Contre La Haine Et L Indifférence

d’Émile ZOLA (Paris, Gallimard, 1978, collection Folio classique, p. 409-411). 9 Exemple de plan DIALECTIQUE Modèle : • • • Idée principale 1 : Thèse (arguments POUR) Idée principale 2 : Antithèse (arguments CONTRE) Idée principale 3 : Synthèse (examen du POUR et du CONTRE) Sujet : Est-il juste d’affirmer que, dans les deux textes, le conflit mère-fils est semblable? Point de vue : NUANCÉ (à la base, le conflit est semblable, mais il y a des différences) IP. 1 (thèse) : À première vue

un « Ichspaltung », un « clivage du moi » qui complète chez lui la notion de déni. Par la suite, Klein a défini, dans la même lignée, un « Objektspaltung », un « clivage de l’objet » qu’elle considère comme le mécanisme de défense le plus primitif contre l’angoisse, à l’œuvre entre autres dans la position paranoïde-schizoïde. Encore plus tard, Lacan a tiré de certains textes de Freud la notion de « clivage du sujet », qui n’est plus seulement un mécanisme de défense mais « la condition nécessaire

lui qui a tous pouvoir sur les troyens. C'est lui qui critiquera le comportement de son frère pendant la guerre de Troie,il fut le plus grand protecteur de Troie personne ne réussit a prendre Troie tant que Hector était roi. C'est lors d'un combat contre Achille qui était venue venger son ami qu'il mourra mais avant il assigna un coup mortelle a Achille (au talon) et quand il Hector mourra Achille l'accrocha par les talon a son char et fis le tour de Troie ainsi avec le corps traînent de Hector a

Dieu, ou encore une quelconque entité supérieure : Qui sait ? Qui peut en être sûr ? Ces interrogations mènent à l’absurdité de la vie. L’absurde devient alors « (…) leur seul lien. Il les (la raison et l’irrationnel) scelle l’un à l’autre comme la haine seule peut river les êtres… L’irrationnel, la nostalgie humaine et l’absurde qui surgit, (…) voilà les trois personnages du drame qui doit nécessairement finir avec toute la logique dont une existence est capable ». 2.    Camus et la philosophie

Dieu, ou encore une quelconque entité supérieure : Qui sait ? Qui peut en être sûr ? Ces interrogations mènent à l’absurdité de la vie. L’absurde devient alors « (…) leur seul lien. Il les (la raison et l’irrationnel) scelle l’un à l’autre comme la haine seule peut river les êtres… L’irrationnel, la nostalgie humaine et l’absurde qui surgit, (…) voilà les trois personnages du drame qui doit nécessairement finir avec toute la logique dont une existence est capable ». 2. Camus et la philosophie

fuite. Scène 3 : Les doutes de Thésée, qui a vu Hippolyte et Aricie ensemble, s’éveillent. Il apprend de la bouche d'Aricie qu'Hippolyte n'aime qu'elle, qu’elle fuira avec lui. Insultée par le roi, elle lui laisse deviner un mystère, le met en garde contre I'injustice qu'il s'apprête à commettre. Scène 4 : Les doutes de Thésée se confirment : il veut revoir Oenone. Scène 5 : Mais Oenone s’est noyée, et Phèdre veut mourir. Thésée fait rappeler Hippolyte. Scène 6 : Théramène vient annoncer et raconter

achever mais un monde dont il est le maitre.Et à Camus qui fait de Sisyphe le héros absurde,d’écrire il faut imaginer Sisyphe heureux. En effet,Camus pose à la révolte de l’homme une condition sa propre limite.La révolte de Camus n’est pas contre tous est contre tout.Et Camus d’écrire la fin justifie les moyens ?Cela est possible.Camus n’est possible.Mais qui justifie la fin ?A cette question,que la pensée historique laisse pendant,la revolte répondre les moyens. L’Existentialisme L’existentialisme

son espoir en ce moment-là). Pour l’instant, nous ne connaissons pas d’autre moyen qui puisse communiquer aux peuples épuisés cette rude énergie du camp, cette haine profonde et impersonnelle, ce sang-froid de meurtrier à bonne conscience, cette ardeur cristallisant une communauté dans la destruction de l’ennemi, cette superbe indifférence aux grandes pertes, à sa propre vie comme à celle de ses amis, cet ébranlement sourd, ce séisme de l’âme, les leur communiquer aussi fortement et sûrement que

pas dit qu’elle [Elvire] était ici elle-même - Monsieur, vous ne me l’avez pas demandé. » (I, 2)) Il va parfois jusqu’à dire ses quatre vérités à son maître, il est vrai le plus souvent avec l’accord de ce dernier. Il agit même par trois fois contre les intérêts de Don Juan (I, 1 ; II, 3 & II, 4). Une fois même il réussit à fléchir Don Juan (le déguisement entre les actes II & III). En fait Sganarelle est davantage un auxiliaire, un homme de confiance, qu’un valet. Don Juan possède d’autres

arrestations1 qui a amené la classe politique française à prendre des mesures réactives pour recadrer son autorité. Qu’est ce que cette agitation socio politique traduit ? Est-elle la résultante du choc ces cultures liées aux immigrations récentes ? La haine de l’Etat de ces jeunes en difficulté a-t- 1 « Les banlieues restent sinistrées deux ans après les émeutes, Luc Bronner, Lemonde.fr elle profité à une autre source d’autorité jusqu’à aller s’interroger comme le politologue français Olivier