Contingence Aristote

l’expérience) et non-scientifiques 2) CANGUILHEM (1904-1995) Il défend la pluralité de la psychologie. En observant l’histoire, il dégage 6 discours différents. - La psychologie comme science naturelle⋄ remonte de l’Antiquité avec Aristote pour qui les animaux ont une âme - La psychologie comme science de la subjectivité⋄ apparaît au 17ème siècle avec Descartes pour qui existe 2 substances : l’âme (substance pensante/spirituelle qui a pour fonction de produire la pensée) et

organisation sociale, par sa capacité à raisonner et à distinguer le vrai du faux, le bien du mal etc. . Bref par la conscience de soi. En même temps tout le monde reconnaît que l’homme s’inscrit aussi dans cette nature. Comme animal politique, pour Aristote, il ne fait que réaliser sa place dans la nature. Toutefois la Nature comme ensemble des êtres naturels n’a de sens, pour Hegel, que par et pour l’Esprit. Or l’homme est la seule manifestation naturelle de l’Esprit. Donc l’homme n’est pas un animal

qu’être en puissance c’est n’avoir qu’une 4[5] Le mot prédicament vient du latin praedicare qui veut dire : dire, attribuer quelque chose à quelqu’un. On appelle prédicaments les catégories ou classes suprêmes de prédicats attribuables à un sujet. Aristote en comptait dix, le premier celui de la substance, le neufs autres étant les différentes catégories d’accidents : quantité, qualité, relation, lieu (où ?), temps, action, passion, situation et possession. Il faut cependant faire attention à ne

absolument directeur pour toute 11 la pensée du philosophe . Après avoir assimilé l'« être » à la substance, et à ses diverses catégories, la question du sens de « être » avait, historiquement, en 12 tant que telle, rapidement cessé de se poser pour Aristote , pour céder la place au questionnement de l' « étant ». L'attitude de désintérêt, vis-à-vis de la question de l'être (au sens verbal), sera poursuivie par la scolastique du Moyen Age et par la suite par toute la philosophie occidentale. L'«

             Nous avons tous entendu parler des « philosophes ». Pour beaucoup d’entre nous ce sont des  personnages célèbres que l’on peut identifier dans l’histoire à travers quelques figures que la tradition nous a laissées : Socrate, Platon, Aristote, Plotin, Épictète, Marc-Aurèle pour l’Antiquité ; Descartes, Spinoza, Leibniz, pour la période Moderne ; Kant, Hegel, Bergson ou Heidegger pour la période contemporaine. Ces hommes répondent au qualificatif général de « philosophes » pour quelle

besoins c’est l’espace, proprement, de l’insatiabilité, par conséquent, de l’absence de limite, de l’excès. La crainte de Platon dans la République recoupe celle de son disciple face à la mauvaise forme de la chrématistique, dans la Politique (Aristote, 1257b). Pour éviter à la cité le risque de sa propre destruction, pour préserver l’Etat du danger d’indifférence à l’égard de l’universel, la particularité se trouve exclue de la 10 sphère de la liberté dans le monde grec. L’Etat ne consent à

Montaigne (1533-1592) : «  on ne corrige pas celui qu'on pend, on corrige les autres par lui. » La Bruyère : «  un coupable puni est un exemple pour la canaille. » Le droit est facteur d'ordre, cad qu'on considère qu'il n'y a pas d'ordre sans droit. Aristote (384-322) : «  il ne peut y avoir d'ordre concevable en dehors de la loi . » Rousseau (1712-1778) : « Il n'y a point de libertés sans loi . » B. La spécificité des règles du droit objectif. Dans les caractères de la règle de droit, il y a

siècles. La philosophie grecque avait alimenté le moyen âge, grâce à Aristote. Elle avait imprégné la Renaissance, grâce surtout à Platon. Il était naturel qu’on cherchât, après Descartes, à l’utiliser en la rapprochant du cartésianisme. On devait y être porté par la tendance même des philosophes à mettre leur pensée sous une forme systématique, car le « système » par excellence est celui qui a été, préparé par Platon et Aristote, définitivement constitué et consolidé par les néo-platoniciens ; et

liberté, du libre arbitre et du destin et ce fut ensuite repris par les arcanes rosicruciens et les nombreux philosophes de la liberté au cours des siècles écoulés. Je ne peux en citer que quelques uns.: une grande partie des philosophes grecs dont Aristote, puis ensuite Lucrèce, Kant, Engels, Descartes, Sartre, Leibniz, Spinoza, Bossuet, Nietzsche, Bakounine, Cournot, Hume, Léon XIII, Rousseau, Pufendorf, Montesquieu, Marx, Valéry, Fourrier, Schopenhauer, Laporte, etc., etc., et j’en oublie de nombreux

composé d’un corps matériel et mortel, et d’une âme immatérielle et immortelle. L’âme est la “forme du corps”, c’est-à-dire un principe qui donne l’unité du corps en le structurant ; et cependant elle lui survit. Ainsi la théorie aristotélicienne (Aristote) de la matière et de la forme, de la puissance et de l’acte, est-elle compatible avec la doctrine chrétienne, qui prévoit l’immortalité des âmes. b) Le panthéisme — Avec Héraclite (grec) et plus tard Hegel, nous entrons dans le domaine des interprétations