Corpus Negritude

Prix Goncourt le 14 décembre 1921. Quelques années plus tard, il finit par s’installer à Paris après avoir mis fin à sa carrière coloniale. A Paris, Il fréquente le salon littéraire de Paulette Nardal où il rencontre de véritables pionniers de la négritude tel que Léopold Sédar Senghor, Aimée Césaire etc. Après la publication de plusieurs nouvelles, poèmes et romans, il s’éteint le 9 mai 1960 à Paris. Bibliographie : Œuvres principales de l’auteur  La Maison du bonheur, poèmes, 1909 La Vie intérieure

création romanesque africaine. En l’espace de 25 ans, on n’aura recensé que trois parutions dans le genre romanesque. A cet effacement momentané du roman, il eut bien des raisons. D’une part cette époque coïncide avec la grande flambée lyrique de la Négritude et de l’autre c’est parce que la poésie était plus apte à rendre compte du sentiment de révolté. B-La deuxième période (le procès de la colonisation) Pendant cette période, les romanciers africains, revendiquent l’authenticité du noir et la liberté

KANTE GABRIEL DIOM IBRAHIMA SABALY OUSSEYNOU MENDY AMINATA DIOUF GEORGES IVON MALACK Thème : LA POESIE DE LA NEGRITUDE PLAN : INTRODUCTION I.DEFINITION II.LES OBJECTIFS III.LA NEGRITUDE : SOURCE D’ERRACINEMENT IV.LA NEGRITUDE : Quête DE LA LIBERTE CONCLUSION INTRODUCTION La poésie de la négritude est une expression de l’âme noire en réaction contre le colonialisme. Longtemps empêtra de son droit a l’expression le

C’est homme respectable, car le combat pour la négritude a était difficile étant donné que depuis des siècles la population noire se sent rejetée et inférieure aux autres a cause des faits passés. Mais lorsqu’Aimé Césaire a mis en œuvre toute sa force et son pouvoir pour que le concept de négritude soit accepté par tout le monde, enfin la population noire a pu se sentir fière et respectée. C‘est l’un des fondateurs du mouvement littéraire de la « négritude » et un anticolonialiste résolu, qui a tout

combat pour l'indépendance de son pays et devient un des pionniers de la Négritude. Loin de la « Négritude du Quartier latin », il pratique la « Négritude intérieure », et c'est à ce titre que Léopold Sédar Senghor dit de lui : « (...) Abdoulaye SADJI appartient, comme Birago DIOP, au groupe des jeunes gens, qui, dans les années 1930, lança le mouvement de la Négritude. Abdoulaye SADJI n'a pas beaucoup théorisé sur la Négritude : il a fait mieux, il a agi par l'écriture. Il fut l'un des premiers jeunes

permettent restitution de l’émotion première devant le monde sans passer par les conventions de genres élaborées au fil de l’histoire de la poésie. Une habile manière d’affirmer sa négritude : •« l’affirmation de nous-mêmes, le retour à notre propre identité, la découverte de notre « moi ». … « il faut assumer sa négritude, ne plus avoir honte d’être noir, et revendiquer fièrement ses attaches africaines (…) il faut y insister car cette notion a prêté à bien des malentendus ». •Senghor : « L’émotion

• A. Les fondements de la négritude (1945-1962) Introduction générale La négritude est un mouvement nègre impulsé par des intellectuels de couleur (DAMAS, CESAIRE, SENGHOR) dont l’objectif est de rendre la dignité aux noirs, après des années de frustration psychologique, culturelle et politique. Pour Léopold Sédar SENGHOR « c’est un certain nombre de valeurs que nous considérons comme nègres et le désir de rester fidèles à ces valeurs ». Selon Jean-Paul SARTRE, dans une perspective

que la négritude La négritude est un mouvement à la fois littéraire et politique, fondé à Paris dans les années 1930 par des étudiants noirs des Antilles et de l’Afrique. Les fondateurs du mouvement, Aimé Césaire, Léopold Senghor, et Léon Damas, espéraient éliminer les barrières entre les étudiants des colonies françaises. Ils s’inquiétaient non seulement de la collaboration entre les Noirs du groupe, mais aussi de l’unité de leur race. Ces inquiétudes ont inspiré la négritude. La Négritude se veut

évoquer le drame universel de l’humilié et de l’offensé. Aimé Césaire montre ainsi que c’est seulement à travers l’expérience la plus personnelle qu’on peut accéder à l’universel. Le Martiniquais, l’Africain et le Noir américain vivent chacun leur négritude avec ses modalités particulières, et c’est parce qu’ils en font l’expérience intime qu’ils peuvent la reconnaître chez les autres : « L’universalité n’étant pas la négation de la singularité, et la singularité étant la condition de l’universalité

combat pour l'indépendance de son pays et devient un des pionniers de la Négritude. Loin de la « Négritude du Quartier latin », il pratique la « Négritude intérieure », et c'est à ce titre que Léopold Sédar Senghor dit de lui : « (...) Abdoulaye Sadji appartient, comme Birago Diop, au groupe des jeunes gens, qui, dans les années 1930, lança le mouvement de la Négritude. Abdoulaye Sadji n'a pas beaucoup théorisé sur la Négritude : il a fait mieux, il a agi par l'écriture. Il fut l'un des premiers jeunes