Cortex visuel

Cadet dans Le rire son mécanisme nous est cependant connu. En premier lieu, un stimulus (modification du milieu extérieur à l’individu) est capté par notre cerveau, puis, après une brève analyse, le signal est envoyé vers le centre cortical (zone du cortex cérébral) situé dans le lobe frontal de notre cerveau. Après quoi, le message nerveux est transmis aux muscles. Pourtant, le rire est involontaire, contagieux, et ce n'est pas un phénomène lié au langage, puisque le nourrisson rit bien avant de savoir

alors en retour deux zones du cerveau : le cortex cérébral pour qu'il réagisse au stimulus stressant (fuite, attaque, immobilisation...) et l'hippocampe, qui va apaiser la réaction. Si le stress est trop fort ou prolongé, l'hippocampe saturé de cortisol ne peut plus assurer la régulation. Le cortisol envahit le cerveau et installe une dépression. Les zones altérées sont principalement l'hippocampe6, l'amygdale, le cortex cingulaire antérieur et le cortex préfrontal. Chez les animaux Comme les humains

oligodendrocytes (contact avec les synapses, les nœuds de Ranvier et les corps cellulaires de neurones) Elara Moudilou SHS L1 2009-2010 39 Principaux rôles Rôle dans le développement du SNC : guidage des neurones lors de l’organisation du cortex cérébral Soutien énergétique des neurones Homéostasie extracellulaire Rôle dans la neurotransmission Induction et maintien de la barrière hématoencéphalique Sécrétion de cytokines pro ou anti-inflammatoire Elara Moudilou SHS L1 2009-2010 40

physiopathologie. Le modèle « vulnérabilité-stress » initialement suggéré par les faits cliniques est étayé au niveau biologique. La vulnérabilité suicidaire est sous-tendue par un dysfonctionnement sérotoninergique central, notamment au niveau du cortex orbitofrontal, influencé par des facteurs génétiques, et générant déficits cognitifs et dysrégulation émotionnelle. En effet, les études de génétique épidémiologique (études familiales, de jumeaux et d’adoption) suggèrent l’existence d’une vulnérabilité

tegmentale ventrale (ATV) supprime toute sensation de plaisir.  Ainsi, l’aire tegmentale ventrale (ATV), groupe de neurones situés en plein centre du cerveau, est une zone traitant les informations sensorielles associées au plaisir envoyées par le cortex cérébral.  Après traitement de ces informations par l’ATV, celleci émet en réponse des messages transmis à différentes régions du cerveau, qui sont alors activées.  On réalise des IRM chez l’Homme (Imagerie par Résonance Magnétique), permettant

détecter des cellules mortes. Des stimulations électriques permettent de confirmer des problèmes de conduction nerveuse. Un électromyogramme permet d’apprécier si le réflexe est retardé ou augmenté et proposer des problèmes de myélinisation ou du cortex cérébral ou des voies motrices. Proposition de conclusion Les neurologues, grâce au test des réflexes myotatiques, ont accès à des indices sur la conduction et la transmission de messages entre neurones sensitifs et neurones moteurs et à l’intégration

disaient que le problème était apparu en même temps. Plusieurs conséquences s’en suivent. D’un point de vue biologique, Stéphane Potvin (2014), explique ce que les substances illicites font au cerveau. Le système limbique qui est situé dans le cortex préfrontal dispose de dopamines et de sérotonines. Lors de la prise de stimulants, le cerveau est sur stimulé, il sécrète beaucoup de sérotonine, mais lorsque l’effet de la drogue cesse, beaucoup sérotonines disparaissent. Les individus deviennent

cas par exemple del’hippocampe dont la région CA3 subit des pertes neuronales importantes sous l’effet d’un stress prolongé.  D’autres études ont aussi rapporté une diminution du nombre de récepteurs aux glucocorticoïdes dans l’hippocampe et le cortex préfrontal chez des victimes du suicide. Bien qu’il soit difficile de savoir si ces changements structuraux sont d’origine génétique où le résultat d’un activation chronique de l’axe HPA, il demeurent cohérent avec l’hyperactivité de cet axe dont

les aspects inconscients du fonctionnement humain. C’est ainsi qu’on sait aujourd’hui que 90% à 95% de l’activité de notre cerveau n’est pas accessible à la conscience, les activités conscientes étant délimitées dans une petite zone du cerveau, le cortex pré-frontal. (Par exemple, pour parler, vous ne réfléchissez pas, fort heureusement, aux mouvements de votre langue, à votre respiration, aux contractions de vos cordes vocales et à la façon d’assembler les mots prononcés, tout ceci se fait inconsciemment 

intéressantes que celles données par l'économie traditionnelle. I/ Il est important de prendre en compte les émotions *Déficit émotionnel et évolution à long terme -> Damasio Damasio dans une erreur de Descartes, a montré que certaines lésions du cortex préfrontal, provoquent des dysfonctionnement des émotions (ex: colère sans raison) et en même temps elle rendent difficile pour ces personnes la gestion à long terme de plans de vie. Elles sont dépendantes de ce qui se passent maintenant. Ils sont