Contre La Haine Et L Indifférence

homme. Affirmation déjà amorcée ds 1ère partie cf I de la LA. Et poursuivi par « Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre. Libéré de ces mauvaises passions, Meursault est enfin libre : « je m’ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde », « j’ai senti que j’avais été heureux et que je l’étais encore. - Meursault peut enfin, comme tout héros tragique, accéder au sublime par la mort. - B- Renaissance symbolique : C’est, physiquement, une révolte

entière, pourquoi la bête en santé, la bête qui n'a pas besoin de moi, demeure-t-elle à ce point mon amie, ma soeur, une compagne que je recherche, que j'aime ? Pourquoi cette affection chez moi, et pourquoi chez d'autres l'indifférence et même la haine? * * * Ces temps derniers, comme j'achevais d'écrire le roman qui a Rome pour cadre, j'ai reçu de cette ville une longue lettre qui m'a infiniment touché. Je ne crois pas devoir en nommer le signataire. Il s'agit d'un officier supérieur de

travail et que lundi on doit reprendre « Céda bientôt la place à l’ennui » : le plaisir perd nécessairement en intensité. Il se transforme alors en indifférence, en ennui, voir en haine, en dégout. C’est l’habitude qui peut expliquer la transformation du plaisir en ennuie. C’est la déception qui peut expliquer la transformation du plaisir en haine, en dégout. Le plaisir à un caractère changeant qui s’oppose a la stabilité du bonheur. Raison pour laquelle Vronski se jette sur des nouveaux objets

utiliser les moyens appropriés pour arriver au but qu’il s’est prescrit, et tant pis pour lui s’il se trompe. Seule une minorité de naïfs et de dupes s’obstina à espérer Tradition judiciaire : on fait en sorte que le condamné ne sente autour de lui ni haine ni arbitraire, mais la nécessité et la justice, et le pardon dont accompagne la punition. Lager : contraire. « les hommes savent qu’ils vont mourir. » « Chacun prit congé de la vie à sa façon ». Douleur du peuple qui n’a pas de patrie, douleur sans

amoureuse, tomber malheureuse, on ne peut pas tomber un peu, quand on tombe c'est toujours de haut. Être forte, c'est pleurer dans ton lit tard le soir et sourirecomme si le monde était à tes pieds le lendemain. "Mieux vaut perdre la vie par leur haine que d'attendre la mort sans être aimé de toi." Roméo et Juliette. Et beaucoup de femmes mangent 5 fruits et légumes par jour sans le savoir ! Car les hommes leur racontent des salades pour leur mettre des carottes. La plupart du temps les mecs s'inventent

1927. Malraux évoque le défi des Chinois : des communistes et nationalistes qui luttent contre le gouvernement de la région qui laisse tout aux mains des occidentaux. C’est les deux forces neuves, un parti est nationaliste ou Kuomintang dirigé par Chang-Kai-Shek, et l’autre, le parti communiste chinois, qui seront contre ce régime, qui refuseront complètement cet état de faits en préparant une insurrection contre le gouvernement. Malraux parle des révolutionnaires qui luttent pour ses croyances

devant lui». Dans l'apocalypse de saint Jean, il est un passage disant que le dragon dans sa chute emporta un tiers des étoiles du ciel. Ceci a été interprété par les pères de l'Eglise de la façon suivante : Lucifer, dans sa chute après sa rébellion contre Dieu, a entrainé un tiers des anges à sa suite en enfer, qui sont donc devenus des anges déchus. La Bible ne parle pas de la nécessité pour les anges de manger pour se maintenir en vie. Elle dit pourtant qu'à certaines occasions, les anges, sous

philosophe, il a eu une grande influence sur Camus . 1938 à 1940: il devient journaliste 1940: il quitte l’Algérie pour la France 1941: il entre dans la résistance puis publie dans le journal Combat 1945: il dénonce la sauvagerie de la punition contre les soldats Baudelaire : Charles-Pierre Baudelaire naît le 9 avril 1821 et meurt le 31 août 1867 à Paris. Son père meurt en 1827, alors que Baudelaire n’avait que 6 ans. C’est un homme lettré, épris des idéaux des Lumières et amateur de peinture

ingrate à vos bontés. L'inimitié succède à l'amitié trahie. Antiochus Non, Arsace, jamais je ne l'ai moins haïe. Arsace Quoi donc ? de sa grandeur déjà trop prévenu, Le nouvel empereur vous a−t−il méconnu ? Quelque pressentiment de son indifférence Vous fait−il loin de Rome éviter sa présence ? Antiochus Titus n'a point pour moi paru se démentir : J'aurais tort de me plaindre. Arsace Et pourquoi donc partir ? Quel caprice vous rend ennemi de vous−même ? Le ciel met sur le trône un

caractérise le personnage d’Adolphe tout au long du récit, c’est cette « constante inconstance », cette multiplicité de la personnalité qui est sienne. On assiste dans Adolphe à une déchirure du moi dans ses contradictions : la raison lutte contre la passion, l’amour et la haine s’alternent. Et le plus surprenant est cette recherche du repos de l’âme par l’agitation de l’esprit, « Presque toujours, pour vivre en repos avec nous-mêmes, nous travestissons en calculs et en système nos impuissances ou nos faiblesses