Cortex préfrontal

contrôle est majoritairement hormonal. Chez les primates et surtout l'homme il y a évolution vers un comportement érotique où prime la recherche du plaisir et du relationnel. Le développement du cerveau, constaté chez les hominoïdes (prépondérance du cortex cérébral, siège des capacités cognitives comme la mémoire, la symbolisation et des capacités affectives comme le plaisir) explique l'influence majeure de ce dernier sur le comportement sexuel au détriment des facteurs hormonaux. Au cours de l’évolution

cérébrales. Au niveau cérébral, trois structures vont voir leur activité modifiée lors d'un stress chronique : l'hippocampe qui contrôle l'humeur et la mémoire; l'amygdale qui contrôle la peur, l'anxiété et la gestion des émotions; et le cortex préfrontal qui contrôle la prise de décision et le raisonnement. Un enfant en État du syndrome post-traumatique voit une réduction du volume de l'hippocampe. Cette réduction volumique est associée à une baisse de la neurogénèse. Les neurogènes qui

thalamus, de l’hypothalamus et de la glande pinéale. Le cerveau recouvre le diencéphale et le tronc cérébral et constitue la plus grande partie de l’encéphale. La couche superficielle du cerveau est composée d’une mince couche de substance grise, le cortex cérébral, qui recouvre la substance blanche cérébrale. L’encéphale est protégé par le crâne  et les méninges crâniens. Les méninges crâniens prolongent les méninges spinales et portent les mêmes noms. De l’extérieur vers l’intérieur : dure mère

et donc de prendre la bonne décision. Chaque situation que vit un individu est donc associée à un état somatique positif ou négatif. Les marqueurs somatiques sont acquis par le biais de la socialisation et des expériences individuelles. C’est le cortex orbitofrontal qui est le lieu d’enregistrement et de stockage des différents marqueurs somatiques. Donc, lorsque nous rencontrons un stimulus particulier, les marqueurs somatiques peuvent être réactivés. Cependant, ceux-ci ne sont pas activés à chaque

3. Le cannabis 3.4. La cocaïne 3.5. L’héroïne 4. La dépendance 4.1. Adaptation du système de récompense 4.2. Mécanismes moléculaires 4.3. Sevrage 5. L’addiction 5.1. Indices et mémoire 5.2. Addiction sans substance 5.3. Le cortex préfrontal p. p. p. p. p. p. p. p. p. p. p. DÉPENDANCE Avant-propos CONSOMMATION p. ADDICTION Préface 6.1. Les facteurs génétiques 6.2. Stress et addiction 6.3. Les risques liés à l’adolescence 6.4. L’histoire personnelle

Catécholamine : joue le rôle d’hormone et de neurotransmetteur, c’est un composé organique. Hippocampe : il se situe dans le lobe temporal médian, sous la surface du cortex, au-dessus de la cinquième circonvolution, région du cerveau qui nous sert à produire et à stocker les souvenirs, il retient les sentiments qui les accompagnent. Il joue le rôle d’hormone et de neurotransmetteur. Noyau codé : région importante

Structures corticales et sous-corticales · Cortex cérébral : substance grise périphérique des hémisphères cérébraux. · Cortex cérébelleux : substance grise périphérique du cervelet. · Adjectif correspondant à cortex : cortical (relatif à l’écorce, à la partie externe des organes)· On appelle « structures sous-corticales » les structures situées sous la couche du cortex cérébral. Ce sont le plus souvent des noyaux de substance grise comme les ganglions

on a des moyens de se rappeler les choses (agenda par exemple), ou pour retrouver nos clés on peut d’abord se demander comment on était habillé. On peut associer un événement à un autre de cette façon. La région du cerveau concernée est le cortex préfrontal dorsolatéral. Cette région est utilisée pour la planification, l’organisation etc. On a la même chose pour l’apprentissage implicite, on peut récupérer de façon automatique, c’est la réminiscence automatique et involontaire. On parle de « popping-out

motoneurones des muscles extenseurs du cou, du tronc et des membres inférieurs (articulations proximales) 2.1 Les voies ascendantes de la sensibilité 2.1.3 L’audition 2.1 Les voies ascendantes de la sensibilité 2.1.3 L’audition Tonotopie du cortex auditif FIG 10 2.1 Les voies ascendantes de la sensibilité 2.1.4 La vision Voie visuelle rétino-géniculo-striée (90% des fibres) Elaboration d ’un signal électrique transmis aux cellules relais et qui quitte la rétine par le nerf optique

genouillé latéral (CGL) vont ensuite rejoindre leur cible principale : le cortex visuel primaire. C’est là que l’image va commencer à être reconstituée à partir des champs récepteurs des cellules de la rétine. Également appelé cortex strié ou simplement V1, le cortex visuel primaire se situe dans la partie la plus postérieure du lobe occipital du cerveau. Le cortex visuel primaire envoie une forte proportion de ses connexions au cortex visuel secondaire (V2). Bien que la plupart des neurones de l’aire visuelle