Cordes-sur-Ciel

tout un mécanisme de liaison ciel-terre qui conduit la scène vers un crescendo de l’apocalypse avant d’aboutir à une véritable fin. Dans un premier lieu, le mécanisme d’union entre le ciel et la terre s’avère plutôt concret avec l’évocation de la pluie qui tombe du ciel à la terre (les précipitations font partie du cycle de l’eau qui est sans cesse renouvelé et qui est donc un lien permanent entre le ciel et la terre), de bâtiments hauts qui semblent toucher le ciel et d’oiseaux : « une pluie »,

toute ronde et couleur de pourpre, se levait à ras de terre, au fond de la prairie. Elle montait vite entre les branches des peupliers, qui la cachaient de place en place, comme un rideau noir, troué. Puis elle parut, éclatante de blancheur, dans le ciel vide qu'elle éclairait ; et alors, se ralentissant, elle laissa tomber sur la rivière une grande tache, qui faisait une infinité d'étoiles ; et cette lueur d'argent semblait s'y tordre jusqu'au fond, à la manière d'un serpent sans tête couvert d'écailles

C'était sans doute un jour de chance. Ils avaient le ciel à portée de main. Un cadeau de la providence. Alors pourquoi penser au lendemain. Ils se sont cachés dans un grand champ de blé, se laissant porter par les courants. Se sont racontés leur vie qui commençait. Ils n'étaient encore que des enfants, des enfants. Qui s'étaient trouvés au bord du chemin sur l'autoroute des vacances. C'était sans doute un jour de chance. qui cueillir le ciel au creux de leurs mains. Comme on cueille la providence

suivante : «Comment la lumière peut rester confinée dans le cœur d'une fibre optique ?» Pistes de réflexion ________________________________________________________ Le fibroscope permet l'exploration de nombreux organes : l'intestin, l'estomac, les cordes vocales, etc. et même me cœur et les artères. Le fibroscope est constitué schématiquement par un faisceau de milliers de fibres optiques, de petits cylindres de verre non rigides de diamètre inférieur à 10 µm. Ces fibres transportent l'image de

admiration les avait saisis devant l'Èloignement des horizons. A droite, l‡-bas, c'Ètait Argenteuil, dont le clocher se dressait; au-dessus apparaissaient les buttes de Sannois et le Moulind'Orgemont. A gauche, l'aqueduc de Marly se dessinait sur le ciel clair du matin, et l'on apercevait aussi, de loin, la terrasse de Saint-Germain; tandis qu'en face, au bout d'une chaÓne de collines, des terres remuÈes indiquaient le nouveau fort de Cormeilles. Tout au fond, dans un reculement formidable, par-dessus

l'infernale foudre » Élément du feu par le ciel. II) La leçon de la ballade Leçon post mortem par anticipation. Ce texte était destiné à être lu par les lecteurs après sa mort. Le premier élément important de cette leçon est que le sort de ces pendus pourrait être celui de n'importe qu'elle personne. « Frère » montre que tous les hommes sont égaux devant la mort. Il n'y a pas de bons ni de mauvais, il n'y a que des hommes. Ceux qui se balancent au bout des cordes sont condamnables mais leur crime

notes, Guillaume Apollinaire commente : " Orphée était natif de la Thrace. Ce sublime poète jouait d'une lyre que Mercure lui avait donnée. Elle était composée d'une carapace de tortue, de cuir collé à l'entour, de deux branches, d'un chevalet et de cordes faites avec des boyaux de brebis. […] Quand Orphée jouait en chantant, les animaux sauvages eux mêmes venaient écouter son cantique. Orphée inventa toutes les sciences, tous les arts. Fondé dans la magie, il connut l'avenir et prédit chrétiennement

arriva sur l’île de Lesbos où elle fut enterrée alors qu’elle chantait encore. Parce qu’il montrait depuis son plus jeune âge des prédispositions pour la musique, il reçoit d’Apollon une lyre, instrument qu’il perfectionna en lui ajoutant deux cordes. Il aurait également inventé la cithare et la musique. D’après une autre version répandue, il serait le fils de Calliope et d’Apollon, dieu de la musique et des arts. Ovide n’est cependant pas le seul auteur antique à avoir raconté le mythe d’Orphée

admiration les avait saisis devant l’éloignement des horizons. À droite, là-bas, c’était Argenteuil, dont le clocher se dressait ; au-dessus apparaissaient les buttes de Sannois et le Moulin d’Orgemont. À gauche, l’aqueduc de Marly se dessinait sur le ciel clair du matin, et l’on apercevait aussi, de loin, la terrasse de Saint-Germain ; tandis qu’en face, au bout d’une chaîne de collines, des terres remuées indiquaient le nouveau fort de Cormeilles. Tout au fond, dans un reculement formidable, par-dessus

admiration les avait saisis devant l’éloignement des horizons. A droite, là-bas, c’était Argenteuil, dont le clocher se dressait; au-dessus apparaissaient les buttes de Sannois et le Moulin d’Orgemont. A gauche, l’aqueduc de Marly se dessinait sur le ciel clair du matin, et l’on apercevait aussi, de loin, la terrasse de Saint-Germain; tandis qu’en face, au bout d’une chaîne de collines, des terres remuées indiquaient le nouveau fort de Cormeilles. Tout au fond, dans un reculement formidable, par-dessus