Cornudet

scène de la méchanceté des autre voyageurs. Elle est généreuse et très gourmande. Elle cède à l’officier pour satisfaire les autres voyageurs. * Cornudet : C’est un démocrate, ennemi du régime impérial et de la bourgeoisie. A priori il apparait plus sympathique que les autres personnages, mais à la fin, il se démontre également un traiteur. Cornudet montre peu de solidarité envers Boule de Suif surement parce qu’elle a refusé ses avance et il est jaloux de l’officier Prussien. Il est caractérisé

façon valorisante : sa bouche est "charmantes", ses dents sont "luisantes" et son regard se remarque grâce à "des yeux noirs magnifiques". Enfin, l'histoire montre qu'elle est successivement convoitée par plusieurs hommes, le Prussien d'abord puis Cornudet. A l'hotel, lors de la premiere nuit, ce dernier tente de se faire accepter auprès d'elle dans l'espoir de profiter de ses charmes. Enfin même le compte semble remarquer ses attraits lorsqu'il chercher à faire plier Boule de Suif : il avoue que le

diligence est autorisée à partir pour la havre qui est la partie pas occupé par les allemands. Dix personnes font partie du voyage. On y retrouve monsieur et madame Loiseau, M. le comte et Mme la comtesse de Bréville, les Carré-Lamadon, deux religieuses, Cornudet et enfin, Élisabeth Rousset, surnommée « Boule-de-suif » à cause de son embonpoint. Le mardi suivant l’annonce du départ, les dix personnes s’entassent dans la diligence a six chevaux et ils étaient prêt pour un long voyage. Une fois le voyage entamé

Prussiens. Tous se retrouvent dans une diligence en direction de Dieppe, en plein hiver. Les 10 voyageurs sont : le comte et sa femme de Breville, 2 couples bourgeois et commerçants, Mr. et Mme. Carre-Lamadon, et Mr. et Mme. Loiseau, un homme seul, Cornudet, deux religieuses et une prostituée, Elisabeth Rousset surnommée Boule de Suif. Le voyage est difficile et long pour aller jusqu’à Dieppe, à cause de la neige et du froid. Du coup ils n’arrivent pas à l’heure prévue pour le déjeuner à Tôtes. Les

En effet, l’argent est source de considération et de pouvoir. Comme le prouve ce passage : « Les trois hommes aussi, rapprochés par un instinct de conservateurs à l’aspect de Cornudet, parlaient argent d’un certain ton dédaigneux pour les pauvres. » Il s’agit ici d’une comparaison, car les trois hommes comparent Cornudet à un pauvre. Ces messieurs, étant des bourgeois riches et hauts placés, ont du dédain pour les pauvres qu’ils considèrent comme des moins que rien. La comparaison a pour effet de

prussien, sont autorisées à quitter la ville pour rejoindre la ville du Havre. Un matin, à l'aube, une diligence quitte la ville avec à son bord trois couples - Les Loiseau, les Carre-Lamadon et les De Breville - deux religieuses, un jeune démocrate, Cornudet et une prostituée, Boule de Suif. Le voyage s'annonce difficile. Embarrassé, chacun tente d'ignorer la présence de la jeune prostituée. La neige ralentit la diligence, retardant leur arrivée à Tôtes, leur prochaine étape. Les passagers, qui n'ont

n'appartiennent pas au même milieu social et n'auraient pas "cohabité" en d'autres circonstances. Ils représentent la société de l'époque : l'aristocratie, la bourgeoisie de province, le clergé et les personnes "en marge", l'un par ses idées politiques (Cornudet), l'autre par son genre de vie (Boule de Suif). Les trois femmes mariées n'ont aucune considération pour Boule de Suif parce qu'elle est une prostituée et la considèrent avec mépris ou avec condescendance. Mais Boule de Suif a de la fierté et sait

supérieure » par les Carré-Lamadon, et les « aristocrates » par les Bréville. Mais l’on retrouve aussi deux bonnes sœurs religieuses qui égrenaient de long chapelet sur leurs têtes. Boule de suif et Cornudet sont les deux personnes solitaires. Boule de suif, bonapartiste, déteste les Prussiens. Cornudet quant à lui est un révolutionnaire. L’image de la « « micro-société » et mauvaise car les voyageurs méprisent boule de suif alors qu'elle ne se soucie pas des barrières sociales et leur partage même

|jolie et maladive sur une poitrine de | | | | |phtisique rongée par cette foi dévorante | | | |Cornudet le |- grande barbe rousse |- terreur des gens respectables |- démocrate | |démocrate | |- inoffensif |- possède une assez

l’aristocratie avec le comte et la comtesse Hubert de Bréville, un homme du plus haut pouvoir politique, à droite, M. Carré–Lamadon et sa femme. La haute bourgeoisie avec Madame et Monsieur Loiseau. Deux religieuses qui représentaient l’église. L’homme Cornudet, moins respectable, qui représentait l’opposition gauche dans la politique. La dernière, la belle boule de suif. Fiches des personnages : Élisabeth Rousset surnommée « Boule de suif » : Portrait physique