Cosme de Médicis

dans le « Tempio », du corps de Pléthon et de l’Apollon qui vit dedans91 ! Cosme de Médicis et les mages Mais revenons un peu en arrière, au concile de Ferrare-Florence sur l’union des Eglises (14381439). Pléthon qui y a participé à titre de conseiller laïque, a été amené à s’exprimer en marge du concile, sur un sujet à la mode en Italie, la supériorité de Platon sur Aristote (ou d’Aristote sur Platon)92. Cosme de Médicis, selon Marsile Ficin, allait écouter Pléthon et en aurait conçu le halshs-00460365

lui Giotto. Comme celle de Brunelleschi, son œuvre est pur et sans ornement. L’humaniste florentin Cristoforo Landino fait l’éloge de Masaccio. 1434-1494 : Florence est dominée par les Médicis. Contrairement à Bruni et ses amis, les érudits florentins de la nouvelle génération, réunis autour de Cosme de Médicis et de son petit-fils Laurent le Magnifique, privilégiaient la vie contemplative et l’étude de la sagesse ésotérique. Leur philosophe favori est Platon. Ils appellent « Académie », en son

homme (le roi Henri II), ont profondément façonné ce fleuron de la Renaissance. Offert par le roi à sa maîtresse, Diane de Poitiers, le château se vit tout d’abord doté d’un pont sur le Cher. Lorsqu’à la mort du roi la reine légitime, Catherine de Médicis, récupéra le domaine en chassant l’ancienne favorite, elle fit édifier la superbe galerie que l’on découvre aujourd’hui. Celle-ci est directement inspirée du Ponte Vecchio de Florence, ville natale de Catherine. Venant couvrir le pont bâti par Diane

rose..." pour Cassandre et "Quand vous serez bien vielle..." pour Hélène.Poète et aumônier du roi Charles IX , ce dernier lui offre le prieuré de Saint-Cosme en guise de reconnaissance en 1565 et ayant ainsi obtenu une stabilité financière Ronsard s'éloigne de la cour et se consacre entièrement à sa poésie. C'est alors que la Reine Catherine de Médicis lui commande des poèmes pour consoler sa protégée Hélène de Fonsèque, de la perte de son amant à la guerre. C'est ainsi que Ronsard courtisera par vers

de la Renaissance, il dédiait parfois ses inventions et découvertes aux mécènes de son temps. C’est ainsi qu’il offrit au duc de Gonzague le compas de propor- tion, compas à usage militaire qu’il avait amélioré. Puis, neuf ans plus tard, c’est aux Médicis qu’il dédicaça le traité expliquant l’utilisation de ce compas. Les princes se souciaient peu de l’intérêt de la découverte, mais ils se montraient reconnaissants de l’attention, ce qui valait à Galilée, qui vivait de cours particuliers donnés aux

faveur dans de nombreuses universités, en particulier celle de Padoue, l'académie de Florence opéra un retour à la philosophie de Platon. Le promoteur de ce néoplatonisme humaniste fut Marsile Ficin, qui, sous l'égide de l'homme d'État florentin Cosme de Médicis, rassembla les humanistes de Florence et entreprit avec Pic de La Mirandole une collaboration parfois orageuse. Il influença même des théologiens en les incitant à la tolérance, comme l'Allemand Nicolas de Cuse, auteur de la Docte Ignorance (1440)

eut des fouilles organisé pour ses textes comme les lettre de Cicéron qui ont été retrouvés, et, sont apparu des collectionneurs notamment la famille de Médicis. Cette famille est une nouvelle bourgeoisie qui concurrence l’aristocratie. C’est une famille de banquier qui a la particularité de se marier avec les riches d’Europe. -1434/1464 : Cosme est à la tête de la république de Florence dont il renforce le caractère oligarchique - Le prince Urbanos qui est un collectionneur des textes antiques

scientifiques. Son But est la politique: établir la justice. La première Académie artistique apparue en Europe est l’Académie du Dessin de Florence (ou Accademia del Disegno de Florence) en Italie au XVIe siècle (1563), elle a été créée par Cosme 1er de Médicis à l’initiative de Giorgio Vasari, (son but: créée de nouveau genre) il inventa « L'histoire de l'Art » en mélangeant histoire, narration, inventaire et critique. Et puis le terme « Académie » est employé en France à partir du XVIIe siècle

haut ; il est placé à Versailles, dans la salle du Trône, et celui du roi d’Espagne dans le cabinet de Sa Majesté. » C'est ainsi que s'exprimait Hyacinthe Rigaud, par le biais d'un ami, dans l'autobiographie qu'il envoya au grand duc de Toscane Cosme III de Médicis en 1716. Ces propos sont accrédités par la mention du paiement correspondant dans les livres de comptes de l'artiste, en 1701 : « Le Roy et le Roy d’Espagne, et une copie du portrait du Roy de la même grandeur que l’original pour sa Majesté

défaite infligée aux Français à Pavie, en 1525, Charles Quint n’a en effet aucun mal à déchaîner ses mercenaires contre la cour papale ou, ce qui revient au même, il leur laisse les mains libres. La mort de Giovanni delle Bande Nere, (père de Cosme de Médicis, premier duc de Florence) élimine le seul condottiere qui aurait peut-être pu arrêter les Impériaux. De ce fait, le 6 mai 1527 (mais dès le mois de décembre les troupes des Colonna avaient envahi les édifices du Vatican), l’armée des “lansquenets”