Contrainte de cisaillement

Coefficient de hauteur utile : β = l0/lw γn Coefficient de sécurité partiel complémentaire pour le béton λ Élancement : λ = l0/i σcm Contrainte moyenne de compression du béton σct Contrainte de traction du béton σgd Valeur de calcul de la contrainte du sol σSd Valeur de calcul de la contrainte normale τSd Valeur de calcul de la contrainte de cisaillement Page 9 ENV 1992-1-6:1994 Section 2 Bases du calcul La section correspondante de l'ENV 1992-1-1 est applicable, à l'exception de ce qui

géophysiques -Méthodes in situ .pénétromètre .pressiomètre .scissomètre -Prélèvements Caractéristiques physiques, chimiques et mécaniques d'un sol Résistance d'un sol - à la compression - au cisaillement dans le cas d'un sol remanié et dans le cas d'un sol en place Répartition des contraintes dans le sol Stabilité des pentes et talus non soutenus Influence de l'eau Traitement d'un sol - hydraulique (drainage, rabattement de nappes) - chimique (chaux,...) - mécanique (compactage, remblai

forces et contraintes Le poids de l’appareil,la résultante aérodynamique sur chaque aile,la poussée aussi dite traction des moteurs,les efforts aérodynamiques sur les gouvernes et les effets inertiels tel que la force centrifuge sont les principales forces agissant sur l’aéronef. Une contrainte est physiquement homogène à une pression puisqu’elle correspond au rapport d’une force sur une surface. Les principales contraintes sont les suivantes : la traction,la compression,le cisaillement,la torsion

paroi • Transports froids de granulés amorphes Si l'échauffement de la surface est tel que sa température atteint localement la Tg (transition vitreuse soit 70 - 80°C), il peut y avoir à cet endroit ramollissement, "étirage", sous l'effet du cisaillement et création de fines lanières. • Transports chauds de granulés cristallisés C'est le cas des transports pneumatiques du séchoir à la trémie extrudeuse. Dans ce cas, la température du granulé peut être portée localement, c'est à dire sur

calcul la contrainte conventionnelle de rupture en flexion statique : σ = 3 P.l/(2.b.h²) p : la charge totale appliquée à la rupture en flexion en N l : la distance en mm entre les axes des appuis cylindriques b : la largeur mesurée en mm de l’éprouvette h : la hauteur mesurée en mm de l’éprouvette I. Essai de flexion simple ou essai de flexion 3 points La flexion provoque une distribution de contraintes présentant à la fois un gradient et une répartition de contraintes de traction

apports de l'étude sismique B1. Séisme et ondes sismiques Un séisme correspond à une rupture de roches soumises à des tensions qui s'accumulent pendant des années, voire des siècles, dans certaines zones de l'écorce terrestre soumise à des contraintes. L'énergie accumulée pendant toute la période de déformation est alors brutalement libérée au foyer du séisme. Les vibrations au niveau du foyer se propagent dans toutes les directions : ce sont des ondes sismiques. Les sismographes disposés

utilisés ont également évolué. Ils doivent permettre la résistance aux forces de flexion, traction, compression et cisaillement ainsi qu’aux intempéries et à la corrosion. On a connu : les ponts en bois les ponts romains en pierre plus longs à fabriquer mais plus résistants les ponts en fer et en acier grâce à la révolution industrielle les ponts actuels en béton et béton pré-contraint (béton dans lequel est placé un câble en acier) Au fil du temps, les progrès techniques et les connaissances

et les alliages présentent sur les courbes obtenus (un stylo permettait de mesurer la déformation résultante), une zone appelée domaine élastique. Ainsi la déformation (ou allongement) pour tous les points de cette droite est proportionnelle à la contrainte (effort exercé). Pour cette zone, le matériau peut revenir dans sa position initiale si on cesse la traction et il garde l’intégralité de ces propriétés. Voici quelques définitions utilisées : Allongement en % : A% = 100 (L- L0)/ L0 où L

diminution des résistances) ou dans la proximité d’un chantier produisant affouillements et entraînements déblais ou remblais. CAUSE DIRECTE DANS LES MURS a) effets : rupture par compression, bombement global des feuilles, rupture par effort de cisaillement b) effets différés sur les éléments adjacents (couvertures, voûtes, planchers) Les seules causes lointaines possibles sont l’accroissement des charges ou la dégradation des matériaux. Cause directe dans les éléments adjacents (couvertures

..............................................................11 II - 2 Contraintes ....................................................................................................................................11 II -3 Equilibre.........................................................................................................................................13 II - 4 Quelques propriétés du tenseur des contraintes.........................................................................