Conversion lexicale

( Pierrot, l’amoureux II : La requête de Coelio. - acceptation d’Octave : - La sollicitude inquiète de Coelio : - apparition du champ lexical de la mort : III : Deux autoportraits, comme deux parenthèses dans l’action. 1) Octave : a- structure de la tirade. - la métaphore initiale : -la métaphore filée : -conclusion b- le sens de la métaphore. Compléter les relevés pour

l'extrait. Montrer le coté tragique du texte en vous aidant des différents axes si dessous. I ) La Description des halles de Paris. 1- Le réveil des Halles : indices de temps, accroissement du bruit. 2-L'abondances de marchandises : champ lexical de la nourriture, éléments de lieu. Le contraste entre ce personnage mourant de faim et la nourriture qui l'entoure. Les aliments deviennent meme menacants. 3-L'absence d'Homme : Un seul etre humain, Florent. Beaucoup de personnes anonyme, la

la foule en colère. Le champs lexical nous illustre la clameur des mineurs. Le narrateur nous décrit une vision apocalyptique du monde, grâce aux détails sur le paysage et la foule déchainée. Le champ lexical des couleurs nous peint un tableau aux couleurs contrastées, inquiétantes et sombres, avec une dominante de rouge exprimant une violence omniprésente. De plus, la marche des mineurs, saccadée et déterminée, traduit également cette violence. Le champ lexical de la sauvagerie désigne les mineurs

Dans « Ensemble, c’est tout », cette générosité s’applique vers les amis et la famille (Paulette). La force de leur lien amical se trouve dans l’intérêt de l’autre. L’auteur insiste ici sur a valeur famille et cela est confirmé par le long champ lexical du groupe (tribu). La famille est une valeur primordiale car elle permet de faire face aux aléas de la vie souligne A. Gavalda. L’étude réalisée pour Radio-France démontre néanmoins que les jeunes accordent de l’intérêt à des valeurs comme la liberté

démontré». Cela en fait un exemple ironique. Au début de ce passage, on trouve le champ lexical de l'horreur avec «Bourreaux, assassins», «détruit cent villes», «crucifix», «sang», «bûchers» et «cannibales», pour nous montrer que les chrétiens manquent à tous leurs devoirs. C'est le registre épique. Pour finir je trouve la stratégie argumentative de Voltaire convaincante. Il utilise différents procédés lexicaux tels que des figures de style, des exemples concrets et des procédés ironiques. Ce qui

également élargir les limites du genre ; le roman devient un drame romantique ; référence à Shakespear ("All is true") 3. Le réalisme balzacien : Intention d'intégrer des éléments du réel ; dimension visionnaire ; passion destructrice ; champ lexical religieux où les prêtres sont Mme Vauquer et Mme de Nucingen et le martyr Goriot Conclusion : Incipit novateur qui annonce le programme de Balzac

registre élégiaque : soit un registre où domine la tristesse, la mélancolie. D’une autre part on constate l’isolement du poète, le champ lexical de l’infini renforce l’idée de solitude et du mal de vivre qu’éprouve le poète. : « Immense » vers 23 et 36, « vide » et « déserts » vers 34 et « au-delà des bornes de sa sphère » vers 37 D’autre part, le champ lexical de la solitude : « solitudes » vers 27, « dépeuplé » vers 28, « déserts » vers 34. Et la conclusion partielle de ce passage contient

qu’il a perdu son bonheur. II- Une situation douloureuse 1) Le champ lexical de la douleur • Sensations physiques qui le font souffrir, liée à la chaleur l12 « front...mal » l23 « m’atteignait au front » l14 « que je ne pouvais plus supporter » l32-33 « mes yeux douloureux » l17 « ne me débarrasserait pas du soleil » => le soleil est vécu comme un fardeau dont il cherche à se défaire mais ne peut pas. • Champ lexical de la brûlure l8 »brûlure du soleil » l14 »cette brûlure » l31 « brûlante

interrogations sous la forme de questions rhétoriques. Ces procédés ne visent qu'à prouver la ferveur de ses sentiments amoureux et la difficulté qu'il éprouve à les refouler devant l'être aimé. D'autre part, Cyrano en habile poète qu'il est, utilise le champ lexical de l'amour et du bonheur ("baisers", "brûle", frisson"). Cependant, il leur confère, aux termes utilisés, une force incomparable. Le baiser brûle les lèvres et il traduit ainsi son amour par le topos de l'amour flamboyant... il compare leur relation

accentué par "tout à coup" et par les passées simples. L'utilisation du dialogue rend le début plus vivant. => changement entre une situation passée et une situation présente, le silence et la parole, l'immobilité et la mise en action ; le champ lexical du sommeil rappelle l'état antérieur. De même, on note chez le père Roland des expressions négatives tant dans le dialogue que dans le récit. II- L'alternance récit-dialogue La typographie indique une alternance régulière entre le récit et