Convention Thermidorienne

qu’une nouvelle Assemblée soit élue et qu’il y ait une nouvelle Constitution, on va l’appeler la « convention nationale ». Cette convention nationale doit être élue au suffrage que l’on qualifie de « quasi-universel ». Cette Assemblée aura pour objet de voter une nouvelle constitution et assurer l’intérim. Un conseil de 6 membres est désigné pour assurer la gouvernance jusqu’à la promulgation de la convention. Pendant cette période d’été 1792, la commune de Paris va affirmer sa suprématie et même son emprise

d'une monarchie constitutionnelle, il devient, après la trahison de Louis XVI, l'un des principaux adversaires de la monarchie et s'impose comme un partisan des réformes démocratiques. Après la chute de la monarchie, Robespierre est élu à la Convention nationale dans plusieurs départements, mais choisit d'être représentant de Paris. Il contribue à faire voter la condamnation à mort de Louis XVI. En mai 1793, Robespierre obtient la proscription des girondins et deux mois plus tard, il est élu

le pouvoir est confié à un gouvernement révolutionnaire, avec à sa tête le Comité de salut public. Robespierre, surnommé «Incorruptible», va personnifier la Révolution à partir de son entrée au Comité de Salut Public, le 27 juillet 1793. À la Convention, les affrontements politiques se poursuivent. Robespierre, élu député et chef de file de la « Montagne » organise l’élimination de la Gironde, un parti coupable de s'opposer à la Terreur. Il devient dictateur de fait après l'exécution de son principal

conserver le soutien de la plupart des sociétés affiliées de province. Opposé à la guerre contre l'Autriche en 1792, il s'oppose à La Fayette et soutient la chute de la royauté. Membre de la commune insurrectionnelle de Paris, il est élu à la Convention nationale, où il siège sur les bancs de la Montagne et s'oppose à la Gironde. Après les journées du 31 mai et du 2 juin 1793, il entre le 27 juillet 1793 au Comité de salut public, où il participe à l'instauration d'un gouvernement révolutionnaire

des droits féodaux, premier acte de cette assemblée révolutionnaire puisque cette abolition date du 4 août 1789. En 1792, la Monarchie constitutionnelle est abolie et la République est proclamée. Elle se divise en deux phases : la première est la Convention Nationale composée des Girondins, des Montagnards et des députés de la Plaine. C’est une démocratie car les élections se font au suffrage universel masculin mais ces votes sont non-secrets et les partis influents peuvent s’approprier le pouvoir

intérieure commence. La France entre en guerre à l’extérieur car les grandes monarchies européennes n’acceptent pas et ils vont créer des alliances pour lutter contre la république. Pendant la république il y a eu  la convention Nationale : 1 Gironde 2 Montagnarde 3 Thermidorienne La convention Nationale a été élue au suffrage universel masculin. De ce moment les jeunes à partir de 21 ans pouvaient exprimer leur choix. Elle a trois périodes : 1 Représente par des républicains modérés le premier député

d’ailleurs comme les autres notables députés français, par Dumouriez, général français, traître et transfuge. Suite à cela, il sera emprisonné à la prion de Picpus à Paris pour être ensuite libéré sous la Convention thermidorienne, correspondant à la troisième période de l’histoire de la Convention nationale, qui est l’Assemblée constituante établie pendant la Révolution française pour succéder à l’Assemblée législative, et qui fonde ainsi la 1ère République. Son invention le ‘’boulet creux ’’,

 Membre du Comité de salut public : 27 juillet 1793 – 28 juillet 1794 Groupe politique : Montagne Président de la Convention nationale : 4 juin 1794 – 19 juin 1794 Député de la Seine Député de l'Artois 26 avril 1789 – 30 septembre 1791 Assemblée nationale constituante Biographie Nom de naissance Maximilien François Marie Isidore Joseph de Robespierre Surnom « L'Incorruptible » Date de naissance 6 mai 1758 Lieu de naissance Arras Date de décès 28 juillet 1794 (à 36 ans) Lieu de décès Paris Nationalité

1er octobre 1791 : L'assemblée législative succède à l'assemblée constituante. 27 septembre 1791 : L'Assemblée nationale constituante émancipe les Juifs du Royaume. 30 septembre 1791 : Fin de l'assemblée législative. Elle est remplacée par la convention nationale. Formation de trois partis : les Feuillants, partisans de la monarchie constitutionnelle, siègent à droite ; les Girondins, partisans d'une république libérale, siègent à gauche ; les Montagnards, partisans d'une république démocratique

Constitution de l’an I. Les hommes doivent être vertueux, ceux qui ne le sont pas doivent disparaître avec l’usage de la guillotine. Robespierre finira par être contesté, considéré comme un tyran, il sera ainsi guillotiné lui-même le 9 thermidor par les thermidoriens. Ces derniers ont voulu continuer l’expérience du régime en place mais devant le mauvais fonctionnement de ce système, ils créent un nouveau régime. Cependant, ils restent dans le cadre de la première République. Le Directoire est mis en place