Constitution du 5 fructidor an III

ne sont ni l’un ni l’autre Le Conseil Constitutionnel (9 membres + les anciens PR), qui contrôle la conformité des lois à la Constitution. Elle se trouve au sommet des juridictions. Le tribunal des conflits, qui traite les conflits de compétences (positifs ou négatifs) entre les institutions administratives et les institutions judiciaires. La haute Cour (Constitution ,art. 47 et 48), qui se prononce sur une éventuelle destitution du Président de la République. La Cour de justice de la République

rester dans le grade inférieur. On bloc l’ascension sociale. Même chose pour le clergé. Le roi prend l'habitude de nommer des cadets de familles nobles (évêques...). 1786, dans le bas clergé, le curé dans sa paroisse gagnait à peut près 750 livres par an.... Alors que dans la noblesse : archevêque de Strasbourg avant la révolution : 1 million ! Sinon ils tournent à 200 000, 300 000. Le bas clergé se sent de plus en plus proches des gens du tiers état. Premier ordre qui perd sa coercition. La bourgeoisie

distinctes et resteront toujours séparées des fonctions administratifinistratives. Les juges ne pourront à peine de forfaiture, troubler de quelque manière que ce soit les opérations des corps administratif pour raison de leur fonction ». Le décret du 16 fructidor de l’an 3 pris par le directoire va venir confirmer cette loi en affirmant que « défense itérative sont faites aux tribunaux de connaître des actes de l’administratifinistration ». Depuis 1790, le juge judiciaire ne peut juger l’administratifinistration

privilégiés de garder la majorité au sein des Etats généraux. L'adoption de cette réforme permettrait au tiers-état de peser d'un poids égal aux deux autres ordres réunis. Louis XVI accorde le doublement du tiers. Mais il refuse le vote par tête. C'est le 5 mai 1789 qu'a lieu l'ouverture officielle des Etats généraux, qui se réunissent à Versailles. Vérification des pouvoirs des députés, de leur mandat, leur identité et la régularité de leur élection. Cette opération donne lieu aux premières difficultés

distinctes et resteront toujours séparées des fonctions administratifinistratives. Les juges ne pourront à peine de forfaiture, troubler de quelque manière que ce soit les opérations des corps administratif pour raison de leur fonction ». Le décret du 16 fructidor de l’an 3 pris par le directoire va venir confirmer cette loi en affirmant que « défense itérative sont faites aux tribunaux de connaître des actes de l’administratifinistration ». Depuis 1790, le juge judiciaire ne peut juger l’administratifinistration

la bouche de la loi ». En France, il n’y a que deux pouvoirs car la Constitution de 1958 a rabaissé le pouvoir judiciaire en le nommant autorité judiciaire. Section I: La notion de juridiction §1: Le critère national de la juridiction Se base sur un critère formel (auteur de la juridiction) et un critère matériel (de quoi est chargée la juridiction). Le critère formel ou organique : Au terme de la Constitution française (article 34), seule une loi peut créer une juridiction. Lié

séparation des pouvoirs l’interdiction faite au pouvoir judiciaire de statuer sur des litiges pour lesquels l’administration est en cause : (deux textes y font d’ailleurs référence et sont toujours en vigueur = loi des 16 et 24 aout 1790 et loi du 16 fructidor an III). A partir de 1790 les litiges dans lesquels l’administration est en cause sont jugé au sein de l’administration, les révolutionnaire n’ont en effet créés aucune juridiction compétente dans ce domaine (jusqu’en l’An VIII le principe de l’administrateur

cette phrase car c’était un roi très puissant. Cela apparaît dans le respect des lois fondamentales. Ces lois ne peuvent être touchées ce sont les « lois du royaume ou lois fondamentales », on a parfois dit que ces lois fondamentales étaient la constitution coutumière du royaume. Les lois fondamentales : la loi de succession du royaume  la loi salique car elle s’inspirerait d’une disposition de la loi salique de la Gaule, des francs saliens (les filles ne pouvaient pas hériter de la terre)

PREMIERE PARTIE : Il faut s’intéresser à la règle des règles c’est à dire la Constitution (Titre 2) ainsi qu’à l’institution des institutions à savoir l’Etat (Titre 2). TITRE I : L’ETAT « C'est une communauté d’hommes fixés sur un territoire propre et possédant une organisation d’où résulte pour le groupe envisagé dans ses rapports avec ses membres une puissance suprême d’action, de commandement et de coercition. » Raymond CARRE de MALBERG (1921) L’Etat est donc une société au sein de laquelle

normatif, la Constitution est une loi fondamentale et suprême. C'est parce qu'elle l'est que l'on considère que le droit constitutionnel est la première branche. La Constitution, loi fondamentale. Elle est la fondatrice de la société politique. Dans quelle mesure ? Elle définit les principes généraux de cette société. Le droit constitutionnel est un droit fondateur de la société et du droit public, parce que le droit public est le droit de la société politique. La Constitution, loi suprême