Contrainte artistique volontaire

d’accompagnement éducatif mettant en relation besoins des élèves /objectifs éducatifs / contraintes / ressources de l’établissement et/ou de l’environnement II. Les volets du projet - - - - L’aide aux devoirs et aux leçons - Objectifs poursuivis - Modalités générales de mise en œuvre - Apprendre ses leçons - Faire ses devoirs - Approfondir le travail fait en classe La pratique artistique et culturelle - Objectifs poursuivis - Modalités générales de mise en œuvre Les activités

Les aventures individuelles (p.29) 2.3.1 L’immersion aventureuse et les retours questionnants (p.30) 2.3.2 Les moments extraordinaires (p.30) 2.3.3 Le voyage imaginé (p.31) 2.3.4 La collaboration volontaire (p.31) 2.3.5 Le jardin à cultiver (p.32) 2.3.6 Les « contes rendus » (p.32) 2.4 Le projet artistique personnel (p.33) 2.5 Les rythmes de la FAI AR (p.34) 3 3. La FAI AR – son suivi et son évaluation (p.35) 3.1 Un suivi continu (p.36) 3.2 Une évaluation sensible – le Panorama des chantiers de

à 1914. Dix s'essayera au cubisme (courant artistique, né au début du XXème siècle, dans lequel les sujets sont représentés sous des formes géométriques), au futurisme (mouvement artistique du Xxème siècle consistant à exalter le " futur " et les nouveaux mythes de la société moderne : la machine, la vitesse, le " dynamisme ") et plus tard au dadaïsme (Courant artistique et intellectuel apparu en 1916 qui remet en cause les conventions et les contraintes du début du XXeme siecle). Lorsque la première

un contexte d’écrit qui est la première guerre mondial et un contexte de conception qui sont les années folles en 1920 puis l’après crise de 1929. Son courant artistique et l’expressionnisme et le dadaïsme (mouvement artistique, né du dégout de la guerre, qui se complaît dans la provocation et le rejet de toute contrainte moral ou artistique). C’est une œuvre de mémoire, car Otto Dix témoigne de la guerre afin de rappeler, à ceux qui l’ont oublié, que la guerre n’est pas une bonne chose. Mais c’est

associé au mouvement de l’expressionnisme. Il a peint « Pragerstrasse » ou La rue de Prague en 1920 lequel est conservé à Stuttgart galerie der Stadt . En 1920, âgé de 29 ans, Otto Dix est profondément marqué par le guerre, qu’il a vécu comme volontaire dans une compagnie de mitrailleurs. A sa volonté de témoigner s’ajoute son désir de peindre la réalité, la laideur et montrer les terrifiantes suites de la guerre. C’est ce qu’il fait dans une série de toiles en 1920, qui mettent en scène des personnages

morale et philosophique pour évoquer enfin la libération sur le plan esthétique et artistique dont il témoigne. I- Liberté de circulation à travers les genres et les formes Recueil issu d'une démarche doublement originale et inédite, Les Mains libres se meut très librement dans les genres et les formes auxquelles il emprunte. 1. Double originalité de la démarche du recueil - Originalité de la démarche artistique de Man Ray, qui « note » ses rêves sous forme de dessins au réveil, et dessine le

bonne éducation artistique grâce à sa mère Pauline Louise Dix qui s’intéresse à la musique et à la peinture. Pendant sa jeunesse, il suit le professeur de dessin Ernest Schunke puis il prend des cours de dessin de 1905 à 1909 au près de Carl Senff. Grâce à une bourse d’étude, Otto Dix entre à l’école des arts appliqués de Dresde où il étudie entre 1909 et 1914. Il s’essayera au cubisme, au futurisme et plus tard au dadaïsme. (Le dada est un mouvement intellectuel, littéraire et artistique qui, pendant

ressurgir de plus en plus fréquemment dans une société qui fonde la valeur individuelle au sein d’un groupe, qu’est la société, par le travail. Si l’on peut associer le travail à l’ennui, on peut aussi le lier à du plaisir. L’homme en société se voit contraint d’exercer un travail pour subvenir à ses nécessités. C’est cette ambivalence des termes que l’on associe au travail qui justifie le bien fondé de la problématique, l’homme s’accomplit-il dans le travail ? Cela revient à se demander si l’Homme en

avec violence. Les artistes ont toujours été à l’avant-garde des sociétés. En effet le propre de l’art est la création, donc l’innovation. Lorsqu’une société se reconnaît dans un mouvement artistique, qu’il soit pictural ou musical, l’artiste va alors tenter de le dépasser, il ne peut être contenu, contraint. Son essence est la liberté, et tout particulièrement la liberté d’expression. II. ART ET SOCIETE : EVOLUTION Pour ma part je définis l’art comme avant- gardiste, il pousse la société dans

l’analyse des termes à revenir l’étymologie, cela peut donner des idées.) Cette position soulève tout de même un certain nombre de problèmes touchant à l’essence même de la littérature et de l’art : les auteurs soi-disant « modernes » sont-ils contraints à une imitation qui pourrait dans des cas extrêmes confiner au plagiat ? Peut-on malgré tout attendre des écrivains une originalité qui renouvelle des formes ou des thèmes rebattus ? Si nous pouvons tomber d’accord avec Aragon, pourtant réputé