Coordinence

fonctionnement!» comme acide par : HA A- + H+ (1) Une base est une espèce, ion ou molécule, susceptible de fixer un proton H+ = ACCEPTEUR de proton Une base possède nécessairement un doublet d’électrons non-liant sur lequel l’ion H+ vient se lier par coordinence : B + H+ BH+ (2) 4 Notion de couples acide/base HA B + H+ A- + H+ BH+ (1) (2) Dans l’expression (1) : HA = acide et A- = base conjuguée Dans l’expression (2) : B = base et BH+ = acide conjugué A tout acide correspond une base et à toute base

cristaux ioniques, où les ions de petites tailles (en général les cations) sont logés dans les interstices entre les ions de grandes tailles (les anions). Les principales règles de Pauling sont au nombre de trois : la coordinence des cations, la coordinence des anions et la coordinence des polyèdres. La microstructure des céramiques joue un rôle important vis-à-vis de leurs propriétés telles que la résistance mécanique ou encore la conductivité électrique. Cette sensibilité peut s’expliquer par

quantique exemple : Atomistique 21 * L'un des deux atomes (le donneur) fournit un doublet déjà constitué dans sa couche externe. L'autre (l'accepteur) reçoit ce doublet dans une case vide de sa couche externe. C’est ce que l’on appelle aussi la coordinence. exemple : Pour qu'il y ait liaison covalente, les deux atomes doivent soit posséder tous deux un électron impair, soit posséder l'un un doublet disponible, l'autre une case libre. Deux atomes peuvent mettre en commun plus d'un doublet électronique

dans [MeO45-] des propriétés acides : liaison Me—O plus forte. - dans [MeO69-] des propriétés basiques: liaison Me—O plus faible. il y a possibilité de dissociation en Me3+ et 6O2- Il s’établie un équilibre acido-basique entre les différentes coordinences d’éléments amphotères : MeO45- Me3+ + 4O2- K = [Me3+] . [O2-] / [MeO45-] La dissociation la plus lente (liaison Me-O plus forte) est celle qui contrôle l’équilibre 19/01/2015 40 III. 3 – Les réactions chimiques de clinkérisation - Formation

l’interaction ion-dipôle, aboutissant à la dissolution des solutés en ions : Exemple : dissolution de NaCl dans l’eau : Règle générale : « Similia similibus solventur » : les semblables dissolvent les semblables 3-3/ Liaison semi-polaire ( de coordinence ou dative) De telles liaisons de rencontrent dans les molécules possédant un donneur et un accepteur de doublets de valence : 38 3-4/ Autres liaisons a/ Liaison métallique : Un métal est un empilement d’atomes formant des réseaux entre lesquels

centrées de paramètre de maille a = 0,3567nm, le motif est composé de deux atomes de carbone situés en (0, 0, 0) et (1/4, 1/4, 1/4). 1. Représenter la maille élémentaire ainsi qu’une projection sur le plan (x, 2. Donner la multiplicité, la coordinence et la compacité. 3. Calculer la masse volumique M = 12g /mol et le numéro d’Avogadro N = 6,023.10 Exercice 3 On donne le tableau suivant : Eg [eV] AsGa 1,43 Ge 0,66 Si 1,12 1. Parmi ces trois semi-conducteurs, quel est celui qui présente

interstitiels peuvent être occupés par des atomes, notamment par des atomes de carbone, ce qui donne lieu à la formation de solutions solides FeCx constituant les aciers. a- Représenter clairement la maille conventionnelle du fer α. Préciser la coordinence ainsi que le nombre de motifs appartenant en propre à cette maille. b- Calculer la compacité de ce type d’empilement ainsi que la masse volumique du fer α. c- Représenter un site octaédrique et un site tétraédrique. Quel est leur nombre par maille

structure La figure IV-5 est une vue stéréoscopique de la structure montrant clairement son caractère tridimensionnel. Figure IV-5 : Vue stéréographique de la structure de Pb La2 (C2O4)4.9H2O IV.2.5.a-Environnement des atomes de Plomb La coordinence du plomb est égale à onze. Cet atome est entouré par huit atomes d’oxygène appartenant à quatre groupements oxalate bidentates (figure IV-7) et trois atomes d’oxygène de molécules d’eau (Ow4I, Ow4VII, Ow5I), formant ainsi un polyèdre représenté

la température. 2. STRUCTURE CRISTALLINE DES METAUX ET ALLIAGES 2.1 Métaux purs Le caractère essentiel de la structure cristalline des métaux est le mode d'empilement des atomes qui offre une compacité optimale. Cette dernière est définie par la coordinence Nc du réseau cristallin qui s'exprime par le nombre d'atomes tangents à un atome donné. Parmi l'ensemble des structures cristallines, seuls trois types de réseaux répondent à ce critère de compacité. Ce sont les réseaux cubique centré (cc), cubique

G. W. SCHERER, Sol-Gel Science, Academic Press, New York, 1990. (2) Alcoxyde : composé organométallique de formule M(OR)n où M est un cation (ion positif) métallique ou métalloïde (corps simple non métallique), R un groupement organique et n la coordinence de M, c’est-à-dire son nombre de plus proches voisins. (3) Rhéologie : étude du comportement de la matière en ce qui concerne sa viscosité, son élasticité et sa plasticité. (4) P. GOMEZ-ROMERO and C. SANCHEZ, Functional Hybrid Material, Wiley-VCH