Corpus Critiquer La Guerre

Question de corpus Les quatre textes dénoncent la guerre : c’est la thèse commune. La Bruyère prononce une critique ironique et dynamique de la folie des hommes : il insiste sur le caractère éternel de la guerre en l’associant à «l’Antiquité », il rappelle son omniprésence avec des expressions telles que « dans tous les siècles », « toujours », « de tout temps », « de siècle en siècle ». Il souligne également les ravages de la guerre avec l’accumulation des verbes pronominaux « se dépouiller

plus efficace pour dénoncer une injustice ? Tout d'abord, nous commencerons par définir la notion de registres, secondement nous analyserons les différents registres permettant de dénoncer une injustice et qui sont répertoriés dans les textes du corpus, et enfin, troisièmement, nous choisirons quel est le registre le plus efficace pour dénoncer une injustice et de défendre une cause humaine et pourquoi selon nous. Certains textes expriment, du côté du locuteur, et provoquent, chez le lecteur

Corpus de textes | Texte 1 : Les obsèques de la lionne, La Fontaine  ° Il y a 4 étapes qui se dégagent de ce texte. La première étape (l.1-15) est l’annonce des obsèques de la lionne comme le titre l’annonce, par les phrases suivantes « La femme du lion mourut […] Il fit avertir sa province que les obsèques se feraient ». La seconde étape (l.16-29) est la critique directe de la cour du roi. La Fontaine décrit très bien à grâces a ces animaux l’hypocrisie des courtisans « les gens tristes gais

sur l’Autre entraîne-t-elle une nouvelle conception de l’Homme ? Cette séquence débute depuis le XVIe siècle, époque de l’humanisme, jusqu’au XXe siècle. Montaigne intervient avec ses Essais à la fin du XVIe siècle, et exprime une position critique sur la façon dont les Européens de son temps considèrent les indigènes d’Amérique. Dans Les cannibales, chapitre des Essais réservé à cette question, il examine ainsi la notion de sauvagerie, et celle de barbarie qui lui est corollaire. Sa réflexion

l’humanité n’a autant fait pour exalter l’homme, prolonger sa vie et proclamer ses droits, or jamais elle n’a affecté pour l’homme un aussi grand mépris (hier, 38 millions de morts au cours de la guerre de 1939-45, dont 6 millions de député qui ont péri dans les camps nazis ; aujourd’hui menace de la guerre atomique »   S’il est vrai que le monde a toujours été confronté à la lutte de deux forces opposées: le mal et le bien, il n’en demeure pas moins vrai que les forces du mal ont pris un

Corrigé de la question sur corpus Bac Blanc 1 Corrigé question sur corpus bac blanc n°1 Introduction : Alors que la Préciosité s’est imposée, deux visions de la femme tendent à se confronter en cette fin de XVII°. C’est cette tension entre une vision passéiste et une vision moderne, précieuse, de la femme que reflète ce corpus qui se caractérise par sa forte synchronie. Les textes soumis à notre étude, en effet, ont été écrits entre 1662 et 1688. Les deux premiers, signés du dramaturge Molière

 Ce corpus est composé de trois poèmes datant du XIX et XXème siècle. Ils parlent tout les trois de liberté du peuple plus ou moins explicitement. Les trois poètes veulent faire passer un message au peuple à travers ces poèmes engagés. Nous verrons donc les places qu’occupent les poètes dans leur propre société. Dans un premier temps nous verrons que les poètes veulent dénoncer plusieurs choses appartenant a leur société. Tout d’abord, nous pouvons voir que les poètes

situé dans le quartier des grands boulevards. Elle a été veillée par quelques amies, à la fois fidèles et curieuses de voir à quoi ressemble le cadavre de celle qui fut l’une des plus jolies femmes de Paris. Au même moment, Napoléon III déclare la guerre à la Prusse. Devoir 1 – FR20-11 317 Le cadavre commençait à empoisonner la chambre. Ce fut une panique, après une longue insouciance. — Filons, filons, mes petites chattes, répétait Gaga. Ce n’est pas sain. Elles sortaient vivement, en jetant

I. Corrigé de la question sur le corpus (4 pts) Les quatre textes dénoncent la guerre : c’est la thèse commune. La Bruyère prononce une critique ironique et vive de la folie des hommes : il insiste sur le caractère éternel de la guerre en l’associant à l’”Antiquité”, il rappelle son omniprésence avec des expressions telles que “dans tous les siècles”, “toujours”, “de tout temps”, “de siècle en siècle”. Il souligne également les ravages de la guerre avec l’accumulation des verbes pronominaux

les siens (car c’était un capitaine, et nos matelots l’appelaient « Roi »), il me dit que c’était de marcher le premier à la guerre. Pour me dire de combien d’hommes il était suivi, il me montra un certain espace, pour signifier que c’était autant qu’on pourrait en mettre là, et cela pouvait faire quatre ou cinq mille hommes. Quand je lui demandai si, en dehors de la guerre, toute son autorité prenait fin, il répondit que ce qui lui en restait, c’était que, quand il visitait les villages qui dépendaient