Convention Thermidorienne

prêtres réfractaires sont déportés, l’état civil est confié aux municipalités ( c’est la fin des monarchies constitutionnelles, on rentre ds la terreur, une période bcp plus révolutionnaire. C) La convention nationale du 21 Septembre 1792 au 26 Octobre 1795 1) La convention nationale pré-thermidorienne du 21 Sept 1792 au 27 juillet 1794, 9 thermidor de l’an 2. Avec la révolution, on adopte le calendrier révolutionnaire. L’an 1 commence le 22 septembre 1792 et il se termine le 21 Sept 1793.

Correction Séance 7 : L’échec des réformes thermidoriennes. * Réaction thermidorienne. Régime politique se manifestant par l’emprise pacifiée de la vie publique des bourgeois. Ce mouvement demeure révolutionnaire en attendant l’adoption de la nouvelle constitution. La chute de Robespierre détermine un changement dans la classe dirigeante française. Place à la bourgeoisie libérale au sein du gouvernement révolutionnaire à la place des Montagnards. Absence de changement des structures gouvernementales

royauté. Au début de la République, il siège à la convention parmi les Montagnards, comme Danton. Robespierre soutient aussi les revendications des sans-culottes. En 1793, il est le principal investigateur de la politique de la Terreur. Il est arrêté avec son frère Augustin et ses amis Couthon, Saint-Just et Le Bas, le 9 thermidor (27 juillet 1794) et est guillotiné le lendemain. Sa mort entraîne, dans les mois qui suivent, une « réaction thermidorienne », qui voit le démantèlement du gouvernement révolutionnaire

INSTITUTIONS REVOLUTIONNAIRES 1789 1791 1791 1792 1792 1795 1795 1799 Constituante Législative Convention Directoire Convention jacobine Girondins : 1792 – 1793 Montagnards : 1793 – 1794 Convention thermidorienne 5 mai 1789 : Ouverture des Etats-Généraux. 17 juin 1789 : Les Etats-Généraux se proclament « Assemblée nationale ». 20 juin 1789 : Serment du jeu de paume : jure de rester unie « jusqu’à ce que la constitution du royaume soit établie et affermie sur des fondements solides

de conserver le soutien de la plupart des sociétés affiliées de province. Opposé à la guerre contre l'Autriche en 1792, il s'oppose à La Fayette et soutient la chute de la royauté. Membre de la commune insurrectionnelle de Paris, il est élu à la Convention nationale, où il siège sur les bancs de la Montagne et s'oppose à la Gironde. Après les journées du 31 mai et du 2 juin 1793, il entre le 27 juillet 1793 au Comité de salut public, où il participe à l'instauration d'un gouvernement révolutionnaire

REGIMES POLITIQUES : Assemblée nationale (17 juin 1789 – 9 juillet 1789) Assemblée nationale constituante (9 juillet 1789 – 1er octobre 1791) Assemblée législative (1er octobre 1791 – 21 septembre 1792) Convention (21 septembre 1792 – 26 octobre 1795) _ Jacobine (1792 – 1794) _ Thermidorienne (1794 – 1795) Directoire (26 octobre 1795 – 9 novembre 1799) Consulat (10 novembre 1799 – 18 mai 1804) Premier Empire (18 mai 1804 – 6 avril 1814 et 1er mars 1815 – 22 juin 1815) Restauration (6 avril 1814

porte-parole) du peuple, il veut son journal proche des sans-culottes. Or, alors qu’il était opposé à Robespierre, il critique avec virulence la convention thermidorienne, il est emprisonné à Arras et rencontre ceux qui seront ces complices dans la conjuration des égaux, la prison lui permet de construire un réseau avec ceux qui sont contre la convention thermidorienne : Charles Germain, Philippe , à sa sortie de prison avec ses trois complices ils fonde sa société des égaux, qui est une société qui a deux

Dissertation d’histoire des institutions : La séparation des pouvoirs sous le Directoire Introduction : La double nécessité de préserver la République et de la sauvegarder contre tout dérapage terroriste plaçait les Thermidoriens dans une situation nouvelle. Les journées insurrectionnelles de prairial an III où une foule réclamant « du pain et la constitution de 1793 », emporta la condamnation définitive de la constitution de l’an I qu’ils jugèrent indissociable du terrorisme. La rédaction

est inhumé au cimetière du Père-Lachaise. Député à la Convention pendant la Révolution française, il vota la mort de Louis XVI. Il apparaît comme l’un des hommes-clés de la transition vers le Directoire, dont il devient l'un des principaux mandataires à partir du 31 octobre 1795, et jusqu'au coup d'État du 18 brumaire (An VIII, 9 novembre 1799). Sommaire 1 Carrière militaire 2 Premières années à Paris 3 La Révolution française 3.1 La Convention 3.2 La Terreur 3.3 Le Directoire 4 Le 18 Brumaire et

investit par les montagnards, sous la direction de Robespierre. Dès lors, ce comité qui n’est pourtant en théorie qu’une simple commission interne de la convention s’empare du gouvernement du pays et dicte la politique à suivre à la convention, notamment dans un premier temps en lui faisant adopter de nouvelles mesures d’exception. En effet, la convention décide par un décret du 5 septembre 1793 de mettre « la Terreur à l’ordre du jour » pour éliminer tous les ennemis de la révolution en les terrorisant