Consolation De Lamartine

Harpagon. - [...] Ah ! C'est moi. Mon esprit est troublé, et j'ignore où je suis, qui je suis, et ce que je fais. Hélas ! mon pauvre argent, mon pauvre argent, mon cher ami ! on m'a privé de toi ; et puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie ; tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde : sans toi, il m'est impossible de vivre. C'en est fait, je n'en puis plus ; je me meurs, je suis mort, je suis enterré. Molière, L'avare, acte IV, se. 7 'extrait), 1668. Texte3

trépas, Montrant que dans le cœur ce voyage le fâche, Il marche lentement, et désire qu’on sache Que si ce n’était force[12] il ne le ferait pas. Poésie conative : poésie de circonstance : message clair pour destinataire Consolation à M. du Périer : poésie lyrique Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont pire destin ; Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, L’espace d’un matin. THEOPHILE DE VIAU : poète épris de liberté, désireux de

présence de la foule rend encore plus tragique la solitude du condamné. Les énumérations et les amplifications donnent l’impression d’une marée humaine qui approuve la peine capitale. Il tente de trouver du réconfort dans la religion mais cette consolation lui est refusée car il ne parvient pas à se recueillir et car le prêtre est maladroit. II LE MELANGE DES REGISTRES TRAGIQUE ET COMIQUE 1 Un récit symbolique tragique Le condamné est assimilé à une proie dévorée par ce qui l’entoure (la

pareilles, je l’ai demandé sans  relâche  avec des transports2 incroyables, et ce fils que j’obtiens, en fatiguant le Ciel de vœux, est le chagrin et le supplice de cette vie même dont je croyais qu’il devait être la joie et la consolation. De quel œil, à votre avis, pensez-vous que je puisse voir cet amas d’actions indignes dont on a peine aux yeux du monde d’adoucir le mauvais visage, cette suite continuelle de méchantes affaires, qui nous réduisent à toutes heures à lasser les

romantisme, le réalisme, le naturalisme ou le symbolisme. Les créateurs les plus importants échappent cependant à un étiquetage étroit et offrent des œuvres multiples et encore proches de nous, particulièrement dans le domaine de la poésie (avec Lamartine, Vigny, Musset, Hugo, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé…) comme dans le domaine du roman (avec Stendhal, Balzac, Dumas, Hugo, Flaubert, Zola, Maupassant, Verne…) et dans une moindre mesure au théâtre avec le drame romantique et ses épigones

LES SOLEILS COUCHANTS 1/Tristesse d’Olympio, Victor Hugo. Le lyrisme romantique réside ici dans le tragique de la condition humaine : opposé à la Nature éternelle, voire rajeunissante, le narrateur s’achemine vers sa mort, sans même avoir eu la consolation d’avoir servi à quelque chose. Sans s’appesantir, on peut faire voir aux élèves la richesse des oppositions, du rythme (syntaxe, ponctuation, parallélismes…), des rimes et des sons, soulignant la puissance déterminée de la Nature dans sa pérennité

l’apprentissage est long et ingrat. L’opéra est un grand plaisir qui réclame à l’amateur une véritable formation. On pourrait dire la même chose de tous les arts et il en va de même avec la littérature. La littérature est un plaisir immense, la consolation de bien des maux, l’accès à un monde enchanté – et elle demande un effort. De la curiosité, de l’attention, de la persévérance. Aimer la lecture, c’est franchir des étapes, aller de plus en plus loin, passer d’auteurs faciles à des auteurs plus

 » | 93 | famille | * « Un gendre est un homme pour qui nous élèverons, vous et moi, une chère petite créature à laquelle nous tiendrons par mille liens, qui sera pendant dix sept ans la joie de la famille, qui en est l’âme blanche, dirait Lamartine,… » * « Les sentiments par lesquels elle s’attachait à sa famille……hier notre fille était tout pour nous, nous étions tout pour elle. » * « le cœur d’une sœur est un diamant de pureté, un abîme de tendresse » | 9191101 | L’aide | « Vous voulez

dans le travail, le sacrifice et l’instruction ? Insensible serait celui qui lirait votre histoire, ou penserait à vous sans être ému. Puissent les prières et la charité des hommes, les offrandes des femmes et les vœux de l’enfance apporter une consolation à votre douleur. Les vicissitudes de la fortune sont pénibles, dites-vous ! Ne savez-vous pas que la vie est faite de joie et d’affliction et que rien ne subsiste en ce monde périssable ? Fussiez-vous princes ou esclaves, riches ou pauvres, il

hominum (Psaume 104: 14-15). Les vendanges, les vendangeurs et les effets du vin constituent des sujets très récur- rents en littérature. Au cours de l’histoire littéraire des auteurs tels que Villon, La Fontaine, Ronsard, Verlaine, Apollinaire, Lamartine, Daudet, Zola… ont toujours évoqué à travers le vin et l’ivresse les contradictions de l’homme qui veut profiter de son existence. Le langage du vin transcende le vin réellement bu par les écrivains, c’est un langage des sensations, des goûts