Corporatisme

véritable reconsidération de la classe ouvrière et paysanne. En effet, gagnant des droits durant l'année 1789, les «classes laborieuses » comme les appellent Napoléon, vont être à la fois libérée de la main mise par leur rôle social (fin du modèle corporatisme), puis vont rapidement être soumise à un véritable control par un autoritarisme imposé par le livret ouvrier remis en place en 1804, véritable carte d'identité ouvrière sous le consulat, par la loi 1781 du code civil aussi appelé code Napoléonien

économique est toujours associé à un certain niveau de polution. Comment dire à un pays émergent comme la Chine de stopper leur croissance? Il est difficile d'être exemplaire connaissant notre passé (la triade). On arrive dans une impasse au niveau des corporatismes et des lobbys (ex: EDF, l'électricité est d'origine nucléaire. On pourrait trouver d'autres manières de fonctionner mais c'est un véritable lobby). C'est une limite, d'où l'idée de mener des politiques climatiques. Mener ces politiques, c'est faire

ses débuts, le régime a supprimé la liberté de la presse et le droit de grève, interdit les partis et les syndicats. Pour Pétain, le pays ne peut en effet se relever que s'il est uni. Les fonctionnaires doivent prêter serment. L'État favorise le corporatisme. • Les dirigeants de la iiie République, dont Léon Blum et Édouard Daladier, sont arrêtés et jugés en 1942, au procès de Riom : le régime les accuse de n'avoir pas préparé la France à la guerre. Un régime d'exclusion Dès le mois d'octobre 1940

GÉOGRAPHIE UNIVERSITÉ CONCORDIA, MONTRÉAL 1. INTRODUCTION1 Depuis 1980, les institutions portuaires font l’objet d’une profonde réévaluation. Les processus de libéralisation et de privatisation ainsi que le développement de nouvelles formes de corporatisme ont modifié les relations entre les acteurs publics et privés et transformé la gestion institutionnelle des ports. Cette problématique se reflète dans la littérature, où un nombre croissant de travaux de recherche réévaluent l’économie des activités

peut se passer même si elle a de nombreuses faiblesses. Effets pervers de la bureaucratie : • La distance entre le pouvoir de décision et le terrain • La spécificité statutaire des fonctionnaires qui entraîne la multiplication des corporatismes ce qui provoque des rigidités sectorielles car il n’y a pas de communication entre les organisations. • Le contrôle de conformité aux règles plutôt que celui des résultats et de la satisfaction du client ( Le but de ces 3 effets étaient

(législatif, exécutif, fin libertés et démocratie) B) La révolution nationale -Une revanche idéologique (France traditionnelle, autorité, obéissance, révolution nationale) -« Travail, Famille, Patrie » (nouvel ordre économique, corporatisme, mère au foyer, culte de Pétain le « sauveur » : maréchal nous voilà) -Un régime d’oppression (arrestations de socialistes et communistes, antisémitisme, 1943 : milice répression plus violente) C) La politique de collaboration

Organizations, London, Sage,1992.973 Pages. KAZANCICIL A. (dir.), L'Etat au Pluriel, Perspectives de sociologie historique, Paris Economica, 1985. KEMAN H., PENNINGS P., Managing Political and Societal Conflict in Democracies: do Consensus and Corporatism Matter?, British Journal of Political Science, Vol.25, n 2, April 1995, pp. 271-281. KIRCHHEIMER O., The Transformation of the Western European Party Systems, in LA PALOMBARA J., WEINER M., Political Party and Political Development, Princeton

approches technocratiques du changement. On fera plutôt l’hypothèse que la conduite des transformations au sein des organisations va être dominée par la gestion de stratégies d’acteurs de plus en plus individualistes voire par la régulation de micro-corporatismes. De quoi faire regretter à certains dirigeants les réticences éprouvées autrefois pour le management participatif. ■ Pascal Charpentier, Maître de Conférences au CNAM, Chercheur au GRIOT/CNAM 

d’imposer des politiques de solidarité plus facilement. 6.12. Un consensus européen : un ordre nouveau, 1938-1948 6.13.1. Le consensus de 1940-1941 On adopte le système du vainqueur qui a su écraser la faiblesse des démocraties : Corporatisme fort et socialisme fort, état autoritaire, exécutif fort, antiparlementarisme 6.13.2. Le consensus de 1943-1946 On ne peut pas réussir sans Welfare State, pour être efficace et durable, il faut une libération sociale pour éviter les

approches technocratiques du changement. On fera plutôt l’hypothèse que la conduite des transformations au sein des organisations va être dominée par la gestion de stratégies d’acteurs de plus en plus individualistes voire par la régulation de micro-corporatismes. De quoi faire regretter à certains dirigeants les réticences éprouvées autrefois pour le management participatif. ■ Pascal Charpentier, Maître de Conférences au CNAM, Chercheur au GRIOT/CNAM