Contrôle Cours Torture Et Acte De Barbarie

co-fondé le Centre Primo - Levi, spécialisé dans le soin des victimes de torture et de violences collectives. Elle est directrice du Centre d’enthopsychiatrie Georges - Devereux, à l’université Paris –VIII. Introduction Etudier le phénomène de la torture, c’est étudier la part cachée de l’humanité, un des phénomènes extrêmes de la psychologie humaine. Pour le clinicien et son patient, il existe un avant et un après, car la torture marque. L’auteur met en garde sur le fait qu’il ne faut pas trop mobiliser

DROIT PENAL SPECIAL Cours du 22/10/2010 INTRODUCTION : Le droit pénal est constitué par un ensemble de règles juridiques de fond qui vont organiser la réaction de l'État vis-à-vis des délinquants et de leurs comportements infractionnels. Il est classique de distinguer deux branches du droit pénal. Le Droit Pénal Spécial (DPS) et le Droit Pénal Général (DPG). D’un point de vue historique, le DPS a été le 1er à apparaitre. Un État commence toujours par décrire les actions qu’il entend prohiber

résulte d’un ordre d’écrou L’ordre d’écrou est un acte par lequel, en exécution d’une décision judiciaire (ordonnance de placement en détention provisoire, jugement ou arrêt de condamnation, mandats de dépôt ou d’arrêt, mandat d’amener s’il doit être suivi d’une incarcération), les magistrats ordonnent à un établissement pénitentiaire de procéder à votre écrou. L’acte d’écrou a lieu après vérification de votre identité et du titre de détention. Cet acte légalise votre incarcération. Un numéro d’écrou

Nathalie HANOUCHIAN Master 2 Professionnel Théories et Pratiques des Droits de l'Homme L’Examen des stratégies de l’ACAT dans l’Abolition de la Torture au Burundi Maitre de Stage : Mr Armel Niyongere Directeur d’étude : Mr André Dizdarevik Sommaire Liste des Sigles et Abréviations ……………………………………………………………….. 4 Remerciements et dédicaces …………………………………………………………………….5 Avant propos …………………………………………………………………………………….6 Introduction……………………………………………………………………………………...7 Chapitre I - Présentation

présentes assisses, pour l’honneur et l’opportunité qu’elle nous offre de parler de la police et des droits de l’homme en ce moment des mutations démocratiques dans notre pays. Mesdames et Messieurs de la Police Nationale, le sujet qui sera traité au cours de la présente activité n’est pas nouveau pour vous. Il fait partie des enseignements de base de votre formation. Néanmoins, pensons-nous, qu’il n’est pas du tout inutile de répéter car, dit-on, la répétition est la mère des sciences. Notre exposé

p 18 1) La rafle de la rue Sainte-Catherine p 19 ▪ Etre juifs sous l’occupation ▪ La situation à Lyon ▪ La rafle de l’UGIF, rue Sainte-Catherine ▪ La responsabilité de Klaus Barbie 2) L’arrestation, la torture et la déportation de cinquante-neuf victimes pour les motifs raciaux et politiques p ? ▪ « Les offensifs » ▪ Les victimes juives ▪ La parole des victimes contre celle de Barbie

Car rien n’échappe au Parti. Les citoyens – du moins ceux dont l’existence présente un quelconque intérêt aux yeux du pouvoir, ce qui exclut les Prolétaires qui ne sont pas considérés comme des êtres humains – sont perpétuellement épiés. Le Parti contrôle jusqu’à la sexualité des gens : on ne peut se marier avec qui on veut, et surtout pas s’il existe un sentiment amoureux entre les futurs époux. Si quelqu’un déplaît au Parti, celui-ci, tout simplement, supprime tout ce qui concerne cette personne

mauvais usage de sa liberté ». Au 19e siècle un certain nombre d'auteurs se sont mis à nier le libre arbitre, l'homme n'est pas libre, il se conduit d'une certaine manière en fonctions de différents facteurs. L'homme obéit à certains instincts qu'il ne contrôle pas (Zola: La bête humaine). Cela ne veut pas dire qu'il ne faut pas neutraliser celui qui nui, mais cela ne sert à rien de le « punir » alors que la criminel n'y peut rien, il est comparé à un malade. Et un malade se traite, on ne le punit pas.

et d’une audace littéraire n’a cessé de dénoncer les vices et les maux d'une société au seuil d’une mort clinique. Il a pu dénoncer aussi les mystifications d’un pouvoir despotique qui n’accepte aucune remise en question. “Pour moi l’écriture est un acte de transgression… j’appartiens à cette race d’écrivains militants. Il n’est pas possible d’ignorer la misère, l’injustice, la corruption…”. Ni la censure, ni la menace constante n’ont pu l’étouffer, ni faire taire sa parole qui dérange. Il a continué

Car rien n’échappe au Parti. Les citoyens – du moins ceux dont l’existence présente un quelconque intérêt aux yeux du pouvoir, ce qui exclut les Prolétaires qui ne sont pas considérés comme des êtres humains – sont perpétuellement épiés. Le Parti contrôle jusqu’à la sexualité des gens : on ne peut se marier avec qui on veut, et surtout pas s’il existe un sentiment amoureux entre les futurs époux. Si quelqu’un déplaît au Parti, celui-ci, tout simplement, supprime tout ce qui concerne cette personne