Corporatisme

nombre de variables structurantes b. Un essai de synthèse 2) La fin d’un mode de régulation sociale a. L’ancrage social du contrôle budgétaire b. L’évolution des idéologies managériales liées au contrôle budgétaire i. Le paternalisme ii. Le corporatisme des années trente iii. La technocratie et le planisme iv. Les relations humaines : l’importation du management américain c. Un rôle social pour le contrôle budgétaire i. Les enjeux sociaux auxquels répondent les budgets ii. Les relais de ces

1. L’encadrement et le conditionnement de la masse ¢ Un encadrement « du berceau au tombeau » - école sous tutelle - organisations diverses pour encadrer la jeunesse (Balillas, Jeunesses hitlériennes, komsomols) - travail (pas de syndicats, corporatisme, stakhanovisme) - loisirs encadrés (ex Dopolavoro) - dans la famille (place de la femme) Žendoctrinement des masses passe par l’embrigadement de la population et, en particulier, de la jeunesse, qui apparaît comme la cible privilégiée des régimes

Romano-germanique. Articles 101 et 102 du traité sur le fonctionnement de l’union européenne. Loi le Chapelier, décret Dallard, sont les deux premiers textes qui constituent l’embryon du droit de la concurrence, ils signent la fin du monopole et le début du corporatisme. Mais les vrais débuts se sont faits à la fin du 18ème siècle, pendant lequel des penseurs détermine que la libre concurrence est nécessaire et corrélée à la démocratie. Le droit de concurrence émerge lentement en France, depuis 1945. L’Allemagne

appréhender le réel. Or comment peut-on appréhender le réel lorsqu’on ne sait pas ce qu’est l’Homme, ce qu’est la vie ? Par définition même, l’oligarchie est intrinsèquement stupide. C’est pour cela, entre autres (on pourrait aussi parler du poids des corporatismes), qu’elle est incapable de mener les réformes dont notre pays a besoin (outre le fait que ces réformes iraient à l’encontre de ses intérêtsvi). On ne peut pas réformer ce qu’on ne connaît pas. C’est également pour cela aussi qu’elle a perdu le

question, elle mérite d’être posée. En effet, les exemples ne manquent pas, par lesquels nous pouvons montrer les limites du service public, la façon dont il peut être détourné, dévoyé, par lesquels nous pouvons dénoncer des positions d’abus, de corporatisme d’un autre âge, par lesquels nous pouvons démontrer la sclérose d’un système qui ne correspond plus ni aux attentes des usagers ni aux exigences réglementaires de Bruxelles. C’est par exemple EDF qui suit une stratégie nucléaire à la pertinence

évolutions de la fonction publique. Ainsi peut-on considérer qu’elle est aussi un facteur de l’immobilisme. Enfin, un dernier facteur de l’immobilisme doit être mentionné : le poids du corporatisme. En effet, la pénalisation des fonctionnaires venant de l’extérieur et en confortant subséquemment le corporatisme qui transperce à travers les avis négatifs émis par la CAP, quant à l’accueil de personnes provenant d’autres corps et dont, juridiquement, le détachement est possible. A ce stade de la

royales de France et d’Allemagne déclarent que seuls les hommes issus de lignée chevaleresque pouvaient aspirer au métier de chevalier. La chevalerie devient donc rapidement une exclusivité de la noblesse, d’abords par nécessité économique puis par corporatisme. Le XIIème siècle fut sans doute l’âge d’or de la chevalerie. En effet, celle-ci se structurait comme une véritable classe sociale avec ses valeurs et son mode de vie. Au bas Moyen-Âge, les adoubements devinrent moins nombreux, de nouvelles tactiques

orientales et son homologue des Indes occidentales en 1664, compagnies du Nord en 1669 puis du Sénégal en 1673. Le bilan du colbertisme fut en demi-teintes. Si la politique menée par Colbert permit à l'économie française de sortir du cadre étroit du corporatisme, la réglementation rigide des manufactures freina finalement l'évolution de l'industrie, tandis que l'importance de l'agriculture, au sein d'un royaume demeuré rural, était négligée. Quant à la politique économique extérieure, elle déboucha dans

La France se heurte à des problèmes de barrières à l’entrée, lointain AVATAR des privilèges et des corporations de l’Ancien Régime. En 1959, Jacques Rueff, mécontent que le plan de stabilisation Pinay-Rueff n’ait pas traité le problème des « corporatismes intérieurs », reçut mission de rédiger avec Louis Armand un « Rapport sur les obstacles à l’expansion économique » qui, si l’on en croit Chelini41 ne fut guère suivi. Dans leur Rapport au ministre de l’Économie et des Finances et de l'Industrie

l’appelle. Pour cela, Mussolini veut mettre en place l’égalité de tous devant le travail –ce qui n’empêche pas la différenciation entre les différents niveaux hiérarchiques. Le système que Mussolini veut mettre en œuvre est le corporatisme, basé sur le travail. Le corporatisme est un « organe de liaison » entre les syndicats et les patrons. Ce système s’oppose directement au capitalisme et au communisme car il veut supprimer et même nier « la lutte des classes ». Concrètement, à travers le système