Contingence Aristote

citoyen, celui qui a conscience de vivre dans une cité, qui a conscience qu'il doit s'intéresser aux affaires publiques, c'est-à-dire aux affaires politiques. L'antiquité nous apporte essentiellement l'enseignement des grecs (avec PLATON, ARISTOTE...) mais également des expériences institutionnelles, les idées politiques étant associées étroitement au monde juridique et donc institutionnel. Ces expériences institutionnelles préfigurent des modèles politiques. Les grecs sont des réalistes,

politique est une forme de rencontre entre les grands textes, les grands auteurs. C’est la rencontre entre la pensée et de l’autre côté un objet qui semble essentiel, la politique. Bien des auteurs ont défini l’Homme comme un « animal politique » (Aristote). En général, ces auteurs se sont définis contre les anciens. La politique n’est pas le naturel de l’Homme. La perspective que prendra Machiavel est anti-aristotélicienne. Nous allons travailler des textes assez abstraits, mais qui traiteront

christianisme (476-1453) * * La religion va prendre du pouvoir * * On recopie les textes anciens. L’Église choisi de recopier les textes désirés. On n’a perdu beaucoup d’écrits à cause de la sélection de l’Église. * * Accorder Aristote et l’Église. * * Conception de l’être humain : Créature de Dieu mais inférieur à lui. Doit le servir. Doit renoncer à son plaisir du corps, sacrifier son plaisir terrestre. * Paradis/enfer * * L’être humain est second, dominé

rituelles qui auraient précisément pour fonction de rendre disponibles ces cadres de pensée aux membres de la communauté (Rawls 1996). Certes, Bourdieu ne vise pas à prouver que les catégories qui sont au fondement de la métaphysique occidentale depuis Aristote sont, stricto sensus, de nature sociale. Par contre, il montre que la manière dont les disciplines scientifiques découpent le monde, le soupèsent et l’analysent repose sur des schèmes cognitifs si profondément intégrés par les savants durant leur

ni les amender  Existe donc un net déséquilibre en faveur des organes de commandement au détriment des organes de délibération. 3. Avis sur cette organisation : partagées - Platon séduit, surtout par l'efficacité de la division des taches. - Aristote considère que : 1. structure sociales : éducation des enfants et la stricte égalité relèvent de l'esprit démocratique MAIS critique que les femmes aient trop de liberté 2. organisation du régime : régime est mixte (éléments démo, monarchie, oligarchie)

le vritable roman se manifeste par un rcit rtrospectif en prose que le romancier fait du possible Le romancier met laccent sur lhistoire telle quelle aurait pu tre possible. Dailleurs, si nous nous rfrons au mot grec de mimsis, employ par Aristote dans la Potique, lequel signifie imitation, pouvoir de reproduction des lments du monde, nous concevons que mme si le roman imite la nature, il ne produit nullement pour autant un double ou une rplique de la nature. Le romancier produit une uvre

veritate (1256-1259), les Quodlibet (7 à 11) ; commente le De Trinitate de Boèce (1257-1258)… Son activité consiste principalement en disputes théologiques (disputatio), en commentaires de la Bible et en prédications publiques. Les commentaires sur Aristote de Thomas d'Aquin n'ont jamais fait l'objet d'un enseignement public. Premier enseignement italien (1259-1268)[modifier | modifier le code] Thomas d'Aquin et le pape Urbain IV, deLorenzo Lotto, 1508, huile sur bois, 155 x67 cm, Recanati, Musée

l'armée. Polémologie (science de la guerre). On fait la guerre depuis tjs, 1) Les premières organisations sont les organisations militaires. 2)Ensuite les organisations politiques et étatiques. La Polis cad la « cité ». Platon IVème av JC, Aristote parlent du pb du fonctionnement de l'Etat, de la société. 2)Les organisations religieuses et ecclésiastiques avec des hiérarchies, règles internes. La cité seraint inventée en Mésopotamie, entre le Tigre et le ? Vers – 3000 av J-C. Origine commerciale

certaines de ces définitions en nous rapportant aux champs disciplinaires dans lesquelles elles s’inscrivent. 1.2.1- La place de la confiance dans la pensée philosophique La réflexion philosophique (Platon, Aristote, Socrate) se construit contre l’idée de confiance. Aristote accorde néanmoins un rôle important à la confiance, notamment dans l’organisation de la cité. En effet, deux sortes de vertus différentes doivent être distinguées : les vertus intellectuelles (le jugement, la raison)

Qu’avez-vous besoin d’employer les supplices ? Aimez la vertu et le peuple sera vertueux ». Mais il conseillait la peine capitale dans des cas exceptionnels, afin de maintenir l’ordre. Les philosophes grecs aboutissaient à la même conclusion. Pour Aristote, les châtiments sont nécessaires pour refréner et corriger les malfaiteurs quand ces deniers étaient « incorrigibles » ; Platon quant à lui voyait dans la peine capitale l’occasion pour le coupable de s’amender, elle le purifiait de sa faute. Mais