Cordes-sur-Ciel

affiches. Elle tient des assiettes blanches; une dans chaque main. Le personnage est une jeune femme de la vingtaine, elle à noué un foulard de couleur orange et bleu autour de la tête. Elle porte une robe décolletée avec des manches faites de petites cordes nouées sur les épaules et les bras ne sont donc pas couverts. Cette robe est de même couleur et motif que le foulard qu’elle porte; c’est une robe orange traversée de façon verticale par une grosse bande bleue bordée de fine bande blanche, cette bande

Grenade. Allez ! Allo ? Aller allo ?… (à dire de plus en plus vite) Les chemises de l'archiduchesse sont-elles sèches, archi-sèches ? Ton temps têtu te tatoue. Lise et José, lisons ensemble et sans hésiter les usages des honnêtes indigènes de Zanzibar. Ciel ! Si ceci se sait, ces soins sont sans succès. Des poches plates, des plates poches. Le scout mange son casse-croûte cru. Mille millions de merveilleux musiciens murmurent des mélodies multiples et mirifiques. Un matin en prenant un bain j'ai mangé

transformer les corps métalliques pour les amener à l’Unité et à l’image du Cosmos tout en opposant leur nature. Le bouclier remis à Énée prend donc tout son sens. Il est composé de sept orbes de métal qui, à l’instar des sept planètes ou encore des sept cordes de la lyre, offre la clef fondamentale de l’ordre cosmique qu’est l’Harmonie. Par sa forme, le bouclier est, pour reprendre l’idée de Françoise Toulze la représentation visible de la sphère invisible qui incarne l’éternel et le parfait. En outre,

petit l’espoir . 4. Ils s'appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel ils retrouvent leur identité, Certains priaient Jésus, Jéhovah ou Vichnou leur confession, D'autres ne priaient pas, mais qu'importe le ciel Ils voulaient simplement ne plus vivre à genoux métaphore, Ferrat rappelle leur combat Le texte transmet un message de tolérance envers les croyances des êtres humains et la diversité de leurs identités. Il accède ainsi

ponts. 2/ 2ème partie : un décor qui s’anime par la présence humaine ou même divine · Le son et la musique apparaissent dans le poème pour donner vie au paysage urbain : le champ lexical est étendu : « des accords mineurs », « cordes », instruments de musique », airs populaires », « concerts », « hymnes ». La référence aux accords mineurs introduit dans le poème l’idée de tristesse, donc de sentiment humain intense et complexe. Le mot « corde » peut faire penser aux instruments

ombrageant ses talons, Et que les rets de ses beaus cheveus blons En cent façons énnonde & entortille : Je l’acompare à l’escumiere fille » Commentaire : « A l’escumiere fille.) A Venus. Hesiode raconte en la Theogonie, que Saturne fils du Ciel & de la Terre, par la suasion de sa mere, coupa les genitoires à son pere, & les geta dans la mer : & que de l’escume qui sortit d’iceus, meslée avec l’eau de la mer, Venus fut engendrée […] Baïf aussi à la fin de ses Amours a touché

voix basse à son âme Comme aux forêts et comme aux flots. C’est lui qui, malgré les épines, L'envie et la dérision, Marche, courbé dans vos ruines, Ramassant la tradition. De la tradition féconde Sort tout ce qui couvre le monde, Tout ce que le ciel peut bénir. Toute idée, humaine ou divine, Qui prend la passé pour racine A pour feuillage l'avenir. Victor Hugo, Les Rayons et les ombres, 1840. Texte B LE PIN DES LANDES On ne voit, en passant par les Landes désertes, Vrai Sahara

ce qu'on aime. Tout ce qu'on sait, tout ce qu'on croit, Tout ce que l'on sent en soi-même. Elle est belle pour qui la voit, Elle est bonne à celui qui l'aime, Elle est juste quand on y croit Et qu'on la respecte en soi-même. Regarde le ciel, il te voit, Embrasse la terre, elle t'aime. La vérité c'est ce qu'on croit En la nature c'est toi-même. George Sand Pour faire le portrait d'un oiseau Peindre d'abord une cage avec une porte ouverte peindre ensuite quelque chose

basse à son âme Comme aux forêts et comme aux flots. C’est lui qui, malgré les épines, L'envie et la dérision, Marche, courbé dans vos ruines, Ramassant la tradition. De la tradition féconde Sort tout ce qui couvre le monde, Tout ce que le ciel peut bénir. Toute idée, humaine ou divine, Qui prend la passé pour racine A pour feuillage l'avenir. Victor Hugo, Les Rayons et les ombres, 1840. Texte B LE PIN DES LANDES On ne voit, en passant par les Landes désertes, Vrai Sahara français

accéder. Dans les deux tercets suivant, on retrouve des mots baudelairiens (« passion.....souffre.....gouffre »), des mots qui semblent négatifs, mais que le poète semble apprécier. Vers 9 : Comme un instrument à corde utilisant toutes les cordes Vers 10 : On a un terme marin suivi d'un terme humain donc une personnification, c'est comme si le vaisseau était en fait le poète. Vers 9-10 : Allitération en “S“, il faut souffrir pour être inspiré. Vers 11-12 : « l'immense gouffre