Consonne nasale

10 + 10 + 12 + 10+10+10+10+6+10+3+12 Différentes définitions à connaître : L'allitération : répétition à intervalle régulier de la même consonne : exemple, allitération en [r]"J'aimais sortir à l'aube. le temps dormaitDans les braises, le front contre la cendre."L'assonance : répétition à intervalle régulier de la même voyelle ou de la même voyelle nasale, [on], [in]... Exemple, assonance en [u]" Nul n'a voulu, nul n'est venu ni parleNul n'est passé, que nous ne sûmes pas." ( à noter aussi dans

blancheur de la lune, peuvent faire penser à des algues) - de ce mouvement violent et dément , tordre. • Impression de magie corroborée par le rythme lent - longueur de l’alexandrin renforcée par le double enjambement (v 2-3-4), et nombreuses consonnes nasales et voyelles nasalisées : effet d'écho tout au long de la strophe. • Lenteur renforcée par l ‘évocation de la « chanson lente »ds le vers 2, c) Du réel à l’irréel La strophe entière construite sur une mise en abyme. • Le « je » de poète

suivie des consonnes /n/ ou /l/. L’invasion de mots anglais modifie certaines règles de prononciation. Un étranger devra surtout éviter les confusions entre /ø/ et son substrat non labial /e/, ou les ambigüités possibles entre /œ/ et son substrat non labial /ε/. 5. La distinction entre / ɛ̃/~/ œ̃/. Cette prononciation est encore vivante dans le Midi et le Sud-ouest. Dans l’enquête de Martinet, il apparaît qu’en 1941, seulement 57% des locuteurs parisiens distinguaient la nasale antérieure

les rayons du soleil, eux-mêmes reflétés par les algues qui affleurent en « haillons d’argent », pour repartir vers la montagne. Les deux rejets « D’argent » et « Luit », accentuent la qualité particulière de la lumière. Les consonnes du premier vers (r,v), les assonances nasales du second (accrochant, follement, haillons, d’argent) donnent de la fluidité à la description et atténuent le bruit de la rivière. Le regard embrasse la scène dans sa totalité en un mouvement descendant puis ascendant. Le premier

l'énergie mécanique des poumons en énergie acoustique qui sera bonnifiée et amplifiée par les résonateurs. Le timbre de la voix est donné par le pharynx (carrefour aéro-digestif entre les voies aériennes et digestives), la cavité buccale et la cavité nasale tandis que l'articulation sera faite grâce au voile du palais, à la langue et aux lèvres. Schéma des organes résonateurs D - Le système acoustique : ● La boucle audio-phonatoire est indispensable pour créer la voix. Elle permet à l'être humain

douleur du poète > Effet de sonorité : La douleur est présente et reviens sans arrêt, elle se répète. Strophe 1 : répétition en [ou] Strophe 2 : répétition en [a], allitération en [r], sifflante en [s] Strophe 3 : répétition en [en] (voyelle nasal), répétition en [ou], en [t] ; Strophe 4 : répétition en [aine], [a] ... → Les répétions donne une tonalité élégiaque. c) Des thèmes lyrique > Amour perdu : « Nos amours » V 2, implication du poète, quête presque impossible d'une époque

« l’Azur rit ». 2/ L’état d’âme maladif du poète · Les vers 3 à 6 décrivent l’influence  de la nature printanière sur le poète : son état d’âme se résume dans les vers : « L’impuissance s’étire en un long bâillement ». · Le s nombreuses voyelles nasales en [en] , [in], [on] par leur tonalité assourdie et le mot « bâillement », qui est une harmonie imitative de l’action évoquée, traduisent l’ennui. · Ensuite le poète essaie de lutter contre cet abattement : il « erre après un rêve vague et beau »

est assez similaire à un instrument à vent. Il est constitué de 3 principaux éléments. Une soufflerie (l’appareil respiratoire), un vibrateur (le larynx) et une caisse de résonance, qui va amplifier ces vibrations (constituée du pharynx, des cavités nasale et de la bouche). Tout ceci va donc créer une onde sonore. Analysons chacun de ces composants indépendamment. 1) L’appareil respiratoire : Ici, on étudiera le rôle de « soufflerie » de l’appareil vocal. Dans tout l'appareil respiratoire, les

l’écriture revient sur elle-même. La prose est linéaire alors que le vers revient sur lui-même. Une structure autonome comme l’est celle d’un poème. Travail sur la matière même du langage qui passe par la sonorité. Accumulation de sonorités nasales, armonie sonore dans la phrase elle même. A partir de la ligne 13 Proust met en place l’eau et l’air qui vont élever le texte peu à peu. Le nymphéa // fraise par l’intermédiaire de la couleur rouge. 2 végétaux, de même couleur : apparamment c’est

les contours et les couleurs. Cette dissolution est soulignée par le vocabulaire du flou « incertaine », « nuées », « flotter », « buées ». De plus Verlaine choisit le mètre impair car il est « plus léger et soluble dans l’air ». Les consonnes et les voyelles nasales sont très utilisées ce qui rend les contours flous également. Ensuite Enfin l’espace est dématérialisé. En effet une dimension surnaturelle nait d’une part avec les comparaisons étranges de la neige et du sable et des chênes