Costa Rica

(Nicaragua,  Guatemala, Honduras, Belize)        Page 6      Les Technologies de l’Information et de la communication   2009            Page 7      Les Technologies de l’Information et de la communication   2009    Le Costa Rica et dans une moindre mesure le Mexique sont les seuls pays d’Amérique Centrale à se  détacher du lot. L’Uruguay lui affiche le meilleur taux de pénétration du téléphone fixe de l’Amérique  du sud, devançant les habituels géants des TIC que sont l’Argentine et le Chili

création du Marché Commun Centraméricain entre le Costa Rica, le Salvador, le Guatemala, Honduras et le Nicaragua. 70’s problèmes avec les guérillas => intégration économique qui passe au second plan. ZOOM sur Le plan Puebla-Panama : proposé par le Mexique en 2001 (Vincente Fox). A l’origine proposition de favoriser le développement conjoint de l’Amérique centrale et des états du sud de la fédération mexicaine. 8 pays dont le Mexique, Belize, Costa Rica, El Salvador, Guatemala, Honduras, Nicaragua

lingua principale del commercio e del governo. Fu condotta in Africa, in America ed in Asia Pacifico con l'espansione dell'impero spagnolo tra i XVe ed i XIXe secoli. Lo Spagnolo è la lingua ufficiale d'Andorra, Argentina, Bolivia, Cile, Colombia, Costa Rica, Cuba, Equatore, Spagna, Stati Uniti (Nuovo-Messico), Guinea equatoriale, Guatemala, Honduras, Messico, Nicaragua, Panamá, Paraguay, Perù, Puerto Rico, Repubblica dominicana, Salvador, Uruguay e Venezuela Portoghese : È la seconda lingua parlata

(Caribbean Basin Initiative), mais depuis milieu 1990, pénétration accélérée des pays asiatiques (NPI et surtt Chine). 1. La concurrence entre les Etats Etats offrent sur le territoire des régimes fiscaux et douaniers attractifs : c’est le cas du Costa Rica depuis 1990 qui a supprimé taxes douanières dans ses zones franches, ou de la République Dominicaine. Argentine en 2007 : 9 zones franches actives Colombie : 24 en 2008 Chili : il en existe une seule qui regroupe plus de 1650 entreprises.

regrouperaient près de 70000 jeunes en Amériques centrale, mais les ONG et les universitaires estiment qu’ils pourraient être plus nombreux : jusqu’à 200000.  Les gangs du Salvador, du Guatemala et du Honduras sont plus violents que ceux du Costa Rica et du Nicaragua.  Il faut distinguer : Les pandillas, qui sont nationales et localisées, et, Les maras  Les pandillas : existent depuis longtemps Nouvel essor dans les années 1990, lorsque les militaires-soldats ou guérilleros sont

émergents comme le Brésil et la Chine. Pour conclure, le Vietnam a son « niveau de développement en croissance » et se trouve être le 5eme pays a avoir une bonne espérance de vie avec 74,3 derrière la France, la Nouvelle Zélande, la Grèce et le Costa Rica.

considérable dans l’économie du pays. Le café de Colombie est un des meilleurs café du monde. Ses meilleurs crus portent les labels "Excelso", "Supemo" et offrent un café suave, doux et parfumé, idéal au petit déjeuner.   Le Costa Rica Renommé pour son goût, le Costa Rica produit les meilleures fèves d'Amérique Centrale. Le café y fut introduit par Cuba en 1779, la culture y débuta en 1808. Les variétés y sont bien équilibrées, assez acides avec un arôme excellent, et proviennent des régions

la menace de l'appui militaire des États-Unis pour transformer les fragiles démocraties en républiques bananières. Strictement parlant, ces pays producteurs n'étaient pas des colonies, mais l'influence de la United Fruit Company, initialement au Costa Rica et bientôt dans pratiquement toute l'Amérique centrale, a donné naissance à l'expression « république bananière » pour désigner l'immense pouvoir « néocolonial » qu'exerçait la compagnie fruitière américaine. En 1911 par exemple, lors d'un soulèvement

producteurs communautaires. Le système est contesté dès le début par les États-Unis. En 1994, cinq pays d'Amérique latine portent plainte devant le GATT (remplacé par l'OMC en 1995) contre le régime communautaire de la banane : la Colombie, le Costa Rica, le Nicaragua, le Venezuela, le Guatemala. En 1999, L'UE met en place une version révisée de l'OCMB, dont les changements ne vont toujours pas suffisamment loin pour les Américains. L'UE fait appel auprès de l'OMC après la menace de sanctions

actuellement par les touristes tout en augmentant la qualité des services. Le mot d’ordre est « Low Impact, High Expenditure » (Impacts Faibles, Revenus Elevés), illustré par des cas de développement touristique durable réussi comme le Botswana et le Costa Rica. L’accent est mis sur le développement d’un tourisme de qualité, compétitif et durable.