Corporatisme

centralisation/coordination de la négociation salariale, un indicateur supplétif du concept de « corporatisme » qui a fait l’objet d’une grande attention des auteurs d’études comparatives d’économie politique. Comme dans de nombreux documents antérieurs (par exemple, Scarpetta, 1996, Elmeskov et al., 1998), des variables indicatrices de différents niveaux de corporatisme sont utilisées ici pour saisir les non linéarités de l’effet du corporatisme. Pour ce faire, l’indicateur quantitatif de la « coordination des négociations

Le régime fasciste et l’organisation du travail Introduction : Le fascisme désigne le régime établi en Italie par Mussolini de 1922 à 1945.Il a été fondé sur la dictature d’un parti unique, l’exaltation nationaliste et le corporatisme. Hannah Arendt le définissait comme « une banale dictature nationaliste née des difficultés d’une démocratie pluripartiste». En effet, le fascisme se heurte à l’oligarchie dominante à l’origine d’une vive agitation sociale à laquelle s’ajoute les promesses de guerre

allons étudier ces deux phénomènes, non pas à travers une réflexion de politique comparée au sens strict du terme. L’effort d’étudier les groupes d’intérêts dans une logique comparé mais en restant fidèle aux schémas classiques (pluralisme, corporatisme, néo-corporatisme) ne donne pas toujours des résultats satisfaisants. C’est un problème qui a été soulevé par certains spécialistes et qu’on confronte assez fréquemment dans les recherches en sciences sociales : « les recherches en sciences humaines utilisent

et les compétences du conseil supérieur de la magistrature dont sont issus les règles qui viennent d’être exposé. Plusieurs exigences ont guidé cette réforme. Il convient tout à la fois, d’assurer l’indépendance de la magistrature, d’éviter le corporatisme judiciaire et d’assurer un mécanisme satisfaisant de responsabilité des magistrats. La réforme de la présidence de l’institution répond au premier objectif. * Montesquieu : la séparation des pouvoirs (législatif, exécutif, judiciaire)

célèbrent la réconciliation du capital et du travail par le *corporatisme (slogan : « Le travail ennoblit »). - L’URSS se veut la « patrie des travailleurs ». MAIS : La « construction du socialisme » et le stakhanovisme entraînent la dégradation des conditions de travail. - Les syndicats et les organisations des loisirs: encadrent le temps libre / récompensent les plus méritants / veillent à la cohésion du groupe. *corporatisme : Doctrine inspirée par le modèle médiéval des corps de métiers

assureur » (Benito Mussolini, 1922[14]). Le tournant s'opère dans la deuxième moitié des années 1920 : Alberto De Stefani démissionne en 1925[15], promulgation des lois fascistissimes en 1926, vote des lois sur le corporatisme en 1927, et en 1929 crise économique mondiale[14]. Le corporatisme fasciste, mis en place à partir de 1925[modifier] Les fascistes monopolisent petit à petit le pouvoir. Après l'assassinat de Giacomo Matteotti le 10 juin 1924, ils établissent une dictature, les lois fascistissimes

création ex nihilo - une bourgeoisie agrarienne de droite souhaite le corporatisme comme rempart contre socialisme - en + : héritage du catholicisme social (Le Play et autres) : il faut donner aux paysans la juste place qui leur revient - une idéologie agrarienne avant-guerre & développement de thèses corpo. Certains, comme l'Union nat. des synd. agric. prise en main par Jacques Le Roy Ladurie, avaient déjà pensé au corporatisme Cf. Paxton pp. 200-201 : "D'une part, les corpo. s'administrant elles-mêmes

«l’élite» pour diriger le peuple qui est incapable de se représenter lui-même. La démocratie représentative est en lien étroit avec la doctrine du corporatisme. Ayant cependant beaucoup évolué, elle est aujourd’hui qualifiée de néo-corporatisme. Cette doctrine socio-économique est favorable à l’existence d’organisation. De manière péjorative, le corporatisme désigne l’attitude consistant à défendre les intérêts de sa corporation. La démocratie de représentation est un modèle qui s’est historiquement

différentes périodes qui ne définissaient pas exactement de la même manière le droit de la concurrence. Dans un premier temps, le corporatisme fut mis en avant. Ce mouvement, aussi appelé Ancien droit, était favorable aux ententes entre professionnels. Plus aucune concurrence n'était possible. Dans cette lancée, le dirigisme étatique apparut. C'est une prolongation du corporatisme mais dans ce cas c'est l'Etat qui dicte les règles pour éliminer la concurrence entre ces professionnels. Ces périodes de non

d’Outreau ont révélé si ce n’est ses dysfonctionnements la méfiance qu’elle inspire à l’opinion. C’est donc toute l’ossature et le fonctionnement du Conseil supérieur de la magistrature qui ont été repensés et ce afin de tendre vers l’équilibre entre corporatisme et politisation. Si une réforme du Conseil supérieur de la magistrature s’avérait nécessaire au regard de l’image de la justice qu’il véhicule (I), cette réforme n’est pas moins l’objet de vigoureuses critiques émanant de l’opposition comme des