Contrôle De Conventionnalité Et Contrôle De Constitutionnalité

avec les droits et libertés reconnus et garantis par la constitution de 1958. V] Motifs et solution I] Avant de répondre sur les articles spécialement invoqués par. M. B, le CE répond de manière générale sur l’articulation entre la QPC et le contrôle de conventionalité (obiter dictum). - Le CE rappelle tout d’abord la possibilité de soulever devant lui une QPC (conft à l’art. 23-5 de l’ordonnance du 7 novembre 1958) lorsqu’une loi porte atteinte aux droits et libertés garantis par la Constitution

les CT Un contrôle du représentant de l'Etat Ce principe est fixé par l'article 72 al 6 de la constitution qui dit que dans les CT, le représentant de l'Etat à la charge des intérêts nationaux, du contrôle administratif et du respect des lois. C'est sur le fondement de cet article que le préfet exerce un rôle fondamental. Jusqu'en 1982 le préfet pouvait réformer ou annuler les décisions des CT, en 2002 on a transformé ce contrôle du préfet en un contrôle que l'on appelle contrôle a posteriori

selon l’équité. Son activité se manifeste notamment par le rendu de décision que l’on peut qualifier d’acte juridique. Le rôle du juge à évolué au cours du temps, son pouvoir s’est considérablement renforcé au fil du XVIIIe Siècle jusqu’à un réel contrôle du pouvoir législatif du roi par l’enregistrement de refuser l’enregistrement des édits royaux, mais le rôle du juge c’est réellement étendu lors de l’apparition du code civil. Son domaine alors composé des droits traditionnelles, pénal, civil

L’autorité de la C était plus affirmée que garantie, du moins au regard de la loi. Sur ces deux aspecte, la C de 58 diffère profondément car elle affirme d’une part dans son préambule une série importante de D et libertés et d’autre part, est prévu un contrôle de constitutionnel des lois par la création du Conseil constitutionnel. Depuis la fin 80’, la source constitutionnelle a ressuscité, et le Conseil constitutionnel notamment a largement contribué à en transformer le sens si la C contient de façon

juridictions de l'ordre administratif et de l'ordre judiciaires ne sont pas compétentes pour apprécier la constitutionnalité des lois ( article 34 de la constitution) dans le cadre d'un litige ordinaire. Concrètement, pour l'office du juge administratif, cela signifie qu'il ne peut pas apprécier la constitutionnalité d'un acte administratif quand cela revient pour lui à se prononcer sur la constitutionnalité de la loi. La loi fait alors « écran » entre l'acte et la constitution, entraînant l'incompétence

INTRODUCTION GENERALE AU DROIT Séance n°4 - Constitution et contrôle de constitutionnalité des normes internes - Qui était Kelsen ? Décrire sa théorie de la hiérarchisation des normes. Hans Kelsen (1881-1973) est un juriste normativiste d'origine autrichienne du XXème siècle, qui est le fondateur de la théorie de la hiérarchisation des normes. Il la nomme la "pyramine des normes". C’est de cet ordre dont il est question dans le sujet parlant de « La conformité de la loi française aux normes

L'article 55 de la Constitution aurait pu être interprété comme permettant, au juge constitutionnel, un contrôle de conformité des lois aux traités internationaux : si le traité est supérieur à la loi, la loi doit donc être conforme au traité. Or, le Conseil constitutionnel écarte cette interprétation dans une décision (n°74-54 DC) rendue le 15 janvier 1975 à propos de la loi Veil sur l'interruption volontaire de grossesse en réponse à une requête de parlementaires invoquant la violation, par cette

pour parler d'un état de droit, il faut qu'il y ai un contrôle des actes administratifs, mais il faut aussi que les individus puissent recourir contre des lois qui pourrait aller contre la C° → Donc depuis 1958 : contrôle constitutionnel. La loi → Volonté générale. Etat de droit a été instauré dans les années 1920 par Malberg en France. En France, aujourd'hui, la première strate est le bloc de constitutionnalité (ensuite bloc de conventionnalité et ensuite les lois) A la sortie de la Révolution

rien à voir avec la justice. ---> Exemple: Règle de circuler à 50 en agglomération. Ce sont des règles autonomes, techniques mais pas justes. → Comment choisir l'intérêt juste ? Comment contrôler afin que la règle soit juste ? La justice : C'est ce qui est positivement juste. C'est ce à quoi chacun peut légitiment prétendre en vertu du Droit. C'est aussi ce qui est idéalement juste. Ce qui est conforme aux exigences, de l'équité et de la

ne donne lieu à aucune contestation. La prudence du juge, ou la soumission de l'autorité administrative à la hiérarchie font que ni l'une ni l'autre ne songent en principe à remettre en cause ni sortir du champ dans lequel fonctionne le système de contrôle du décodage des normes. Le standard est fondé sur l'idée de normalité. Il délimite le champ dans lequel l'interprète doit agir. C'est pourquoi le standard fonctionne généralement sans recours explicite à une technique de surdétermination. Celle-ci