Cosme de Médicis

égarements de l'épisode de Savonarole, Florence instaure un régime de République de 1500 à 1530, représentée par les assemblées de la salle des Cinq cents, au . Avec l'aide des Habsbourg, la famille Médicis reprend de l'influence sur la vie politique de la cité : sous le règne de Cosme Ier de Médicis, la Toscane accède au rang de Grand Duché. La Renaissance en Italie n'est plus spécifique [modifier] A l'issue de ce siècle, l'Italie est toujours morcelée et n'accèdera pas à l'unité nationale

la possibilité d'utiliser vertueusement de l'argent pour le bien public (cf. Benozzo Gozzoli, Cortège des Rois Mages, en 1459, Florence, chapelle du Palazzo Medici-Riccardi. Fresque commandée par le fils de Cosme, Pierre de Medicis, représenté de profil , sur un cheval blanc). Soucieux des réactions des autres Florentins sur sa fortune, Cosme préfère pour son palais un projet plus sobre ( Michelozzo di Bartolomeo vers 1446) que celui que lui a proposé Brunelleschi. a) L'art à la cour. Les souverains

Lorenzaccio est un drame romantique de V actes écrit par Alfred de Musset en 1833. Pour l’éccrire il s’est inspiré de l’ouvrage que George Sand lui a confié : Une conspiration en 1537. Il y décrit un héros romantique, Lorenzo de Médicis. L’intrique de cette pièce est une reprise d’évènements réels racontés dans une chronique de Benedetto Varchi : la Storia fiorentina. Cependant, musset apporte quelques modifications. IL est publié en août 1834 dans le premier tome du second volume d’Un spectacle

au maître de Florence, Laurent de Médicis qui le place dans un atelier de sculpture de plein air dans les jardins de la place Saint-Marc, dirigé par le sculpteur Bertoldo di Giovanni. De 1490 à 1492, Michel-Ange devient le protégé de Laurent et est logé dans son palais.. Il est influencé par un milieu libre qui fait évoluer ses idées sur l’art et ses sentiments sur la sexualité. Il admire les collections de statues de la Grèce antique accumulées par les Médicis et il se promet de devenir sculpteur

un jouet commun qui grossit les objets observés environ sept fois, non sans énormes aberrations latérales. Selon les indications françaises qui envisage un usage de multiplicateur du sens de la vision, Galilée, qui ne donne plus de cours à Cosme II de Médicis, construit sa première lunette. Il l'améliore en appliquant des principes élémentaires d'optique et la transforme en lunette astronomique, envisageant d'observer les étoiles invisibles à l'œil nu. Son instrument déforme toujours sensiblement

AURORE DUDEVANT {RDP 675} DRAMATIS PERSONÆ a |ALEXANDRE DE MEDICIS, grand-duc de Florence. | |VALORI, commissaire apostolique. | |MALATESTA b BAGLIONE, commandant des forces militaires. | |LE CAVALIERE c DE MARSILI |officiers de la maison du Grand-Duc.

progressif s’affirme dans les œuvres sous deux formes : Le développement des autoportraits : au début, ils sont dissimulés sous des prétextes religieux (cf. autoportrait en St Luc, années 1440 – Van der Weyden/Bouts à Anvers) (1440, chapelle du palais de Médicis, Benozzo Gozzoli). En Italie, la pratique des autoportraits intégrés dans les œuvres se répand. Autre exemple, Pérouse, Collegio del Cambio par le Pérugin, 1500. L’artiste est présent dans l’œuvre. Autres exemples, ville de Spello, 1501, chapelle

la chaîne durant laquelle Botticelli fait des peintures de petites dimensions par lesquelles il se pose dans la société florentine. Il obtient son brevet le 28 janvier 1475 ainsi que sa première commande officielle. Il s'attire les faveurs des Médicis (puissante famille de Florence à la renaissance) qui lui permettent d'exécuter une série de compositions mythologiques comme 'Le Printemps', 'La naissance de Vénus' et ses nombreuses Madones, dans lesquelles il affirme son style. C’est l’un des premiers

partie d'un groupe avec une autre statue, celle de Bellérophon. Découverte au XVIe siècle, elle donne mesure de l'existence préalable des civilisations originales en Toscane. Elle fut immédiatement récupérée par le duc (futur grand-duc de Toscane Cosme Ier) pour ses collections et qui l'exposa publiquement dans la salle Léon X du Palazzo Vecchio. Elle fut ensuite transférée près de son studiolo du Palais Pitti, dans lequel, comme le rapporte Benvenuto Cellini dans son autobiographie : « l duca ricavava

réalisation des jardins du Belvédère à Rome que Bramante utilisera pour la première fois la notion de perspective, en créant un grand axe perpendiculaire au palais à partir duquel il distribue parterres et fontaines. Les Jardins de la villa Médicis à Fiesole La villa Médicis domine la ville de Florence perché sur son promontoire. Construite par Michelozzo Michelozzi elle est abondante de sources, très aérée,ensoleillé et offre un merveilleux diaporama; ce qui fait d'elle un lieux privilégié. Le jardin est