagande active et une diabolisation de l’ennemie impérialiste. En soulignant

à l’ONU. C’est là une étape décisive de la Détente puisque jusqu’à présent, la question de l’Allemagne était un important sujet de friction entre l’Est et l’Ouest. La conférence d’Helsinki, de 1973 à 1975, affirme l’inviolabilité des frontières européennes. La guerre du Vietnam marque en quelques sortes les limites de la Détente. Dès 19961, le président Kennedy y envoie des « conseillers militaires », pour aider le gouvernement de Diem face aux combattants communistes du FNL. Cette intervention est

effacerait l’Europe des traités de 1815 (Serge Berstein, Pierre Milza). La politique de Napoléon III consiste à venir en aide à tout gouvernement qui au nom du principe des nationalités cherche à s’affranchir des dominations étrangères. Le projet européen de l’empereur est d’être l’instigateur et chef de file d’une Europe des nationalités. La guerre conduite en Italie contre l’Autriche (1859-1860) en est un exemple. Cette politique extérieure parfois empreinte de naïveté amène Napoléon III à soutenir

universel direct leurs députés au Parlement Européen de Strasbourg. Les lois de décentralisation votées en 1982 accordent des pouvoirs plus importants aux collectivités territoriales et pour la première fois, en 1986, les Français élisent leurs conseillers régionaux. En 1992, le traité européen de Maastricht crée une citoyenneté européenne et permet ainsi aux ressortissants européens vivant sur le sol national de participer aux scrutins locaux et européens. Sous la Vème République, le recours fréquent

qui provoque colère et frustration. Ce sentiment favorise la montée d'un nationalisme allemand à l'esprit revanchard qui réclame une Allemagne forte et expansionniste (les défenseurs du pangermanisme veulent une reconquête de tous les territoires européens où se trouvent des peuples germaniques). Il favorise aussi la recherche de coupables, de « boucs émissaires » : la république de Weimar mais aussi les Juifs. L'antisémitisme se développe.D'autre part, entre 1918 et 1919 le mouvement spartakiste (communistes