Consolidation Aux Banques

rapport, à tous les membres de CREDIT AGRICOLE DU MAROC qui m ont préparé des bonnes conditions de travail. XXXXXXXX OFPPT Page 2 Au terme de mon stage à la banque CREDIT AGRICOLE DU MAROC, je tiens à exprimer ma gratitude et ma profonde estime à Madame BELLA NAIMA, Directrice du GCAM, de m avoir accueilli au sein de la banque et m a offert l occasion d y effectuer mon stage. De même mon grand respect et mes sincères remerciements vont à Monsieur CHEHOUB ANOUAR de m avoir accueilli au sein

 Plan Remerciements Introduction Partie I : Aperçu Général sur la Banque Populaire I. Présentation de la Banque Populaire II. Missions III. Organisation Partie II : Présentation de l’Agence Bab Jdid I. Présentation de l’Agence : Fiche Signalétique II. Organigramme de l’Agence III. Organisation et Tâches de chaque Agent Partie III : Les Tâches Effectuées au sein de l’Agence pendant mon stage I. Activités exercées pendant le stage II. Bilan Personnel Conclusion

sont particulièrement concernés. L’activité même de banque est source de risque. Ainsi pour y faire face, une cartographie des différents risques a été mise en place. Trois grandes familles ont été distinguées : les risques bancaires (risques découlant particulièrement de l’activité exercée par la banque), les risques opérationnels (risques communs a toutes les entreprises qui prennent une importance particulière du fait de l’activité de la banque), et les risques de gouvernance. Nous allons expliquer

établissements de crédit est constitué de deux parties : - le plan comptable des établissements de crédit ; - les états périodiques destinés à Bank Al-Maghrib. Sont soumises aux dispositions du plan comptable des établissements de crédit, les banques et les sociétés de financement telles qu'elles sont définies par le dahir portant loi n° 1-93-147 du 15 Moharrem 1414 (6 juillet 1993) relatif à l'exercice de l'activité des établissements de crédit et de leur contrôle. Le plan comptable des établissements

l’ensemble de nos expertises • Une organisation adaptée aux enjeux des clients ‒ sociétés de croissance, filiales de Groupes internationaux, institutions financières ‒ des expertises sectorielles : distribution, industrie agroalimentaire, télécoms, banque, médias... ‒ des compétences pointues : fiscalité, technologies, principes comptables … • Une approche d’audit s’appuyant sur la qualité du contrôle interne et contribuant à la maîtrise des risques ‒ focalisée sur les risques spécifiques à l’activité

conjuguée des organismes d’aide, et face à la nécessité d’une plus grande efficacité des politiques publiques, l’Etat a entamé, au début des années 80, un processus de décentralisation au profit des collectivités locales dans l’objectif d’une consolidation de la démocratie et d’une promotion du développement local. L’article 3 du Code des collectivités locales confère aux collectivités locales une mission de promotion du développement local par la création de dynamiques durables. Une telle mission

cadre de l’intérêt général, afin d’une part, de rendre compétitives les différentes branches de l’économie et de rationaliser la distribution des biens en interne, et d’autre part, de permettre aux produits marocains d’être concurrentiels par la consolidation des positions acquises et la conquête de nouveaux marchés à l’échelle internationale,. La CGEM/FT veille pour que les activités des différentes fédérations et associations nationales qui la composent s’intègrent dans le processus de modernisation

le terme « sociétés » pour décrire les sociétés non financières (secteur S11 de la comptabilité nationale). Elles sont accessibles sur le site Internet de la Banque de France. Les séries utilisées sont encore susceptibles de modifications sur la période rétropolée. BULLETIN DE LA BANQUE DE FRANCE – N° 98 – FÉVRIER 2002 51 Études La Banque de France, en collaboration avec l’INSEE, vient d’achever la rétropolation des comptes financiers selon les critères de la nouvelle base de comptabilité nationale

demandes des actionnaires de référence Le marché concurrentiel des grandes banques poussent les principaux acteurs à faire de gros efforts pour diminuer les délais de production de leurs comptes, considérés comme un facteur clé de l’amélioration de la performance. En conséquence, la CDC, la CNCE et la Banque Postale demandent à la CNP de réduire les délais de publication des comptes et souhaitent obtenir les liasses de consolidation plus tôt. 2 La communication financière, axe de compétition entre les

nette dans le bilan de l’année 2003. Cette reprise a connu une hausse de 8 % par rapport à 2002. Le lancement de grands travaux dans le secteur du bâtiment et travaux publics explique largement cette embellie des investissements. Autre signe de consolidation macroéconomique, le niveau de l’épargne nationale qui se situe aux environs de 26 % du PIB, grâce essentiellement à la progression des transferts des marocains résidents à l’étranger (4,7 %), au maintien à un niveau élevé des placements des avoirs