Contrat Social Introduction

Section 1 : Fondements du contrat §1 La théorie de l'autonomie A) Contenu Les auteurs qui inspirèrent directement le code civ, comme Domat et Poithier, les rédacteurs du Code civ, et suret ses interprètes du XIX éme et du début du XXéme fondaient le contrat sur la théorie de l'autonomie de la volonté : le contrat repose la volonté de ceux qui s'engagent. Cette théorie s'inspirait de doctrines philosophiques et économiques variées. D'un point de vue philosophique, l'origine de la théorie

opposés pour d'autres. L'étymologie du mot « religion » est assez flou, en effet, il pourrait venir du terme « religare » qui signifie relier mais aussi d'un autre mot « religere » qui se traduit par soigner, respecter. La religion est une institution sociale liée à l'affirmation d'une transcendance définissant le domaine du divin ou du sacré, opposé au profane. Elle rassemble les croyants dans une communauté que soudent les convictions et les pratiques : les rites, mais aussi les devoirs, les règles de

« la volonté générale »Dans le paragraphe suivant, §10. la notion de « volonté générale » prend une place importante. « Chacun de nous, dit rousseau, met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale ; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout ». Selon Rousseau, la volonté est générale lorsqu’elle est raisonnable. En effet, en se plaçant sous sa direction, chacun se place sous la direction de la raison et donc de soi-même

synonyme de l’état moderne. L’Etat de droit reposerait ainsi, quant à lui, sur la soumission au droit . Robert von Mohl considère d’ailleurs la théorie de l’état de droit comme inscrite dans le courant de la théorie du contrat social : il ne serait autre que l’état fondé sur le contrat social, qui a pour fonction de préserver les droits naturels de l’individu. Ainsi, on peut en déduire que dans un tel état, le pouvoir ne peut se servir que des moyens autorisés par l’ordre juridique. Autrement dit, il consiste

La démocratie à donné la chance à l’homme de pouvoir s’exprimer sur le futur de sa nation. Nous aurions de meilleurs dirigeants si les citoyens suivraient une formation sur l’actualité politique, économique et sociale afin d’avoir le droit de vote. Pour faire un choix judicieux, il faut posséder un certain savoir et pouvoir prendre conscience des besoins de sa société. Plusieurs décisions sans réflexions, l’homme se pose rarement de vraies questions. Il est certain que beaucoup de gens utilisent

l’homme, la société ainsi que l’éducation qui sont une des questions fondatrices de cette périodes Française. I/ Sa vie Après une éducation bâclée, il fait l'expérience, dès son adolescence, de tous les métiers, de toutes les conditions sociales. Il est tour à tour artisan, vagabond, laquais, maître de musique, précepteur, secrétaire d'ambassade. Ce n'est qu'à l'approche de la quarantaine qu'il prend véritablement conscience de sa vocation philosophique et littéraire. Son premier écrit philosophique

démocraties occidentale en ont souvent pratiqué la synthèse (section 3 ) . Il y a en effet à la fin du XVIII ème en France 2 théories qui dominent la réflexion politique : celle de la souveraineté populaire (développée par J.J. ROUSSEAU dans du contrat social) et celle de la souveraineté nationale (défendue par l’abbé SIEYES dans son ouvrage qu’est ce que le tiers-état ?) La première affirme que la souveraineté est fractionnée entre les individus (chacun en détenant une sorte de « côte part »)

reste avec nous à l’adulte. B. Critique de la politique Le manque de justice, pas de séparation du pouvoir, il n’ya pas de pouvoir et on peut être emprisonné. La France a vraiment un régime politique qui est contre les droits. Le début du contrat social de Rousseau : ‘’ tout homme est libre, et partout il est dans les fers’’. C. Critique de la religion Voltaire n’est pas contre la religion. Dieu est caché (selon les jansénistes), donc la, nous avons une attaque contre les divisions religieuses

la définition de l’Etat va évoluer. La question de l’origine de la souveraineté, élément définissant l’Etat, va se poser. Deux conception s’oppose : celle de la souveraineté populaire dévellopé par Jean Jacque Rousseau dans son ouvrage « Du contrat social » parut en 1762, selon laquelle chacun des citoyens est dépositaire individuellement d’une partielle de souveraineté, et la conception de la souveraineté nationale défendu notamment par Sieyès, et reprit dans l'article 3 de la DDHC aux termes

 Dans ce « système », Rousseau apparaît tout à la fois comme un moraliste à l'antique, un réformateur social, un esprit très pratique et un métaphysicien sermonneur. Le livre IV, qui contient la Profession de foi du vicaire savoyard, renferme le principe de cette éducation : la religion naturelle. Contre les rationalistes relativistes (Montaigne, Helvétius) et les croyants qui font dépendre la morale d'une révélation surnaturelle (courant janséniste), Rousseau affirme l'existence de l'Être suprême