Controle De Constitutionnalité Des Lois Sous La Vème République

2 Travaux dirigés de Messieurs Christophe DOUBOVETZKY, Wilfried DJIE, Yoann FERNANDEZ, Ndiagua GUEYE, Luis GUTIERREZ, Nicolas MARTINEZ, Christophe SEMPER, Antonin JUNG Cours de Madame Aurore GAILLET, Professeur de droit public Fiche nº 3. La Ve République : origine et évolutions Ce document comporte : - Des notions à définir - Un corpus documentaire Pour chaque séance de travaux dirigés, il convient : - de définir les termes indiqués - de lire les documents / de les comprendre afin de les mettre

interne, l'ordre juridique de l'UE et l'ordre juridique international (intervient pas dans le droit du travail par ex). → L'ordre juridique interne est sous forme pyramidale. Il y a une hiérarchie des normes et au sommet de cette hiérarchie il y a la Constitution. HIERARCHIE DES NORMES CONSTITUTIION NORMES INTERNATIONALES LOIS ORGANIQUES LOIS ORDINAIRES DECRET EN CONSEIL DES MINISTRES DECRETS SIMPLES ARRETES MINISTERELS OU INTERMINISTERIELS ARRETES PREFECTORAUX ARRETES MUNICIPAUX

sur le territoire. Ces dirigeants de l'état vont travailler pour des services déconcentrés, répartis sur l'ensemble du territoire. Exemple: le préfet, le procureur de la république, les commissaires de police... Ces autorités déconcentrées exercent donc leur compétence par délégation de l'état et elle exercent leur compétence sous l'autorité de l'état. Le préfet n'a aucune autonomie d'action et doit appliquer les instructions du gouvernement. Ces autorités déconcentrés sont soumises au pouvoir

....p. 3 A. Le contrôle de constitutionnalité..............................................................................................................................................................................p. 3 1. La conformité des traités internationaux à la Constitution...................................................................................................................................................................... p. 3 2. La conformité des lois à la Constitution

Chapitre 3 : le contrôle de l’application de la Constitution Le sujet de ce chapitre soulève notamment une question importante dans la philosophie du Droit sur la sanction de la norme. Les juristes se sont en effet souvent demandés si la norme juridique existe par elle-même dès lors qu’elle a été édictée ou seulement lorsqu’elle pouvait être effectivement sanctionnée. Ce problème se pose encore actuellement dans le domaine international : de nombreuses normes sont édictées sans être sanctionnées

Intro au droit constitutionnel Séance 1: Retour distinction droit/morale: Droit= ensemble des règles obligatoires qui organisent la vie entre les hommes et susceptibles d'être imposées par la contrainte. (règles et lois) Morale=principes de jugement et de conduite qui s'imposent à la conscience individuelle ou collective comme fondés sur les impératifs du bien. (valeurs d'un groupe) La morale correspond à un ensemble de règles obligations et valeurs. La nature et la finalité sont profondément

populaire est affirmée juste après l’allégation indiquant que la France est une République et une Démocratie. Il s’agit donc de mettre en évidence le fait que la souveraineté populaire est l’un des grands principes de la Vème République. Passons maintenant aux termes du sujet. Qu’entend-on par « participation des citoyens » ? Il faut tout d’abord définir le terme de « citoyen ». Un citoyen est une personne étant sous l’autorité d’un Etat, bénéficiant de la protection de celui-ci et jouissant de droits

+/- contraignantes : impératives, alternatives, optionnelles. 3. Dispositions diverses II. Lois organiques : A. Rôle B. Statut dans la Constitution de 1958 1. Domaines d’intervention limités 2. Procédure exigeante III. Les règlements des assemblées ( Définition, intérêt, rôle variable des assemblées dans leur élaboration IV. Les lois ordinaires relatives à l’organisation et au fonctionnement des pouvoirs publics ( ex : la loi électorale

dans un courant de pensée ancien remontant à la IIIème République, et dans l'examen des erreurs de la IVème que l'on veut éviter. La continuité est ainsi associée à la rupture. Section 1. La fin de la IVème République Elle est due notamment à l'incapacité de la IVème République à régler le problème algérien. Les partis du centre (droite ou gauche) alternent au pouvoir et n'ont en commun que la défense des institutions de la IVème République. Le 15 avril 1958, la chute du gouvernement du radical

Constitution actuelle a pour origine la Constitution adoptée à la Révolution française de 1789, qui a institué les droits « inaliénables, naturels et sacrés » de l’homme, au détriment de la liberté d’action des gouvernants, qui ont rejoint le bloc de constitutionnalité par la suite. La Constitution française en vigueur aujourd’hui date du 4 octobre 1958, adoptée par un référendum le 28 septembre de la même année. Elle peut également être révisée, comme ce fut le cas pour la Constitution actuelle, révisée 24