Contre Utopie Fahrenheit 451

Fahrenheit 451- Ray BRADBURY Première partie : Le foyer et la salamandre Dans la nuit, le pompier Guy Montag marche sur la route pour rentrer chez lui. Il rencontre une jeune fille de 17 ans, Clarisse, qui habite dans une maison voisine à la sienne avec son père et son oncle. Celle-ci est différente des gens qu'il cottoie habituellement : elle observe son environnement, elle réfléchit. Ils discutent ensemble quelques minutes ou plutôt elle lui pose quelques questions qu'il trouve surprenantes

comme on veut -pas de prêtres, nobles, valets, mendiants -travail 6h/jour -toute l’ile est une grande famille Le mot « Utopie » entre en France en 1534 pas Rabelais et signifie un gouvernement imaginaire. C’est un projet politico-social imaginé jusqu’au 19eme siècle. Aujourd’hui, il a plsrs sens : chimère, illusion, mirage, qlq chose a réalisation impossible. Les Utopies ont fleuris au 18eme siècle car on réfléchit sur la condition du bonheur de l’homme. Les philosophes ont besoin d’un modèle

n’y a pas que l’apparition de la télévision et les bières à 0,25 $. Ce qui donne lieu d’être la Révolution tranquille n’apparaît pas du jour au lendemain. Il y a gestation. Une énergie bouillonne déjà dans l’esprit de certains groupes d’individus. Contre l’aliénation, ils ruminent, lancent un Refus Global en 1948 et peignent leur mécontentement. À l’aube des années 60, une idée en sourdine commence à rallier les gens : la place qu’occupe le Québec ne lui rend pas honneur. La culture est soumise à

L’anti héros de cette aventure littéraire fait escale à travers le miroir d’une réalité déformée, voyage vers la contre utopie. L’expérience visionnaire s’entame dès l’ouverture du journal. Le départ du narrateur pour l’autre monde se solde par la fermeture du journal, du livre. Contexte Quelque chose de particulier se trame au Québec entre 1950 et 1960. Il n’y a pas que l’apparition de la télévision et les bières à 0,25 $. Ce qui donne lieu d’être la Révolution tranquille n’apparaît pas du jour

connecteurs logiques • persuader : questions rhétoriques et anaphores Transition : Syme est un instrument d’un régime totalitaire qui fait l’apologie d’un projet si terrifiant que le lecteur ne peut qu’en faire une lecture critique. II- Une contre utopie saisissante 1-L’apologie d’un projet destructeur • registre épique : chps lexical de la violence et de la destruction • mise en relation de notions opposées : beauté et destruction • utilisation du futur (futur, futur antérieur)→processus

“Fahrenheit 451” (1953) Roman de 250 pages Quittant l’atmosphère morose de la caserne, le pompier Montag regagne son foyer où son épouse, Mildred, se complaît dans les plaisirs artificiels prodigués par une société hautement développée et totalement urbaine : son esprit est balayé par les ondes des «radio-dés» qui reposent dans ses oreilles tandis que ses yeux suivent les personnages de «la famille» que montre sans cesse le téléviseur qui couvre tout un mur, projette des images en trois dimensions

Devoir n°9Sujet : Est-ce que les utopies et les dystopies sont réellement des œuvres qui permettent de critiquer la société contemporaine de l’auteur ? C’est au XVIème siècle que le concept d’utopie est inventé par le philosophe humaniste Thomas More. L’utopie désigne un monde idéal inventé pour critiquer la société et à son inverse la dystopie est un monde cauchemardesque inventé pour critiquer un des aspects de la société. Dans les deux cas, la critique de la société reste l’objectif final.Les

Denissovitch de Soljenitsyne peut être considéré comme un roman sur le totalitarisme. En effet, les prisonniers ne sont en vérité plus que des ombres de ce qu'ils étaient. Ils sont presque devenus des machines, ayant perdu toute volonté de lutter contre les injustices du Goulag. Leurs pensées ne leur appartiennent quasiment plus, anéantis par les difficultés de la vie dans les camps. Ce roman nous montre un système concentrationnaire, mais également totalitaire par le fait que les gens ont pratiquement

organisée en castes (alpha, bêta, gamma, delta et upsilon) elles-mêmes divisées en sous castes (alpha plus, bêta moins, alpha moins). Chaque catégorie correspond à un niveau de responsabilité différent et une tâche bien définie. 6) Qu’est-ce que qu’une utopie ? En est-ce une ? L’utopie (mot forgé par l'écrivain anglais Thomas More, du grec οὐ-τοπος « en aucun lieu ») est une représentation d'une réalité idéale et sans défaut. C'est un genre d'apologue qui se traduit, dans les écrits, par un régime politique

frères, les fresques murales et décorations de station de métro de François ainsi que l’exposition temporaire de Luc Schuiten « Métamorphosia » à la fondation Folon. J’ai trouvé que l’univers des frères Schuiten s’inscrivait bien dans le thème « utopies et dystopies ». Je vais dans un premier temps faire la biographie des deux frères, voir quelles ont été leurs influences, puis je tenterai de mettre leurs travaux en lien avec ma problématique : en quoi peut-on dire que l’univers des frères Schuiten