Couche de valence

2 Les nombres quantiques : L’atomistique -M.P.S.I 2.2.1 Le nombre quantique principal n ∈ N : Lui seul quantifié l’énergie : En = − Z2 µe4 Z 2 = −13.6 2 8ε2 h2 n2 n o • n = 1 : niveau (couche)K • n = 2 : niveau (couche)L • n = 3 : niveau (couche)M • n = 4 : niveau (couche)N . On retrouve la même expression que celle issue du modèle de Bohr , mais la signification de n n’est pas la même. ♣ Bohr n quantifie E, σ, r =⇒ trajectoire ♣ Bohr étape importante dans l’évolution de la progression

d’exploitation / sens de transmission S H F S Oui Oui Oui H Non Oui Oui F Non Non Oui Rapidité de modulation, valence, débit : Il est fondamental au niveau de l’ETCD d’avoir l’adéquation entre la BP du support et la largeur de la bande du signal Soit un signal numérique : Fig 3 R = rapidité de modulation = 1/ (durée de l’était significatif) = 1/T V = valence V = nombre d’états significatifs Sur la figure 3 nous avons 2 états significatifs : 0 et 1 donc V = 2 Sur la

silicium de moins d'un millimètre carré et de quelques dixièmes de millimètres d'épaisseur. A partir de 1970, une nouvelle technologie dite M.O.S. (metal oxide semiconductor) permit de fabriquer des transistors à effet de champ, à grille isolée par une couche d'oxyde de silicium, plus petits et plus rapides. En 1971, Marcian Hoff, de la Société INTEL, mit au point le premier microprocesseur qui fonctionnait sur quatre bits : le 4004. Les fonctions élémentaires d'un ordinateur étaient rassemblées sur un

dimensions faites d’une superposition de couches de semiconducteurs. Un semiconducteur est un matériau qui se comporte entre l’état conducteur et l’état isolant. Ce type de matériau est à la base de toute l’électronique moderne mais possède d’intéressantes propriétés dans le domaine de l’optique. Pour comprendre le comportement d’un semi-conducteur, il faut savoir appréhender les concepts de bandes d’énergie. Tout matériau possède deux bandes, la bande de valence et la bande de conduction. La capacité

4  électrons  sur  sa  couche  externe, il emprunte donc 4 électrons aux atomes voisins pour compléter sa couche externe à 8 électrons. b. La valence du carbone est 4 : on dit que le carbone  est tétravalent. 3. Modèle moléculaire du propène a. Valence du carbone : 4, valence de l’hydrogène : 1. b. 4  liaisons  lient  chaque  atome  de  carbone  aux  atomes  voisins,  donc  8  électrons  sont  mis  en  commun. c. Les atomes d’hydrogène complètent leur couche  externe  à  2  électrons : 

un outil de prévision qualitative de la géométrie moléculaire, la méthode de Gillespie dite VSEPR. 2.1. Schémas de Lewis des atomes : électrons de valence Vers 1916, le physicien et chimiste américain Gilbert Newton Lewis a proposé un modèle très simple pour la liaison chimique : les molécules se forment par assemblage d’atomes, les électrons de valence des différents atomes mis en jeu se partageant (ou se mettant en commun, ou s’appariant) dans la molécule. Les électrons de cœur sont trop retenus

l’aide des règles du duet et de l’octet les liaisons que peut établir un atome (C,N,O,H,Cl,F et S). Faire le lien entre un modèle moléculaire et une formule développée Conditions de mise en œuvre Prérequis : Structure électronique des atomes en couches K, L, etc. Règles du duet et de l’octet Durée : 1H30 Contraintes matérielles : disposer d’une classification périodique des éléments et de modèles moléculaires (éclatés de préférence) Remarques Cette activité doit permettre

deux liquides non miscibles (qui ne se mélangent pas). Ils possèdent des masses volumiques respectives de 0,9982 g/mL et 0,880 g/mL. Dans un bécher, on verse des portions d’ eau et de benzène. Les deux liquides forment des couches superposées. Quelle substance forme la couche du bas? Dans chacun des énoncés suivants, déterminez si la propriété (en caractères gras) est physique ou chimique. A) B) C) D) E) F) G) H) I) 6. Le mercure est un liquide argenté. Une balle est un objet sphérique. Le sodium

H : C : Couches électroniques : Avec au maximum 2n électron par couches. n=1 définit la couche K avec au maximum 2électrons. n=2 définit la couche L avec au maximum 8 électrons. n=3 définit la couche M avec au maximum 18 électrons. n=4 définit la couche N avec au maximum 32 électrons. Le nombre maximum d’électron ≠ au nombre d’électron de valence. (Nombre maximum pour la couche K=2 ; L=8 ; M=8) Exemples : 11Na : (K) (L)

électron. Ces trois nombres sont : n ; l et m : ∗ n : nombre quantique principal (n = 1,2,3,…∞) qui définit la couche quantique (énergie de l'électron). On appelle couche l'ensemble des orbitales qui possèdent la même valeur de n. ∗ l est le nombre quantique secondaire ou azimutal, il peut prendre toutes les valeurs comprises entre 0 et n-1 : 0 ≤ l ≤ n-1 l définit la notion de sous-couche et détermine la géométrie des orbitales atomiques. ∗ m est le nombre quantique magnétique, il définit la case