Cortex préfrontal

se présentent sous forme de points lumineux, d'éclairs, d'étoiles, de taches lumineuses, souvent multiples et colorés, souvent mobiles et occupant en général un hémichamps visuel. Ces phosphènes sont alors en relation avec une entreprise du cortex visuel occipital (région calcarine, aires 17 et 18) hétérolatéral. Les phénomènes déficitaires à type d'amaurose (cécité transitoire) sont en toute vraisemblance le résultat de la propagation

train de boire du Coca-Cola, une nette préférence pour ce soda était exprimée. Dans le premier cas, c'est essentiellement le putamen qui était actif (valeurs gustatives, plaisir). Dans le second cas, en plus du cortex préfrontal ventromédian[pas clair], l'hippocampe, le cortex préfrontal dorsolatéral, le tronc central étaient actifs, tandis que le putamen était nettement en retrait. Les deux types de réponse constituant des comportements objectifs au sens des réflexes neurologiques, cette étude mettait

existe une corrélation entre la fréquence des messages paradoxaux et les symptômes schizophréniques mais ce n’est pas un lien de causalité. 4. La neuropsychologie cognitive Dysfonctionnement du cortex préfrontal Il existe chez la plupart des schizo, un déficit du fonctionnement du cortex préfrontal. ▲ Ce n’est pas l’origine de la maladie, autrement la schizophrénie ne serait qu’un « simple trouble neurologique ». 5. La psychopathologie biologique Hyperactivation du système dopaminergique

stress aigu : le stress aigu devient chronique lorsque l'état de stress dure dans le temps et/ou qu'il est trop intense. Le stress aigu est caractérisé par l’activation du système limbique composé de l’amygdale, hippocampe, hypothalamus et cortex préfrontal (bcp liés aux émotions). Son activation déclenche deux phases, durant la première phase, la phase d’alarme qui est rapide, il y a libération d’adrénaline par la glande médullo-surrénale. L’adrénaline provoque une augmentation du rythme cardiaque

hallucinations : « les prétendues sensations des hallucinés sont des images, des idées, reproduites par la mémoire, associées par l’imagination et personnifiées par l’habitude ». Il les distinguait des illusions (qui, selon lui, ne dépendaient pas du cortex), des états de rêve ou du somnambulisme et enfin, des extases. Plus tard, Ball (1890), simplifia la définition d’Esquirol en écrivant que « l’hallucination est une perception sans objet ». Baillarger [ 1 ] , en 1846, introduisit une distinction entre

années 1960, le MFB est un faisceau d’axones qui part de la formation réticulée, traverse l’aire tegmentale ventrale, passe au niveau de l’hypothalamus latéral et continue jusqu’au noyau accumbens ainsi qu’à l’amygdale, au septum et au cortex préfrontal.. Le MFB est composé de voies ascendantes et descendantes, incluant en majorité des voies dopaminergiques. Le système dopaminergique mésocorticolimbique est l’une de ses principales composantes. 35 Le jeu de l’ultimatum 36 Le

altérer la fonction cérébrale et les facultés cognitives //- augmente la production de cortisol ( hormone du stress ) : stress chronique //- atrophie l’amygdale ( zone du cerveau qui gère les souvenirs ) : perte de mémoire //- diminution du cortex préfrontale : impact la prise de décision et la mémoire //- accélère le déclin cognitif : perte progressive des capacités de réflexion // mental : Quels sont les impacts de l'isolement social sur notre cerveau

le cerveau lorsqu’on a peur ? Nous avons dit plus haut que la peur est la réponse naturelle à la détection d’un potentiel danger, ce qui se passe dans notre cerveau c’est que le signal nerveux (entendre ou voir quelque chose qui fait peur ) va du cortex sensoriel à la région du Thalamus ou il sera interprété comme danger ou non. Le danger ainsi détecté est transmis à l’amygdale qui est un composant clé de la réaction de la peur, car cette dernière envoie plusieurs neurotransmetteurs3 et le plus

complexe amygdalien les cortex insulaire et fronto-orbitaire postérieur 31 système limbique: la région septale le fornix l’hippocampe le complexe amygdalien les cortex insulaire et fronto-orbitaire postérieur 32 a- système limbique • étape « obligatoire » pour une mise en MLT • circuit de Papez bilatéral et symétrique intervient dans l’apprentissage, la consolidation et le rappel initial des informations déclaratives aires corticales messages sensoriels cortex associatif 33 circuit

nerveuses afférentes qui conduisent les potentiels d’action (influx nerveux) vers des centres nerveux (le thalamus notamment). Ceux-ci relaient les informations en les transmettant à d’autres neurones par contacts synaptiques. - Des zones du cortex dites zones ou aires de projection (aires sensorielles spécialisées). Tous les éléments mis en jeu peuvent interagir entre eux ainsi qu’avec d’autres structures nerveuses impliquées dans la vigilance, le sommeil, les émotions, la mémoire, etc. Autrement