Cortex visuel

(SNC) et réalise les commandes motrices de ce dernier. Les voies de la douleur assurent la transmission d’un stimulus depuis des récepteurs périphériques, les nocicepteurs jusqu’au cortex cérébral. La perception douloureuse résulte du cheminement d’un influx nerveux nociceptif vers une aire spécifique du cortex. Un nocicepteur (ou récepteur nociceptif) est un récepteur sensoriel de la douleur qui fait naître un message nerveux lorsqu’il est stimulé, ce message passe d' abord par la moelle épinière

sont particulièrement importants : les groupes respiratoires dorsal (GRD) et ventral (GRV). La figure 1 montre la localisation de ces groupes dans le tronc cérébral. Le contrôle volontaire de la respiration, quant à lui, trouve sa source dans le cortex cérébral DIAPO : Représentation schématique des voies nerveuses respiratoires. A1, A2, A5, A6 : Groupes de neurones noradrénergiques du tronc cérébral. C1 et C2 : Groupe de neurones adrénergiques du tronc cérébral. NTS : Nucleus Tractus

par l'intermédiaire d'une synapse. Ces neurones sensitifs remontent vers le cerveau en empruntant la substance blanche de la moëlle épinière et effectuent un dernier relai synaptique à la base du cerveau. Enfin, ces neurones se terminent dans le cortex cérébral où s'élabore la sensation de douleur. III ) Le massage nerveux : le potenciel d'action (PA) Un protocole expérimental permet de mesurer la réponse d'un nerf à une stimultaion électrique. Lorsqu'une stimultaion dépasse une certaine valeur

relativement symétriques appelées des hémisphères (gauche et droite). Ainsi à l’instar du corps le cerveau est également symétrique (deux bras, deux jambes). La couche externe du cerveau est en fait une fine couche de tissu nerveux plissé appelé cortex cérébral et ces replis sont des circonvolutions. Le cerveau est divisé en quatre lobes : le lobe frontal, le lobe pariétal, le lobe temporal et le lobe occipital. Comme tout organe du corps, le cerveau est composé de milliard de cellules de tailles

non-stimulation de certaines zones du cerveau peut induire la réorganisation, la détérioration ou la destruction de certains circuits nerveux. Par exemple, dans le cerveau de musiciens professionnels, on a pu montrer grâce à l’IRM des modifications du cortex cérébral liées à la pratique intensive de leur instrument. Chez les pianistes, on observe un épaississement des régions spécialisées dans la motricité des doigts ainsi que dans l'audition et la vision. De plus, ces changements sont directement proportionnels

porte le message jusqu’à un noyau gris du cerveau chargé de trier les informations. Enfin, un neurone cérébral prend à nouveau le relais jusqu’au cortex cérébral, où le message sera interprété et prendra la signification de message douloureux. Les structures impliquées dans la transmission du message nociceptif Message électrique Transmission synaptique Cortex cérébral Neurone cérébral 1 2 1 2 Thalamus (zone de tri du cerveau) Neurone nociceptif médullaire Neurone nociceptif périphérique Corps

dans l'ensemble des circuits neuronaux qui inclue l'amygdale, le cortex temporal, cingulaire, orbitofrontal, l'insula et les ganglions de base. L'activation de ces réseaux dépend du type d'émotion, il n'y a pas d'activation unique. On remarque également cela chez le singe macaque où ce phénomène s'explique par l'activation automatique des représentations motrices. On a également découvert le rôle des neurones miroirs dans le cortex prémoteur (ils présentent une activité quand le sujet observe

rachidien) et dans la substance grise des centres nerveux . Dans la moelle épinière la substance grise est interne (figure en forme de papillon dont les ailes correspondent aux cornes dorsales et ventrales). Dans le cerveau, la substance grise forme le cortex cérébral et des noyaux à la base de l’encéphale (fig.2 p.26 manuel Bordas). Les axones, prolongements des neurones constituent des fibres nerveuses qui permettent les communications : chaque neurone reçoit des informations par ses dendrites et émet

consiste en la stimulation de certaines zones du cerveau spécifiques, grâce à des impulsions magnétiques. Pour traiter la dépression, les impulsions sont spécifiquement induites sur le cortex préfrontal gauche, une zone du cerveau connue pour être liée à cette maladie. Cette zone, qui mature plus tardivement que le cortex préfrontal droit, est en effet liée au ressenti et à la gestion des émotions positives. Les impulsions, de même intensité que le champ magnétique créé par une machine d'imagerie par

plusieurs organes . Un événement stressant provoque une réaction en chaîne dans le cerveau qui entraîne une production de cortisol (hormone )par les glandes surrénales située au dessus du rein ,le cortisol active alors deux zone du cerveau : -le cortex cérébral pour pour qu'il réagisse à la situation stressante par une fuite , une attaque … -et l’hippocampe qui va apaiser la réaction Si le stress est trop fort ou prolongé , l'hippocampe ,saturé de cortisol ne peut plus apaiser le cerveau ,il s'installe